Hortense (06/18)

Elle aimait s’exhiber, c’était une certitude, et cela la faisait mouiller à chaque fois. Pas besoin de la toucher, elle pouvait presque jouir en s’exposant devant des inconnus. Il fallait battre le fer quand il était encore chaud. Je soulevais un à un les pieds de mon amie pour dégager ses chevilles. Je lui demandais ensuite de s’asseoir sur le bureau, face à Mr Pilchard.

Il s’était naturellement tourné vers elle pour l’admirer en toute impunité. Elle avait poussé le vice jusqu’à poser ses pieds sur la chaise de notre professeur, écartant ses cuisses au maximum. Il avait beaucoup de mal à réaliser ce qui lui arrivait, Mr Pilchard. Il était obnubilé par les cuisses de la jeune fille assise devant lui et, quand je lui parlais, il répondait machinalement, comme un robot.

« Et maintenant. Est-ce nos notes ont grimpé un peu plus. Le spectacle vaut bien plus que la moyenne, non ? »

 » Oui, oui. Évidemment. Vous méritez que je vous note d’un 14, toutes les deux ».

« 14, Ce n’est pas assez. Et si vous goutiez vous-même à ce joli fruit qui n’attend que cela ? »

Il tourna la tête vers moi, comme si je venais de dire une insanité, puis, voyant que j’étais sérieuse, il me sourit bizarrement avant de fixer Alysson qui sembla lui confirmer que c’était bien ce qu’elle voulait aussi. Il posa alors ses mains sur les genoux, remontant sur les cuisses. Sa tête plongea finalement entre les cuisses de cette coquine qui se livrait totalement. Il semblait lui faire énormément de bien et c’était tant mieux pour elle. Je sortis mon téléphone pour prendre quelques photos et une petite vidéo. On ne sait jamais. Je passais ensuite de l’autre côté du bureau, enlevais tout ce qui me gênait pour allonger Alysson. Je soulevais alors son tee-shirt pour m’occuper de sa jolie poitrine.

Elle a joui intensément sous nos caresses conjuguées. Quand elle s’est finalement redressée, un peu trop vite, elle est tombée directement sur les genoux de Mr Pilchard. Il bandait très fort, le vieux vicieux. Je pris une dernière photo, elle presque nue sur son professeur bandant comme un taureau. On voyait sur son visage les restes du plaisir qu’il venait de lui donner. Il a très bien vu que je l’ai pris en photo. C’était aussi ce que je voulais, pour qu’il n’oublie pas de bien nous noter. Allez comprendre pourquoi, Alysson a eu 18, et moi, 19. Après cet épisode, on ne s’inquiéta plus jamais de nos notes, il replongeait entre les cuisses d’Alysson et, le lendemain, nous avions les meilleures notes.

Maman prenait désormais la voiture de Mr Lambert pour se rendre à son travail. Un jour, elle était très en retard car son amant l’avait prise par surprise juste au moment où elle partait. Elle avait adoré ce moment de tendresse mais craignait d’être en retard à son travail. Elle était tout juste à l’heure sur le parking où il ne restait plus qu’une seule place. Elle allait s’y engager quand une grosse berline lui prit la place. C’était son patron et elle avait failli le percuter. Elle mit un peu plus de temps que prévu pour retrouver une place et elle était bel et bien en retard. Elle prit place à son bureau, tachant de mettre les bouchées doubles. La secrétaire de direction, une vieille fille décrépite, vint la chercher, le directeur voulait la voir.

Elle frémissait d’avance pour cet entretien non conventionnel. Elle ne devait absolument pas perdre son travail, c’était son seul moyen de subsistance, à elle et à ses enfants. Elle entra dans le bureau, tête baissée. Il ne l’invita pas à s’asseoir, elle resta donc debout à l’écouter. Il s’était renseigné sur elle et avait appris que c’était la première fois qu’elle était en retard. S’il savait pourquoi ! Il lui reprocha principalement son attitude sur le parking. N’avait-elle pas vu que cette place était réservée au directeur ? Elle ne l’écoutait pas vraiment mais elle frémit lorsqu’elle entendit le mot « licenciement ». Son attitude humble avait calmé le directeur qui se leva et s’approcha d’elle.

Il l’observait attentivement, la jaugeait. Puis il posa sa main sur les fesses exposées. Elle eut un sursaut mais ne se déroba pas. Il se colla à elle et ses mains remontèrent de la taille jusqu’à sa poitrine. Il se mit à la peloter et, malgré elle, malgré la situation, elle y prenait un certain plaisir. Et ça, même lui il le ressentit. « Puisqu’elle aime ça, elle va être servie » pensa-t-il. Il passa devant elle, elle gardait toujours les yeux baissés. Elle obtempéra immédiatement lorsqu’il lui demanda d’ouvrir son corsage. Elle écarta elle-même les deux pans du vêtement pour lui présenter ses seins merveilleux. C’est à partir de ce moment précis qu’il sut qu’il pourrait en faire ce qu’il voulait.

La vision de cette magnifique poitrine, combinée à la soumission sans limites, lui procurait énormément de plaisir. Mais, comme il était intelligent, il ne voulut pas trop brusquer les choses. Il posa simplement ses deux mains sur les épaules dénudées. Une légère pression et elle était à genoux devant lui. Pour le reste, elle le comprit sans qu’on lui dise. Elle ouvrit le pantalon pour sortir sa queue du sous-vêtement. Elle le prit en bouche presqu’aussitôt et elle le pompa jusqu’au bout. Elle déglutit difficilement, tant la dose de sperme était abondante. Elle avait perdu toute dignité mais elle savait qu’elle conserverait son emploi.

Elle retourna chaque jour dans le bureau, souvent le matin, pour satisfaire son pervers de patron. Il adorait sa façon de le sucer, de le faire jouir avec sa bouche. Il aimait évidemment aussi caresser ses seins qu’elle devait exposer à vue. Elle ôtait corsage et soutien-gorge et restait ainsi près de lui. Il signait les documents et parfois, il gobait l’un de ses tétons. Très vite, il eut envie de glisser sa main sous sa jupe, caresser ses fesses, jouer avec son anus. Là, enfin, il sentait une réticence de sa part et c’était ce qui l’excitait le plus. Il n’insista pas ce jour-là mais il recommençait à chaque fois, espérant qu’un jour, elle accepte enfin de lui offrir son cul. Il y serait sûrement parvenu si je n’étais pas venue chercher maman à son travail, ce jour-là. La porte principale était déjà fermée mais les ouvriers, qui me connaissaient bien, me laissèrent entrer par la porte réservée au personnel.

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