Décembre 2019 (04/10)

Je pensais qu’elle allait en faire de même avec la culotte mais, à ma grande surprise, elle proposa ce travail à Wilfrid qui s’empressa d’accepter. Il se mit à mes pieds, glissa ses mains le long de mes cuisses, tout en me caressant, et il arriva rapidement à son but. Il agrippa le morceau de tissu et le tira vers mes chevilles. Un pied, puis l’autre. J’étais entièrement nue sous la robe, et à l’entière disposition de tout ce qu’ils exigeraient de moi. Les yeux de Wilfrid brillaient de mille feux, il était prêt à me sauter dessus. Heureusement pour moi qu’il avait une certaine éducation. La vendeuse s’était éclipsée deux minutes et revint avec un string, noir, ainsi qu’une paire de bas. Des Cervin. Je n’en avais jamais porté.

Elle se repositionna face à moi et m’aida à enfiler le string. N’hésitant pas à me peloter plus que de raison, bien évidemment. Je ne fus nullement surprise lorsqu’elle proposa à Wilfrid de m’aider à enfiler les bas. Je devais donc poser un pied sur son genou pour qu’il puisse remonter le long de ma cuisse. Doucement. Très lentement. Il devait avoir une vue imprenable sur mon string et mes lèvres intimes qui sortaient sur les côtés de ce vêtement trop petit. Il semblait prendre un certain plaisir à enfiler mes bas, caresser mes jambes, mes cuisses. Il osa même caresser mes fesses. Je ne lui en voulais pas, il avait admiré mon fessier, il se devait de le toucher désormais. Je savais, tout comme lui, comment finirait la soirée qui se préparait. La vendeuse s’accroupit de nouveau devant moi pour fixer les bas sur le porte-jarretelles qu’elle venait de mettre en place. Je n’ai évidemment pas vu le regard avide qu’elle porta sur mon intimité, si près de sa bouche. C’est Wilfrid qui me le raconta plus tard.

Car lui, il avait compris ce qu’elle désirait, sans oser le demander. Il prit donc l’initiative d’écarter le pan de ma robe, dévoilant entièrement le string au regard envieux de la femme à mes pieds. Elle tourna un regard implorant vers l’homme qui lui offrait ce fruit défendu. Un signe d’acquiescement et elle plongea littéralement sur ma chatte offerte. Elle écarta tout simplement le morceau de tissu qui la gênait et elle me lécha goulûment. Ce n’était certainement pas sa première fois et elle obtint rapidement ce qu’elle cherchait. Un premier orgasme et elle put boire à la source de mon plaisir. Wilfrid était placé derrière moi. Je sentais parfaitement sa grosse queue entre mes fesses. Ses mains, il les avait glissées sous ma robe et il pelotait allègrement ma poitrine nue sous la robe. La femme se releva, le visage encore maculé de ma cyprine et m’embrassa fiévreusement. En se frottant sur mon torse, elle devait sentir également les mains de Wilfrid sur mes seins.

Convaincu qu’il pouvait tenter une approche, Wilfrid fit demi-tour pour se placer derrière la femme. Pas vraiment de réticence. Elle devait, comme moi auparavant, sentir la grosse queue contre ses fesses. Aucune réaction contraire quand il souleva sa robe. Elle ne portait rien dessous, ce qui excita le mâle. En moins de temps qu’il bien faut pour l’écrire, il avait sorti sa queue et pénétrait la chatte qui n’avait sans doute pas été aussi sollicitée depuis longtemps. Ça, c’est la femme elle-même qui me l’avoua quand je repassais la voir, pour les soldes de Janvier. Elle, penchée en avant, Wilfrid la prenait en douceur, avec des mouvements amples et lents. Sa bouche était à portée de ma poitrine, elle n’avait qu’à déplacer légèrement le tissu qui recouvrait mon buste pour emboucher mon téton. Elle finit par s’écrouler de plaisir sur le fauteuil que Wilfrid occupait précédemment. J’avais enfin la possibilité de voir la queue de mon amant, futur amant. Je tombais à genoux devant lui pour la nettoyer.

Je mis tellement d’ardeur dans cette fellation qu’il lui fut impossible de se retenir et il remplit ma gorge de sa chaude semence. La vendeuse laissa son fauteuil à Wilfrid pour qu’il reprenne des forces. Elle se rapprocha de moi pour ôter cette robe. Je restais simplement vêtue d’un string et des bas devant Wilfrid. Elle revint avec les vêtements que je portais en arrivant et me rhabilla, comme une poupée de chiffon. Encore et toujours des caresses, j’étais véritablement à fleur de peau. Wilfrid n’était pas encore en état de pouvoir m’honorer et la vendeuse ne semblait pas disposée à s’exhiber en public. Devant un homme, plutôt. Elle gardait jalousement son secret, même si nous n’étions pas dupes. Wilfrid régla la facture avant de m’attirer dans un magasin de chaussures, situé dans une rue qui descendait de la Place du Ralliement. Il est vrai que les mocassins que je portais ne convenaient pas avec cette superbe robe.

C’est finalement une paire de bottes qu’il voulut me faire essayer. Il s’accroupit devant moi pour me les enfiler, une à une. De manière obscène, j’écartais largement les cuisses, ne laissant aucun doute sur mes intentions. Il devrait malgré tout attendre la fin du repas qu’il m’avait promis. Je gardais les bottes aux pieds et nous sommes retournés vers la cité administrative où Francis nous attendait. La plupart de mes collègues étaient rentrés chez eux. On ne parlait pas encore de télétravail mais la Covid19 commençait à inquiéter nos dirigeants, et donc, nos directeurs. Je les laissais quelques instants pour discuter entre eux des dernières nouvelles à ce propos et j’allais dans mon bureau pour me changer et mettre ma nouvelle tenue. J’étais presque nue quand j’entendis du bruit dans le couloir. Je restais sans bouger, les deux dernières collègues encore présentes quittaient leur bureau elles aussi.

Il était encore un peu tôt pour le dîner, nous sommes donc allés boire un verre au bar de l’hôtel de Bretagne. Wilfrid me tint compagnie pendant que Francis rentrait chez lui pour se changer. Il avait été subjugué quand il a vu la robe que Wilfrid avait choisie pour moi et il devait lui aussi être à la hauteur. Wilfrid me fit parler essentiellement de ma jeunesse en Bretagne, région où il avait lui-même exercé aussi en tant que directeur adjoint. C’était il y a quelques années de cela mais il avait gardé un bon souvenir des bretons. Et surtout des bretonnes ! Quand Francis arriva, c’est Wilfrid qui monta se changer à son tour. L’heure du dîner était proche et nous avons rejoint ensemble la salle du restaurant. Que du beau monde assis aux tables !

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