Déconfinement, enfin ! (10/10)

« Il ne faisait pas encore jour quand je sentis une présence près de moi. Pas du tout hostile. J’ouvrais les yeux doucement pour apercevoir mon papa chéri qui me regardait dormir. Il avait fait très chaud, cette nuit-là, et j’avais dû repousser le drap jusqu’à mes pieds. Dans la nuit, mon tee-shirt s’était remonté lui aussi et le bas de mon corps se trouvait justement exposé au regard tendre de mon papa. Il était torse nu, juste vêtu d’un bas de pyjama « .

« Je n’aurais sans doute pas dû écarter les cuisses pour lui offrir la vue de mon intimité. Je m’étirais en même temps pour lui montrer que j’étais réveillée. Et consciente du spectacle que je lui offrais. Il sourit simplement et se pencha pour disparaître entre mes cuisses. La caresse était délicieuse et je me mettais entièrement nue pour subir de nouveau ses caresses fabuleuses ».

« J’ignore combien d’orgasmes j’ai eu de suite ce jour-là. Le premier jour de ma vie de femme. Il savourait allègrement sa victoire. Il se leva, admira mon corps un long moment et s’apprêta à sortir de ma chambre. Je le rappelais d’un geste, les paroles devenaient inutiles dans de tels moments ».

« Il me fit comprendre que, si je voulais plus, je devais le suivre dans sa chambre. Je n’hésitais pas une seule seconde. J’étais debout et près de lui quand il ouvrit ma porte. Je passais volontairement devant lui pour pénétrer dans sa chambre. Son lit n’était même pas défait. En marchant devant lui, je savais que je lui exposais mes fesses ».

« Arrivée devant le lit, je me retournais pour constater l’effet sur la bosse du pyjama. Je regardais précisément cet endroit quand il se mit nu à son tour. Il me déposa délicatement sur son lit et commença à m’embrasser. Les joues, ma bouche, mon cou, ma poitrine, mon ventre et, pour finir, entre mes cuisses ».

« J’attendais avec impatience cette caresse que je venais de découvrir. Je relevais mes jambes, les tenant bien écartées sous le genou. Il sembla apprécier que je me donne ainsi entièrement à lui. Il remonta doucement sur mon ventre, ma poitrine, ma bouche. Sa queue monstrueuse était prête à m’embrocher ».

« Il n’eut pas à forcer beaucoup pour me pénétrer, il m’avait si bien préparée. L’hymen céda très vite lui aussi, sans aucune douleur. J’étais femme, enfin. Il me pénétra à fond, puis patienta un instant, pour que je prenne conscience de l’intrus en moi. D’abord doucement, puis de plus en plus vite, il commença à me baiser ».

« Je pèse mes mots. Il ne me faisait pas l’amour, pas cette fois-ci. Il me baisait bien à fond. Et j’adorais ça. Je devais me mordre les mains pour éviter d’hurler et réveiller tout le monde. C’était absolument divin, et ça a duré très longtemps. J’étais sur mon petit nuage ».

« Je suis retournée très souvent dans sa chambre. Pour dire vrai, chaque fois que c’était possible. Il m’a tout appris, il m’a fait découvrir le meilleur. Et le pire aussi. Je te dirais sans doute, un jour, ce qu’il m’a fait subir. À tel point que j’ai développé une aversion pour les hommes ».

« De te raconter tout ça m’a donné une furieuse envie de … »

Je ne la laissais pas finir sa phrase car, moi aussi, j’avais terriblement envie de profiter pleinement de son corps juvénile. Et qu’elle aussi se permette tout ce qu’elle voulait avec le mien. Nous avons fait l’amour jusqu’au lever du jour. Et même un peu après. Elle est retournée discrètement dans la chambre d’amis avant que sa mère ne se réveille.

Elle eut beau faire tout qu’elle pouvait, jamais la main de sa mère ne retrouva le compas de ses cuisses. Elle avait pourtant acquis une certitude, c’est que, avec ces somnifères, sa maman dormait très profondément et que sans doute peu de choses pourraient la réveiller totalement. Elle savait que sa mère avait accepté de garder cette boîte, au cas où.

Malgré la nuit passée à faire l’amour à cette jeune femme, je me levais tôt pour rejoindre la salle de bains. Cette fois-ci, c’est Ingrid qui s’y trouvait déjà, prête à prendre sa douche. Par commodité, et surtout parce que j’en avais très envie, je lui proposais que nous la prenions ensemble. Elle sembla hésiter un instant mais finit par accepter, se remémorant la caresse divine que je lui avais donnée ici même, la veille. Elle se déshabilla entièrement et je pus enfin admirer son corps totalement nu. Je me mis nue moi aussi et nous sommes entrées sous la douche. J’ai commencé à la laver et elle a accepté mes mains sur elle, sachant sans doute qu’elle me ferait de même ensuite. Sa peau était douce, et délicate. Une vraie peau de bébé. Elle devait certainement l’entretenir, bien mieux que moi.

Jérôme entra à son tour dans la salle de bains, pensant trouver sa femme, seule sous la douche. Il fut évidemment surpris de me trouver là, avec elle, toutes deux totalement nues. Ingrid lui demanda de sortir immédiatement, mais il ne sembla pas l’entendre. Son sexe, par contre, semblait prêt à sortir du pyjama, tellement il était bandé à fond. Ingrid s’était placée devant moi, pour me cacher à la vue de mon grand frère. Elle pensait préserver mon intimité. Je posais alors mes mains sur son ventre avant de remonter immédiatement sur ses seins que je malaxais adroitement. Elle était incapable de me refuser cette caresse, malgré que son mari soit présent devant elle. Et lui, il ne ratait rien du spectacle que je lui proposais.

Pourtant, comme sa femme le lui avait demandé, il quitta finalement la pièce et Ingrid put jouir magnifiquement sous mes caresses. Elle me lava à son tour et en profita aussi pour me caresser, pas aussi voluptueusement que je lui avais fait. Pareil avec les serviettes, on se sécha l’une l’autre avant de nous habiller. Nous avons rejoint ma mère dans la cuisine, Jérôme nous suivit après avoir pris sa douche. Armelle se leva beaucoup plus tard. Je sus plus tard que, lorsqu’elle s’est réveillée, elle a trouvé sa fille entièrement nue, allongée près d’elle. Elle n’a évidemment pas osé la toucher mais elle l’a trouvée très belle et elle est restée de longues minutes à l’admirer ainsi.

Le dimanche se passa merveilleusement bien entre Rosalie et moi. Jérôme également semblait l’apprécier. Ingrid et Armelle ne se quittaient plus, la plus jeune trouvant avec son ainée une femme pleine de bons conseils avisés. La séparation, inévitable, fut douloureuse pour tous. Avec cependant une excellente nouvelle pour certains d’entre nous. Nous n’avions plus qu’une semaine à attendre avant de nous revoir pour le voyage prévu.

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