Élise (17/21)

Ma langue s’aventura jusqu’à son anus et je la sentis se raidir, avant d’accepter la caresse de ma langue. Je fis le tour de sa rondelle, puis plongeais ma langue au plus profond que je pouvais. Cette attaque la fit se relever un peu du canapé, ce qui me permit de glisser mes mains sous ses fesses, pour en écarter les deux globes, et aller plus profond encore. Elle semblait apprécier, vraiment, d’autant que Yasmina lui caressait les deux seins maintenant.

Elle finit par poser ses deux pieds sur mes épaules, me donnant libre accès à son cul. Et moi j’en profitais, pleinement, Élise toute ouverte et offerte à ma bouche gourmande. Le plaisir la prit par surprise, et la laissa sans voix. Elle se cambra simplement, vibrant de tout son corps. On aurait cru une épileptique. Puis la tension retomba petit à petit, la laissant sans force. Je la laissais reprendre ses esprits en finissant mon verre, et j’en servais un autre à Yasmina. On discuta un peu et elle me glissa deux billets de 500 €, un pour chacune, pour notre prestation.

Je souriais tout au fond de moi, être payée pour faire l’amour à mon amie, et bien payée même. Elle me dit également qu’elle ne pourrait pas être à la discothèque le lendemain, diner avec sa famille, suivi d’une soirée mondaine où elle se devait de s’afficher. Mais qu’elle serait présente le samedi soir en compagnie d’amis et qu’elle espérait bien nous y trouver. Je la rassurais en lui disant que c’était un immense bonheur pour nous de la servir, en tout.

Quand Vassili nous raccompagna à la porte, je remarquais la bosse que faisait son pantalon. Impassible oui, mais pas sourd. Nous sommes rentrées en voiture, bien sûr, mais nous sommes effondrées à peine dans le lit, vaincues enfin. Le lendemain, je me levais tôt, comme à mon habitude, pour profiter pleinement de ma journée. Matinée de ski, puis retour à l’appart et sieste pour être en forme le soir. Toutes deux serrées à moitié nues sous la couette, je racontais à Élise tout ce qui m’était arrivé avec Noémie et comment j’avais atterri dans le Carré VIP.

Ce qui lui avait aussi ouvert les portes. Elle me sembla très intéressée, avide de détails. Ce vendredi-là, pas d’incident particulier, ni d’aventure spéciale, juste le train-train quotidien.

Élise et moi, toujours dans le Carré VIP, avons encore cartonné ce soir-là, bien qu’il n’y ait eu que peu de monde. Dans son bureau, la patronne nous a félicité pour notre travail et je pense que nous aurions eu droit à une récompense spéciale si son mari n’était pas arrivé à ce moment-là. Elle nous avait vues, monter et descendre sans arrêt, et son mari lui apportait les chiffres de la soirée.

Pas un record mais vu le nombre de clients, une très bonne soirée pour eux. Je les vis se concerter du regard, avant de nous donner chacune un billet pour nous récompenser de notre travail, et nous inciter à faire mieux, lol. Juste une mise au point, n’en parler à personne pour éviter les jalousies. Nous sommes rentrées heureuses, un billet de 100 € en plus dans la poche.

Le lendemain, samedi, retour sur les pistes le matin. Élise a tenté de contacter la jeune fille, celle qui venait de fêter ses 20 ans, mais pas de réponse. J’appris, plus tard, qu’elle la revit la semaine suivante, j’étais partie, et qu’elles ont passé toute la nuit ensemble. Après le repas, sieste en petite tenue, c’est-à-dire juste une culotte.

« Vivre libre et sans entraves » était notre devise à toutes les deux. Noémie vint toquer à notre porte et proposa de passer l’après-midi avec nous. J’acceptais malgré les doutes que je lisais sur le visage d’Élise. Sans doute avait-elle prévu quelque jeu entre nous et la présence de Noémie l’en empêchait.

Noémie adopta notre tenue et se déshabilla devant nous, posa ses vêtements sur le sol et vint se mettre entre nous sur le lit. Elle était totalement libérée, assise entre nous deux, plus du tout timorée comme ses premiers jours au boulot. Nous avons parlé de tout et de rien, de fringues, des soldes qui allaient bientôt commencer, de son école car elle était en alternance une semaine école, trois semaines au travail. Pas un geste déplacé, puis elle a posé enfin la question qui la taraudait depuis un moment, à savoir si nous étions ensemble, Élise et moi.

C’est d’ailleurs elle qui lui répondit que nous étions de très bonnes amies, complices de jeux érotiques quand nous le voulions, mais que nous étions libres comme le vent. Noémie sembla rassurée de cette réponse, ne voulant pas mettre le désordre dans un couple. Je lui précisais alors que j’avais tout raconté à Élise et qu’ensuite, nous avions fait l’amour.

Elle rougit en repensant à l’épisode de la fessée et nous montra ses fesses, précisant qu’elle en sentait encore la brulure. Élise la rassura, en lui remontant sa culotte, en lui précisant qu’il n’y avait aucune marque et qu’elle avait un petit cul très désirable. Pour le coup, c’est Élise qui semblait toute timide devant cette jeune fille, elle aurait pu, elle aurait dû profiter de la situation, mais l’avait rhabillée.

D’ailleurs, l’heure avançait et il était temps d’aller se préparer. Noémie se rhabilla vite fait pour regagner son appart, qu’elle partageait avec une autre serveuse. Deux petits lits dans son appart alors qu’Élise en avait un grand pour elle toute seule, en temps normal. Tout en prenant ma douche avec Élise, je repensais à ce que je venais de voir et je me suis dit que c’est la première fois que je voyais mon amie aussi émue par une autre fille. Serait-elle amoureuse ? Lol, la question restera en suspens.

Le service au restaurant se déroula sans encombre, aucun souci. Petite pause avant de reprendre en discothèque. Je riais doucement en voyant Élise se rapprocher de Noémie, la frôler, la caresser presque, faire sa danse de séduction en somme. Et la jeune fille qui ne semblait n’avoir d’yeux que pour moi et qui ne remarquait rien. Juste une impression ?

Nous avons laissé Noémie dans la grande salle du bas, avec les autres serveuses, pendant que nous montions au Carré VIP, en mezzanine. Beaucoup de jeunes ce soir, et les consommations allaient bon train. Les bouteilles de Whisky, de Vodka, Jet et Malibu défilaient à tout va. Le champagne aussi pour certaines tables, comme Yasmina qui m’appela pour la servir. À sa table, 6 jeunes filles et 4 garçons, apparemment chacun en couple avec une des jeunes filles du groupe.

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