Elle défit sa robe et la laissa glisser sur le sol, ôta son soutif et descendit son boxer. Nue, elle s’approcha de moi et entreprit de me déshabiller à mon tour, ma mini, mon top puis mon soutif. Elle s’agenouilla pour faire glisser mes collants, tendrement, puis mon string finit sur le sol aussi. Elle me poussa délicatement vers le bord de son lit, écarta mes cuisses et commença la plus tendre des caresses.
J’étais aux anges, quand j’aperçus la petite sœur, Charlène, les yeux écarquillés, qui n’en perdait pas une miette. Je posais mon doigt sur ma bouche pour lui demander le silence. D’un regard, elle me fit comprendre qu’elle avait compris, mais elle resta là à regarder sa grande sœur, à genoux entre mes cuisses, qui ne tarda pas à me faire jouir sous ses caresses. Quand je rouvrais les yeux enfin, la porte de la salle de bain était fermée et Amélie finissait de me nettoyer avec sa langue.
Puis, elle vint se coucher près de moi. Elle s’endormit très vite, trop vite, et je voulais encore profiter de ce corps splendide, caresser ces hanches, ces cuisses, sa poitrine délicieuse. Ma bouche remplaça mes mains sur ses tétons, ce qui la fit gémir. Allongée sur le dos, bras et jambes écartés, je me glissais entre ses cuisses et je poursuivis ma tétée. Ma langue tournait autour de ses larges aréoles, puis agaçait son téton, le faisant grossir, puis je passais à l’autre sein.
Ma chatte frottait contre la sienne, ouverte, impudique, humide déjà. Puis nos clitos entrèrent en contact l’un avec l’autre et je sentis comme une décharge électrique, avant de jouir une nouvelle fois. Je m’allongeais près de ma douce amie, comblée enfin. Je regardais son visage, elle souriait de bonheur.
Je me réveillais tôt le lendemain, comme à mon habitude, et je pris une douche, avant de descendre déjeuner. Malgré ce que m’avait dit Amélie, je ne fermais pas la porte de communication. Bien sûr, Charlène savait très bien que sa sœur dormait encore, et que ce ne pouvait être que moi qui prenait une douche. De plus, elle n’avait pas entendu la porte se verrouiller, comme le faisait sa sœur à chaque fois.
Elle entra donc dans la salle de bains, fit la fille surprise en m’apercevant, toute nue, puis s’approcha de moi pour me dire bonjour. On s’embrassa sur les deux joues et je retournais me laver, sachant très bien qu’elle me regardait. Au juste, j’adorais ça ! Elle se lava les dents, tout en me regardant dans le miroir. Je sentais venir LA question. Charlène était bien plus délurée que ne l’était Amélie quand je l’ai connue. Je ne fus pas du tout surprise quand elle demanda si elle pouvait prendre sa douche avec moi. J’acceptais bien sûr, et elle ôta sa chemise de nuit et sa culotte à fleurs.
Merveilleuse jeune fille. Pour entrer dans son jeu, je lui demandais si elle pouvait me frotter le dos. Elle ne se fit pas prier et commença à me laver énergiquement, comme je lui avais dit. Puis ses mains descendirent sur mes fesses, elle y prenait plaisir. Puis elle me rinça le dos, et sans prévenir, je me retournais, si bien que ses mains étaient sur ma poitrine. Ses grands yeux ne pouvaient quitter cette vue, ni ses mains. Puis elle leva les yeux vers moi, me tendit le gant en me demandant de lui frotter le dos à mon tour. Je me suis comportée en adulte, responsable, et je n’eus aucun geste déplacé, même si je pense que c’est ce qu’elle désirait.
Quand elle se retourna vers moi, je la complimentais sur son corps, parfait à mes yeux. Elle sembla juste un peu gênée, puis ravie du compliment. Tandis que je la séchais avec le drap de bain, elle m’avoua que c’était la première fois qu’on la voyait toute nue, mis à part le médecin, et aussi qu’elle voyait une femme entièrement nue. Elle prit le drap de bain pour me sécher à son tour et je la laissais faire.
Elle retourna dans sa chambre pour s’habiller et j’en fis de même. Quand je fus prête, j’allais frapper à sa porte et nous sommes descendues dans la cuisine pour déjeuner. Sa maman était debout, elle aussi, et déjeunait, seule. Elle fut ravie d’avoir un peu de compagnie, pour une fois. L’une comme l’autre avait des tas de questions à me poser et j’y répondais volontiers. Puis Corinne alla réveiller son mari, et Amélie, qui dormaient encore car il était prévu d’aller manger en crêperie, ce midi, pour fêter l’anniversaire de Charlène.
Je lui dis que je l’ignorais, sinon j’aurais amené un petit quelque chose pour l’occasion. Elle me répondit que ma présence était suffisante pour lui faire plaisir. Elle en profita pour m’inviter à la fête qu’elle donnait ce samedi, avec ses amies, autour de la piscine. Devant ma surprise, elle m’entraina dehors, sur la terrasse et je pus admirer cette magnifique piscine (maçonnée, pas en plastique) qui occupait tout l’arrière de la maison, avec ses abords en pierre, tandis qu’un petit coin de pelouse était gardé sur le côté de la maison, à l’abri de la haie de tuyas.
Amélie déjeunait dans la cuisine, les cheveux tous ébouriffés. Charlène ne fit visiter le reste de la maison, m’indiqua la chambre de ses parents et la salle de bains, sans qu’on puisse y entrer bien sûr, et le bureau de son père. Elle m’ouvrit juste la porte, précisant que personne ne pouvait y entrer sans y être autorisé. Francis arrivait justement, un café à la main, embrassa sa fille puis se tournant vers moi, me salua. Je m’approchais pour l’embrasser à mon tour. Il me sourit, ravi, puis s’enferma dans son bureau pour clore un dossier qu’il devait présenter le lendemain à son client. Avant cela, je l’avais félicité pour la maison et la piscine qu’il avait lui-même dessinées et construites, avec son entreprise.
Charlène me demanda comment je trouvais sa tenue pour sortir. Je lui affirmais qu’elle était très jolie avec son corsage blanc, sa jupe plissée écossaise et les souliers vernis qu’elle prévoyait de mettre. Je lui proposai une petite touche finale pour être vraiment parfaite, des collants blancs. Elle acquiesça et m’entraina dans sa chambre. Amélie était sous la douche, porte fermée (hihihi). Charlène ouvrit un tiroir et me présenta ce qu’elle avait.