« N’importe qui ! » insistais-je.
« Oui, oui, papa. Je te dirais s’il recommence ».
Je sentis une hésitation dans sa voix. Je n’osais imaginer que d’autres avaient déjà essayé. Je la pris dans mes bras pour la rassurer totalement et je reposais une fois de plus la question. Elle était incertaine mais je la sentais prête à tout me dévoiler.
Elle baissa la voix pour finir par m’avouer qu’une autre personne l’avait déjà touchée. Lui avait même donné du plaisir. Elle ajouta rapidement, comme pour se dédouaner, que c’était une fille, de son âge. Cette nouvelle révélation fit son petit effet. Ma fille lesbienne ! Bon, après tout, pourquoi pas ? Aucun risque de tomber enceinte par accident.
Elle me précisa également que, même si elle n’était pas à l’origine de cette situation, elle avait adoré ça et était prête à recommencer à tout moment. Une seule question me brûlait les lèvres. Sans le moindre mot, Orlane comprit mon silence.
» C’est Laura « . Finit-elle par me murmurer.
Un flash me revint en mémoire. Laura et Orlane, faisant du monokini sur la plage, l’été dernier. Je savais qu’elles étaient les meilleures amies du monde, j’ignorais que c’était bien plus que cela. Je n’ai jamais pu imaginer ma fille entre les bras d’un homme. Alors une fille, pourquoi pas ?
« Ma chérie, quoique tu fasses, je serais toujours là pour te soutenir dans tes choix. Je suis ton père et je t’aime telle que tu es ».
Ma méfiance à l’égard de Stéphane n’avait cessé de croître depuis ce début d’année, tout comme mes sentiments qui devenaient plus forts envers Lauryn. Je n’avais pas pu les accompagner lors des vacances de Février. Au retour de la montagne, Lauryn était encore plus belle, plus désirable que jamais.
Je devais impérativement trouver un moyen pour lui avouer mes sentiments sincères. La rénovation de ma dernière acquisition fut le déclencheur. Stéphane me vantait toujours les goûts très sûrs de Lauryn à propos de décoration intérieure. Et c’est lui-même qui proposa à sa compagne de visiter l’appartement où nous sommes pour me donner son avis « d’experte ».
Je l’avais suivie dans chaque pièce, notant méticuleusement toutes les remarques judicieuses qu’elle faisait. Je ne pouvais m’empêcher de fixer par moments son joli cul qui déambulait devant mes yeux. Quand j’étais placé à ses côtés, je remarquais qu’un bouton du corsage était défait et laissait entrevoir la lingerie qu’elle portait dessous.
Il est évident que je me plaçais toujours du bon côté pour tenter d’en apercevoir plus. Nous finissions par la grande salle quand je reçus un appel important. Je m’isolais quelques instants pour répondre à mon interlocuteur.
C’est en revenant dans la salle que je fus littéralement subjugué par la vision de Lauryn, debout face à la porte-fenêtre. Les rayons du soleil passaient au travers de sa jupe, me dévoilant des jambes magnifiques. Elle semblait perdue dans ses rêveries dont j’aurais voulu être le principal acteur.
Plus j’approchais d’elle, et plus mon envie était forte. Incontrôlable. Elle sursauta légèrement quand mes mains se posèrent sur ses hanches. Je me collais à elle sans qu’elle n’eût aucune réaction de refus. Puis mes mains remontèrent vers sa poitrine.
Elle acceptait la caresse, mieux, elle se donnait entièrement. Elle se pencha légèrement en avant, plaquant ses fesses contre ma queue. Puis posa ses mains de chaque côté de la porte-fenêtre. Mes mains avaient atteint leur but et découvert les tétons déjà très excités. Naturellement, je commençais à dégrafer le corsage, dévoilant ses trésors.
Je pus de nouveau reprendre ses seins à pleine main pour les malaxer, les caresser, les cajoler. J’étais aux anges et je pense que, elle aussi, appréciait les caresses que je lui prodiguais. Je défis l’attache du soutif pour libérer ses merveilles. Et les caresser à même la peau.
