Le réveillon de Noël devait se passer chez mes parents, cette fois-ci. L’an passé, c’était chez Jérôme, mon frère. Lui et sa famille, je ne les avais pas revus depuis le dernier week-end du mois d’août. Une soirée à la fête foraine. J’avais été surprise de voir à quel point ma belle-sœur, Ingrid, pouvait être une belle salope. Et l’alcool ne peut pas tout excuser. Cela devait être un de ses secrets enfouis au plus profond d’elle-même, qui avait été sublimé par l’abus d’alcool. Mon tonton Roger en avait bien profité pour la peloter à sa guise. Et elle qui se laissait faire alors que son mari n’était qu’à quelques mètres devant elle. J’avais même eu envie qu’il se retourne pour la voir sous son vrai jour. Mais il était très attentionné avec moi et je ne voulais pas lui faire de la peine. Tôt ou tard, il finirait bien par l’apprendre. Ne serait-ce qu’en lisant ce blog.
Mon père aussi avait profité de sa belle-fille et de son abus d’alcool pour la peloter de manière honteuse. Dans la chambre des enfants, pour commencer, puis, sur le palier, où je les avais surpris. J’ignore jusqu’où seraient allés ces deux pervers si je n’étais pas intervenue. Mon tonton avait déjà le pantalon sur ses chevilles et Ingrid déjà n’avait plus sa culotte, tout ça pendant que mon cher papa la maintenait en lui pelotant les seins. Enfin, quand je dis qu’il la maintenait, elle ne se défendait pas vraiment, comme si elle attendait ce moment. Elle m’avait remerciée de l’avoir tirée de ce mauvais pas, mais, lors de la soirée à la fête foraine, elle avait montré son vrai visage. Mais tout ceci s’était passé fin Août dernier. Je n’avais pas revu Ingrid depuis ce fameux week-end. Juste discuté au téléphone ou via WhatsApp. Tout comme mon grand frère, Jérôme.
Dylan, mon fils, je l’avais revu bien évidemment. Et mes parents aussi, puisqu’il vivait chez eux. Il ne s’en plaignait nullement et je dois même avouer que, lorsqu’une fois, j’avais évoqué la possibilité qu’il revienne vivre avec moi, cela n’avait pas vraiment paru l’enchanter. J’en avais été bien triste mais pour moi, le plus important, c’était le bonheur de mon fils. Il avait construit sa vie autour de mes parents, de ses amis, et je ne me sentais pas le droit de briser ce qu’il avait bâti. C’était MA faute, ma maladie. Et puis, je dois avouer que j’avais une vie un peu trop dissolue pour être une bonne mère.
J’étais arrivée chez mes parents dès l’après-midi pour aider ma mère à préparer le repas du réveillon. Mon frère et sa famille sont arrivés plus tard et Ingrid est venue nous aider en cuisine. Mes nièces étaient très heureuses de nous revoir. Surtout Célia qui m’a fait un gros câlin. Puis, elles sont allées jouer avec Dylan, leur cousin, sous la surveillance de Jérôme et de mon père. J’accompagnais mon frère lorsqu’il allait dehors pour fumer sa cigarette. Il a toujours été tendre avec moi, protecteur. Comme un grand frère qui se respecte. Ce n’est que ce soir-là qu’une évidence me sauta aux yeux. Tous mes amants, jusqu’à Stéphane, mon ex, tous avaient une ressemblance physiquement avec mon frère. Qu’est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? Aurais-je eu, inconsciemment, des envies pour mon grand frère ? Envie qu’il soit mon amant ?
En y réfléchissant bien, l’idée même ne m’était pas déplaisante. Jamais je n’y avais pensé auparavant, mais ce soir, c’était comme une évidence à mes yeux. Pourtant, jamais je n’aurais osé faire le premier pas. Je respectais mon frère, sa femme, et je ne voulais surtout pas être la source de son malheur, détruire sa famille. Plus j’y pensais, et plus j’avais envie qu’il fasse un geste, qu’il ose un mot, une caresse. Mais il semblait très loin de penser à la même chose que moi.
Au contraire, ce soir-là, je l’ai trouvé beaucoup plus attentionné auprès de sa femme. Et elle appréciait tous ces petits gestes délicats d’attention. Du coup, je me sentais un peu délaissée, mise à l’écart. Et mon oncle Roger en profita pour remplir mon verre, chaque fois qu’il était vide. Je n’avais pas compris son but, et surtout, je n’avais pas vu le regard complice qu’il avait échangé avec mon père. J’aurais dû me méfier un peu plus mais j’étais en famille et j’avais toute confiance en eux.
Jérôme et Ingrid allèrent se coucher bien avant les autres, fatigués après leur journée de travail. En même temps qu’ils ont couchés les enfants. Je suis restée seule avec mes parents et mon oncle, à regarder les programmes proposés à la télévision. Assise sur le canapé, près de mon tonton, mes parents occupaient chacun leur fauteuil habituel. La fatigue, et l’alcool aidant, je commençais à somnoler quand je sentis une main se poser sur mon genou. C’était loin d’être désagréable et je pense que j’avais justement besoin d’un peu de tendresse, à ce moment précis. J’acceptais donc ce contact et même lorsque la main remonta lentement sous ma jupe. Mon tonton la retira immédiatement quand sa sœur se leva pour aller se coucher à son tour. Elle nous souhaita une bonne nuit et disparut dans sa chambre. Aussitôt, mon oncle reprit sa caresse, remontant ma jupe très haut. C’est presqu’inconsciemment que j’écartais les cuisses.
J’ouvris grand les yeux lorsque sa main pénétra dans ma petite culotte. Mon père, mon propre père, avait les yeux rivés sur le haut de mes cuisses librement exposées. Une main posée sur la bosse qui se formait dans son pantalon. Mon tonton Roger me doigtait agréablement et je me laissais faire, trop heureuse que l’on s’occupe de moi. Dans ce cocon de bien-être, je crois même que je me suis endormie quelques instants. Mon oncle chéri se trouvait désormais à mes pieds, sa tête entre mes cuisses et il me léchait de manière divine. Je redevenais la petite fille qu’il avait initiée aux plaisirs de la chair, il y a bien longtemps. J’étais adolescente et il m’avait tout appris, presque tout. Son principal regret étant qu’il n’avait pas pu être mon premier. Nous avions failli être surpris en pleine action par sa femme qui rentrait de son travail plus tôt que prévu.
Espérait-il combler cette déception ce soir ? Sous les yeux de mon père ? Je savais qu’ils étaient vraiment complices, surtout pour les parties de pêche que mon oncle organisait dans son cabanon de pêche. En tout cas, il n’était nullement gêné par la présence de mon géniteur, sans doute même encouragé par la présence d’un spectateur. À force de persévérance, il avait réussi à descendre ma petite culotte. En ouvrant les yeux, je vis qu’il en faisait cadeau à mon père, son complice, qui, immédiatement, la porta à son visage pour sentir mes effluves. Mon parfum intime. J’étais totalement à la merci des volontés de mon tonton pervers. Il réussit à ouvrir mon corsage et à sortir ma poitrine de ses bonnets. Il continuait à me sucer admirablement, tout en pinçant mes tétons. Je suis certaine d’avoir joui sous ses caresses, ce qui ne l’a nullement arrêté.