Seule Christiane a pu voir ce qu’elle faisait et le plaisir que cela me procurait. Une légère collation a été servie entre les deux parties de la réunion, histoire de remplir correctement les différents bons de commande. À plusieurs reprises, j’ai bien senti des mains qui venaient caresser mon fessier ainsi exposé. Cela avait pour effet de me maintenir dans un état d’excitation permanent. La réunion se poursuivit avec la présentation de toutes sortes de sex-toys. Jenny expliquait avec des mots simples les principales qualités de chaque objet.
Toutes les femmes présentes étaient, je pense, très excitées en se passant les jouets de main en main. J’avais fini par m’asseoir sur le bras du fauteuil que Christiane occupait. C’est Céleste qui lança bien malgré elle les « hostilités ». Ou bien, l’avait-elle fait exprès ?
Elle tenait entre ses mains un gode perroquet composé d’un phallus plutôt bien membré et d’une petite protubérance, moins large et plus petite, qui pouvait pénétrer l’anus quand l’autre était en place dans le vagin. Ça, je pense que toutes avaient compris. Une question lui brûlait pourtant les lèvres. Une petite languette dépassait légèrement de cette petite protubérance et elle en ignorait le fonctionnement.
Jenny reprit l’engin en main et actionna un bouton qui mit immédiatement la languette en action. Je trouve que le mot « languette » est parfaitement adapté car elle agissait comme une petite langue. Personne n’osa demander une démonstration. Clothilde prit alors le sex-toy en main et s’approcha de moi. Je savais d’avance ce qu’elle allait oser faire et j’étais d’autant plus excitée.
Elle était toute proche, écarta une de mes jambes, faisant immédiatement bailler le bas du body. Elle enfonça le phallus en moi doucement et positionna la languette sur mon clito. L’effet fut immédiat, je fermais les yeux pour mieux profiter de l’orgasme qui n’allait pas tarder à m’engloutir. Toutes ces femmes étaient désormais près de moi, observant la languette qui » léchait » mon bouton d’amour.
L’une des femmes baissa la bretelle du body, je suppose que c’est Christiane qui baissa la seconde avant de prendre mon téton en bouche. Je suis partie aussitôt dans des délires orgasmiques, où je pense que toutes ces femmes m’ont utilisée pour mon plaisir. Des mains différentes maniaient l’objet en moi, m’arrachant de subtils orgasmes à répétition. J’étais baisée, exposée, pelotée et j’en redemandais encore plus.
Je me suis réveillée entièrement nue allongée sur l’un des canapés. Plusieurs femmes avaient remis leurs vestes et se préparaient à partir. Elles remerciaient toutes leur hôtesse qui les avait si bien reçues. À charge de revanche. Jenny continuait à remplir les différents bons de commande et de futurs rendez-vous.
Bientôt, il ne resta plus que Céleste, Clothilde et moi. Christiane aussi évidemment, puisqu’on était chez elle, et Jenny. Clothilde s’approcha de Céleste et lui murmura dans le cou.
« À ton tour de te mettre nue ».
Céleste est une soumise dans l’âme, un peu comme moi. Il n’était nul besoin de lui répéter la consigne. Elle se déshabilla alors sous les yeux émerveillés de Christiane et Jenny semblait elle aussi très intéressée. Une fois nue, Clothilde l’amena près de Jenny, l’agenouilla devant la présentatrice.
La tête s’engouffra sous la jupe, laissant deviner de jolis bas blancs. L’extase monta rapidement chez Jenny qui dut s’asseoir sur une chaise. Céleste se tourna vers la maîtresse de maison et c’est à quatre pattes, comme une chienne, qu’elle la rejoignit.
Christiane écarta simplement ses cuisses et Céleste disparut entre les jambes bien ouvertes de son amie. Jenny avait un peu récupéré. Clothilde entreprit de la déshabiller à son tour avant de lui soupirer à l’oreille.
» Il est temps, maintenant, d’aller remercier comme il se doit votre complice pour cette superbe présentation « .
C’est donc en sous-vêtements qu’elle se glissa entre mes cuisses. J’avais depuis si longtemps rêvé ce moment que je faillis défaillir de bonheur. Ce que Mariya, Steffie et Emma avaient connus, j’allais le connaître à mon tour. Je redevenais une jeune fille qui connaissait ses premiers émois sous les caresses d’une femme exceptionnelle.
En tournant la tête, je vis que Clothilde avait ouvert le corsage de Christiane et s’occupait de sa somptueuse poitrine. Elle dominait tout le monde et cela suffisait à la combler. Après avoir joui sous les caresses de Jenny, je l’ai laissée prendre ma place et ce fut mon tour de la lécher amoureusement.
Clothilde avait enfilé un gode ceinture et était en train de baiser Céleste, toujours entre les cuisses de ma cheffe. Christiane, dépoitraillée et sublime, jouissait sans discontinuer. Tout ce qu’elle ressentait était décuplé par ce qu’elle voyait. Jenny et moi, ensemble sur le canapé face à elle, et Clothilde qui baisait sauvagement son amie Céleste.
Il était plus de 13 heures quand on finit par se rhabiller. On aida à charger la voiture de Jenny, se promettant de se revoir très vite. Clothilde et Céleste repartirent ensemble, chacune dans leur voiture mais je reste persuadée qu’elles se sont retrouvées chez mon ex-belle-sœur pour finir la journée. Je donnais un coup de main à Christiane pour tout remettre en place avant le retour de son mari. Elle était partie sous la douche quand il arriva. Je me présentais à lui comme étant l’assistante de sa femme. Il me serra la main en me fixant droit dans les yeux. Christiane lui avait-elle parlé de notre relation un peu plus que professionnelle ? Ou bien c’était Léandre qui avait parlé de moi à son père ? Je penchais plutôt pour cette seconde hypothèse.
Joël me tenait toujours la main et son regard semblait me déshabiller. Il ne m’aurait pas regardée autrement si j’avais été nue, là devant lui. Mais je ne pouvais pas. Je ne devais surtout pas succomber à la tentation. Je devais sentir le sexe, comme Christiane. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle était sous la douche. Il finit par me lâcher la main quand sa femme revint, toute fraîche.
Je pris congé du couple mais en quittant la maison, je sentais le regard avide du mari sur mes fesses. C’était vraiment un bel homme et, s’il n’avait pas été le mari de ma cheffe, j’aurais certainement succombé à son charme. J’avais pu admirer les photos des deux autres filles du couple, que je n’avais jamais rencontrées. L’une était en photo de mariée, l’autre en photo dans un parc, sublimée, semble-t-il, par l’expérience d’un photographe professionnel.