Il était une fois dans l’Est (08/11)

Plus j’écoute attentivement, plus cela reste aux bruits d’un couple faisant l’amour. Mais, à part moi et la petite Céliane, il n’y a que Lauryn et son frère. Je suis tendue comme un arc par ces soupirs qui finissent par me donner une réelle envie de sexe. La femme gémit doucement tandis que l’homme souffle plus fort, me donnant une barre au creux des reins. Ma main repart à la conquête de mon entrecuisse, soulevant de ses doigts agités ma petite culotte. Je commence à caresser doucement ma fente qui s’humidifie, guettant les petits cris de la femme qui subit certainement les assauts de son amant.

L’envie de sexe devient intolérable. Pourtant, une seule femme ici pourrait me combler. J’ai repoussé le drap depuis longtemps. Mon abricot s’est ouvert et je mouille de désirs inassouvis, tout en continuant à espionner les deux amants qui n’en finissent plus de s’aimer. Je prends la décision soudaine de me lever, d’aller au plus près de ce couple que j’envie. Je suis pieds nus dans le couloir, faisant attention à ne pas faire craquer le parquet. Je n’ai pas du tout envie d’être surprise en train de les espionner. Je ne me comprends plus vraiment. Je ne sais pas pourquoi j’agis de la sorte. Je longe le couloir, sans un bruit. J’arrive tout près de leur porte, je ne vois absolument rien mais je les entends beaucoup mieux. Je me rends compte que la porte est restée entrouverte.

Alors que je reste sans bouger, écoutant les soupirs et les gémissements plus forts désormais. Quand soudain une lumière s’allume, éclairant faiblement la chambre. Bien sûr, je savais pertinemment que c’était bien Lauryn et son frère qui s’envoyaient en l’air. C’était de l’inceste, entre deux adultes consentants. Pas plus grave que l’inceste entre mon père et moi. Mais le fait de les voir réellement, ça m’a donné une boule au creux des reins. Je peux les voir continuer leurs jeux érotiques, inconscients d’être observés, espionnés. Je vois parfaitement Lauryn, allongée sur dos, en train d’enfouir sa tête entre les cuisses de son frère. Dans sa bouche, elle tète un sexe qui me paraît impressionnant et je suppose qu’il lui fait un cunnilingus.

Ils ont l’air très satisfaits du plaisir reçu par l’autre. Ma main a retrouvé le chemin de ma culotte et ne quitte plus ma chatte. Je me masturbe comme une folle devant ce spectacle surréaliste. Ignorant ma présence, ils multiplient les figures érotiques et j’assiste avec un plaisir incroyable à ces ébats extra-conjugaux. Je reste ébahie devant la taille du sexe de mon cousin, moi qui n’ai connu que celui de mon père, presque. Je vois cette tige de chair qui entre et sort de la bouche de ma cousine, je vois luire cette hampe sous la couche de salive déposée sur toute la longueur. Mes doigts s’enfouissent au cœur de ma jeune toison naturelle. Ils titillent mon clito, devenu aussi gros qu’un petit sexe.

Je retiens mes plaintes de bonheur, je n’ai nullement envie d’être découverte, cachée derrière cette porte, en train de reluquer les assauts amoureux de l’un et de l’autre. Il m’est désormais impossible de quitter des yeux ce grand lit dans lequel ce couple se donne du plaisir. Ils sont beaux, on sent qu’ils s’aiment véritablement. Maintenant, Lauryn est en amazone passionnée sur le sexe de Jérôme et je regarde son derrière qui monte et descends, je vois cette épée rose et puissante qui la pourfend à chaque fois qu’elle remonte sur elle. Lauryn a posé ses deux mains sur le torse de son amant. Lui, ses mains sont sur les reins de sa cavalière et il la guide pour les mouvements de montée et de descente. Ce spectacle dure un bon moment et je me branle comme une jeune communiante en les regardant.

Malgré mon dégoût, tout récent, pour les hommes, je rêve d’être à la place de ma cousine et de chevaucher son bel étalon. Mon plaisir me surprend à ce moment-là, sans que je ne m’y attende vraiment. Je me mets à trembler sur mes jambes, le souffle court, comme si elles ne voulaient plus me supporter. J’étouffe difficilement le cri rauque que je sens monter du plus profond de mon ventre. Mais Dieu que c’est difficile de ne pas se laisser aller au plaisir. C’est comme si un feu d’artifice intérieur éclatait brutalement en moi, alors je n’ai d’autre solution que de mordre mes lèvres pour ne pas crier. J’ai fermé les yeux durant ce pur moment de bonheur incommensurable. C’est le silence soudain qui me fait rouvrir les yeux. Je vois avec stupeur que les deux amants regardent dans ma direction. Lauryn a alors un grand sourire quand elle me dit.

« Ne reste pas dans ce couloir. Tu seras bien mieux avec nous ».

Que faire d’autre que d’entrer dans la chambre ? Je pense que je vais mourir de honte, cherchant dans ma tête une explication à ma présence. Lauryn s’est approchée de moi et me guide tout près du lit. Jérôme peut désormais parfaitement admirer ma poitrine avec mes tétons bien dressés. Lauryn a baissé ma culotte, trempée et inutile. Moi, je reste le regard fixé sur le monstre, bien bandé et pointant toujours vers le plafond.

« Regarde Jérôme, comme elle est belle, notre cousine »

Il fait un geste vers moi pour me caresser, je suppose, mais je me réfugie immédiatement dans les bras de Lauryn. Les sens exacerbés, je lui murmure.

« Il peut me toucher, s’il le veut, mais je ne veux pas qu’il me pénètre ».

Jérôme accepta sans souci et ne tenta rien de lui-même. Avait-il compris qu’il fallait sûrement me mettre en confiance ? J’avais toujours le regard fixé sur la queue qui me paraissait monstrueuse. Lauryn approcha mon visage tandis qu’elle la reprenait en bouche. Elle fit quelques allers-retours avant de me confier.

« Tu veux y goûter à ton tour ? »

Plus qu’une question, c’était une évidence qui, une fois énoncée, devait être exécutée. Je dus ouvrir largement la bouche pour avaler ce gland d’où perlait quelques gouttes de pré-sperme. Après de multiples efforts, je pus enfin l’avaler à moitié. Lauryn m’encourageait et me caressait en même temps. Puis soudain, elle décida de reprendre sa chevauchée fantastique là où elle avait été interrompue.

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