Une main redescendit sur son ventre, puis entre ses cuisses. Qu’elle écarta. Cette invitation ne pouvait être refusée. Mes deux mains retrouvèrent ses hanches, remontèrent la jupe, baissèrent les collants, puis la culotte. Elle acceptait tout pour mon plus grand bonheur.
Elle poussa une légère plainte quand je m’éloignais de quelques centimètres pour baisser mon pantalon et enfiler un préservatif. Je me recollais rapidement contre elle et, cette fois, ma queue vint se frotter contre sa fente dégoulinante de désir. Quelques mouvements pour mesurer son état d’excitation avancée.
Je me plaçais finalement en position idéale et la prenait à fond. D’une seule poussée. Elle était tellement humide que je rentrais très facilement. Commencèrent alors les va-et-vient. Ses seins, libérés, dansaient sous mes coups de butoir. Une main sur la hanche, pour la baiser à fond, l’autre sur ses seins pour l’exciter au maximum.
Je l’ai prise ainsi durant presqu’une heure, accélérant quand je sentais son orgasme approcher, ralentissant quand j’étais prêt à éjaculer. Je retrouvais une seconde jeunesse entre ses lèvres intimes. C’est lorsqu’elle a joui pour la troisième fois que, enfin, je décidais de me déverser en elle. Je restais pourtant dur, bien planté en elle. La capote avait parfaitement rempli son office.
En prévision de ce rendez-vous, j’étais allé acheter une boîte des préservatifs samedi dernier. J’étais allé au magasin Leclerc, où personne ne me connaissait. Hésitation devant le choix cornélien qui s’offrait à moi. Une jeune vendeuse, sans doute une stagiaire, vint me conseiller. Un modèle avec des petits picots qui multipliaient le plaisir de la partenaire.
Elle m’entraina dans la réserve toute proche pour me prouver ses dires. J’étais abasourdi par son audace de jeune allumeuse mais je cédais à la tentation. Pour deux raisons, la première c’était pour vérifier ces affirmations. La seconde, c’était plutôt pour me rassurer. Cela faisait longtemps que ma femme était décédée et mes rapports avec les femmes en avaient été bouleversés.
J’étais pourtant très excité en suivant cette jeune fille. Elle connaissait les lieux, bien évidemment, et savait où nous ne serions pas dérangés. Elle ouvrit mon pantalon, s’accroupit pour lécher ma queue avant d’enfiler le préservatif. Elle ouvrit sa blouse et releva sa mini-jupe. Elle n’avait pas de culotte. Cette vision me rendit fou de désir pour elle et je la prenais d’un coup.
Elle tempéra un peu mes ardeurs, me donna la cadence qui lui convenait et je pus l’emmener au septième ciel deux fois avant de me répandre dans le réservoir. On croisa un de ses collègues en retournant vers la surface de vente et elle me parla comme à un fournisseur. Elle me laissa près de la porte automatique et retourna en réserve. Cette jeune coquine avait tout d’une nymphomane, mais ce n’était pas moi qui allais m’en plaindre.
La nature fait bien les choses. Mon sexe reprit une taille normale avant d’être éjecté de la chatte de ma partenaire. Elle se tourna vers moi pour m’offrir notre premier baiser d’amour. J’en espérais beaucoup d’autres. Une petite grimace cependant, elle me confia qu’elle aimerait que j’arrête de fumer. Je lui affirmais que, pour elle, j’étais prêt à toutes les extrémités et que, bien évidemment, puisqu’elle le souhaitait, j’allais arrêter.
Elle m’offrit sa bouche une nouvelle fois et mon corps réagit immédiatement. Elle releva une jambe pour la passer dans mon dos, son talon sur mes fesses. Dans cette position, j’avais juste à me baisser légèrement pour retrouver sa chatte accueillante. Pris dans un nouveau tourbillon amoureux, je la décollais du sol.
Accrochée à mon cou, ses jambes me serrant la taille, je pouvais aller et venir dans la pièce. À chaque pas, elle s’enfonçait plus profondément. Ses seins tressautaient sous mes yeux, c’était un spectacle extraordinaire. La jouissance arriva très vite, pour elle comme pour moi.