Il se dirigea vers la source, passant sa tête sous la jupe courte de sa nouvelle chienne. Alysson qui devait parfois insister très longtemps avant que Yago ne vienne finalement la lécher, elle apprécia l’initiative de Camel. D’autant plus qu’elle se retrouvait presque dans la même situation que moi, il y a un an, dans la salle de classe. La différence, c’était que nous n’étions que nous deux, et que Camel s’était introduit sous sa jupe, par-devant. Avec un accès direct à sa chatte déjà humide. Elle avait simplement écarté les jambes. J’avais bien vu qu’elle ne portait rien sous son tee-shirt et je m’empressais de le lui ôter. Elle s’appuya légèrement sur moi, m’offrant ses seins merveilleux. Elle a joui très rapidement et très violemment sous ce premier assaut.
C’est tout juste si j’ai pu la retenir de s’écrouler sur le sol. Mais là où Yago s’arrêtait et retournait dans son couffin, Camel n’en était qu’aux préliminaires. Je lui ai ôté sa jupe pour qu’il puisse continuer à satisfaire sa chienne. Elle a joui une nouvelle fois, avant de se placer en levrette. Camel a léché sa fente encore une fois dans cette nouvelle position avant de grimper sur son dos. Il était vraiment impatient de pénétrer cette chienne. Même si je n’aimais pas trop, je guidais sa queue vers le fourreau bien humide qui l’avala. En deux ou trois coups de reins, il était bien au fond de sa matrice. Il se verrouilla immédiatement sur sa nouvelle compagne de jeu. J’étais face à elle quand la boule est entrée en elle, lorsqu’elle a grossi.
Et surtout lorsqu’il s’est littéralement vidé en elle. Il donna encore quelques coups de rein et je pris mon portable pour fixer la scène. On voyait parfaitement l’animal verrouillé sur la jeune fille et surtout, les yeux hagards de celle-ci, tellement elle prenait son pied. Quand il eut fini, il resta ainsi sans bouger pour féconder sa chienne. Puis il se retira dans un grand ploc bien visqueux. Je filmais encore la semence canine, très abondante, qui sortait de sa chatte et coulait sur ses cuisses, sur le sol. Camel s’éloigna et s’allongea juste devant la porte, comme s’il voulait que personne ne sorte. Yago vint renifler ce qui avait coulé sur le sol et se mit à tout nettoyer, consciencieusement. Puis, il se mit à lécher directement à la source, nettoyant cette chatte qu’il connaissait bien. Je m’asseyais sur le lit, face à Alysson et j’écartais les cuisses le plus possible.
Elle s’avança vers moi pour me remercier de la plus belle des manières pour le plaisir qu’elle venait de vivre. Yago avait suivi et finissait de la nettoyer. Évidemment, la source n’était jamais tarie, tant qu’une langue, ou un doigt, venait maintenir son état d’excitation. J’ai moi-même écarté le tissu de ma culotte pour qu’elle me lèche parfaitement à son tour. Même si elle y mettait du cœur, cela n’avait rien à voir avec la langue de Camel. Je malaxais ses deux seins jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau. Elle s’est alors préoccupée uniquement de mon plaisir et j’ai joui à mon tour.
Nous nous sommes allongées sur son lit, elle toujours nue, et nous nous sommes câlinées l’une l’autre. Quand elle s’est mise à quatre pattes pour me lécher à nouveau, Camel a bien compris le message et s’est approché du lit. Deux ou trois coups de langue et sa chienne était de nouveau prête à l’accueillir. Lui, il avait récupéré et il grimpa sur le lit, puis sur le dos d’Alysson. Pas besoin de le guider, cette fois, il trouva l’entrée de la grotte et l’investit immédiatement. Prise de soubresauts incontrôlables, elle cessa de me lécher pour se concentrer uniquement sur son propre plaisir. Yago, que j’avais totalement oublié, s’est placé entre mes cuisses et il a fini merveilleusement bien le travail débuté par sa Maîtresse.
Alysson était, tout comme Chloé, une fille de riches, de petits bourgeois provinciaux. Elle semblait sûre d’elle en public mais je la voyais sous son vrai visage. C’était une soumise dans l’âme. Chloé était sa Maîtresse mais elle avait disparu. J’avais pris un tel ascendant sur elle que je pouvais désormais lui demander n’importe quoi. Là, je prenais la place laissée vacante par Chloé et j’étais sa nouvelle Maîtresse.
Mr Lambert avait une voiture, une 504 coupé, qu’il n’utilisait plus depuis longtemps. C’est dans cette voiture qu’il avait eu un très grave accident, il y a quelques années. Accident dont il n’était pas responsable mais qui avait coûté la vie à sa femme, qui était sur le siège passager. La voiture avait bien évidemment été réparée, et entretenue toutes ces années, sans qu’il ne s’en serve. Avec sa maladie dégénérescente, il pensait la revendre mais avant, il demanda à sa nouvelle compagne, ma mère, si elle avait le permis de conduire. Elle l’avait mais n’avait plus conduit depuis des années, depuis le départ de son mari. Il lui a demandé de faire un essai dans le parc, puis juste dans le quartier. Essai concluant. Fini la corvée des courses avec les transports en commun.
Dès le samedi de la rentrée, nous sommes allés tous à l’hyper marché, dans la grande zone commerciale. Mr Lambert nous accompagnait, maman avait pris un caddie et mon petit frère restait près d’elle. Comme d’habitude, j’avais la main de Mr Lambert sur mon épaule. Je pensais qu’il serait incommodé par la cohue des rentrées des classes. Mais au contraire, il me dirigea vers ce rayon où les clients, surtout des clientes d’ailleurs, se battaient pour accéder aux étagères surchargées. Il lâcha mon épaule et sa main touchait un sein par ici, une fesse par là. Les victimes se retournaient vers lui, très en colère, mais se radoucissaient en voyant qu’il était aveugle. Certaines acceptaient même un peu plus que de raison.
J’en ai vu deux, entre autres, qui se laissaient peloter honteusement, sachant que personne ne pouvait deviner ce qu’il faisait. Pour une autre, il posa carrément sa main entre ses cuisses. Elle se tourna vers lui, prête à hurler, mais elle le laissa continuer. Il avait saisi sa main avec laquelle il se caressait. Elle ne refusait semble-t-il pas cette caresse. Il se pencha vers son oreille pour la remercier. Je l’ai vue sourire, heureuse d’avoir donné du plaisir à un total inconnu.