LÉANDRE (05/06)

J’avais beau lui répéter que je ferais tâche dans le paysage avec toutes les jeunes filles, il réussit finalement à me convaincre. Il venait de me baiser magnifiquement une nouvelle fois et, à bout de forces, j’avais accepté. À une seule condition. Qu’il ne me laisse pas seule avec toutes ses copines. Il proposa de choisir lui-même quelle tenue je porterais et commença à visiter mes commodes, mes penderies.

Je rougissais légèrement en le voyant farfouiller parmi mes dessous. Il finit par trouver ce qu’il voulait, un ensemble culotte et soutif que Clothilde m’avait fait acheter mais que je n’avais jamais porté. Sauf le jour de l’essayage.

La culotte était très échancrée et le soutif cachait tout juste mes mamelons. Aurore avait été ravie de me voir dans cet ensemble, pour ensuite me l’enlever avec passion. J’en gardais un très bon souvenir. Et ce souvenir remontait à la surface en voyant Léandre qui le manipulait, essayant de m’imaginer, habillée ainsi.

D’ailleurs, pourquoi imaginer quand je pouvais le mettre, tout simplement ? Ce qu’il me demanda et que je fis sans hésiter. Il remarqua que j’étais excitée et me nettoya avec sa langue avant de m’habiller. Il choisit ensuite une jupe très courte et un top hyper moulant.

Il resta près de moi pendant que je me maquillais, sans forcer. La bosse de son pantalon me renseigna sur son état d’excitation. Une fois prête, je me levais pour le laisser admirer le résultat. Il me fit tourner sur moi-même, flatta mes fesses, caressa mes cuisses. Je le sentais prêt à me violer sur place. Sauf que cela n’aurait pas été un viol.

Perchée sur des bottines à talons, nous avons pris le tram pour rejoindre Avrillé. Ma tenue a eu beaucoup de succès auprès de la gente masculine. Peu de femmes à cette heure-là, j’aurais aimé voir leurs réactions à elles aussi. Léandre, collé contre mes fesses, pouvait également se rendre compte de l’effet que je faisais. Et moi, je sentais sa virilité qui durcissait.

La fête se tenait dans un pavillon, avec piscine. Si j’avais su, j’aurais prévu un maillot de bain. J’étais bien évidemment la plus âgée de toutes les filles présentes mais pas la moins sexy. Je voyais les mecs se rapprocher pour venir me saluer, tous voulurent me faire une bise, voire deux. Léandre était vraiment satisfait de la réaction de ses copains.

Il avait certainement dû leur dire qu’il amènerait sa maitresse et tous étaient surpris, voire excités. En dansant, je sentis plusieurs fois des mains indiscrètes se poser sur mes fesses, j’acceptais cet hommage. L’alcool aidant, et la soirée déjà avancée, je me retrouvais entourée par tous ses potes. Quand je dis entourée, j’étais véritablement pressée entre eux.

Tout mon corps était en contact avec un garçon, mes fesses surtout contre lesquelles un sexe durcissait, ma poitrine aussi, mais pas de mains indélicates, juste compressée entre des jeunes corps d’éphèbes. J’étais vraiment heureuse de l’accueil qui m’avait été réservé. Léandre également.

Certaines jeunes filles quittèrent prématurément la fête, ne souffrant pas la concurrence avec moi. Des jalouses, ou des mal-baisées. Restaient deux ou trois filles, dans les bras de leur mec. Et Clémence. Une belle jeune fille brune, avec une poitrine merveilleuse. Je peux l’affirmer car elle se mit en maillot, deux pièces, et entra seule dans la piscine.

Je voyais bien ce qu’on attendait de moi, que j’aille la rejoindre. J’expliquais que je n’avais pas pris mon maillot. Tous les garçons autour de moi insistèrent, prétextant que ce n’était pas grave. Clémence ôta alors son haut de maillot, dévoilant alors ses seins fabuleux.

Ce fut ce geste qui me décida à la rejoindre. J’avais juste le haut à enlever pour me retrouver en soutif. Tonnerre d’applaudissements. La jupe tomba à son tour, nouveau brouhaha. J’ôtais mes bottines pour entrer dans l’eau. Arrivée à la taille, j’ôtais également le soutif pour faire comme Clémence.

Les garçons nous rejoignirent dans la piscine et commencèrent à nous chahuter. Histoire de nous peloter gentiment. Il est vraiment très agréable de se sentir désirée par autant de jeunes hommes, avec de belles bosses qui déformaient leurs maillots de bain. Nos fesses, nos hanches, nos ventres et principalement nos poitrines étaient caressés, malaxés, pelotés. Pour le plus grand plaisir de tous.

Serrées l’une contre l’autre, ce qui devait arriver arriva. Clémence tendit ses lèvres vers les miennes, que je ne lui refusais pas. Pendant quelques secondes, les garçons restèrent à nous admirer, sans nous toucher, puis reprirent leurs caresses. Plus précises encore, plus ciblées. Je vis parfaitement le bas du maillot de Clémence qui disparut à ses pieds. Puis aussitôt après, c’était ma culotte qui se retrouvait sur mes chevilles.

Nous étions nues, toutes les deux, dans cette piscine, entourées de garçons en rut. Très vite leurs maillots se retrouvèrent au sol, leurs queues se frottant contre nous qui n’avions pas cessé de nous embrasser. Un des garçons attrapa ma main pour la poser sur sa queue, bien bandée. Mon autre main fut aussi sollicitée. Léandre se glissa entre les deux femmes, face à moi.

Sa queue se cala entre mes cuisses, en se baissant un peu, il me pénétra délicieusement. Une autre bite farfouillait autour de mon cul et réussit à s’introduire également. J’étais entourée de 4 garçons, Clémence seulement deux. Un qui la baisait tandis que l’autre lui pelotait amoureusement les seins. Elle gémissait de plaisir, tout comme moi. Sur les transats, d’autres couples batifolaient avec renforts de gémissements en tout genre. Une fille avait une queue dans la bouche tandis qu’un mec la baisait par derrière.

Cette fille, sans la connaitre, c’était moi il y a quelques années en arrière. Je me revoyais profitant de tous les plaisirs que la vie pouvait m’apporter. Un garçon différent à chaque fête, mais rarement deux en même temps. Mais pouvais-je affirmer que je me souvenais de tout ?

Sortis de la piscine, les matelas des transats avaient été posés au sol, formant un grand lit improvisé. Léandre me reprit en levrette tandis que ma bouche aspirait une nouvelle queue. Celle-ci venait de sortir de la chatte de Clémence. Je sentis d’autres sexes en moi, certainement des amis de Léandre.

Entre deux séances de baise, j’entendais leurs commentaires sur ma façon de les sucer. Si j’ai bien compris, tous les mecs présents sont passés au moins une fois dans ma bouche, certains ont dû visiter mon vagin, et d’autres mon cul. J’étais la salope de service et j’aimais me donner à eux. Clémence avait aussi beaucoup de succès.

On se retrouva plus tard dans le salon, même configuration, les matelas et coussins jonchant le sol. J’ai fini par m’endormir, ivre de plaisir et de fatigue. Mais je sais bien que j’ai continué à être baisée une bonne partie de la nuit. Tout comme Clémence. Je l’ai sans doute rêvé mais j’ai cru apercevoir un troisième couple. Donc forcément deux mecs. Après tout, pourquoi pas ? Le plaisir avant tout.

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