Elle s’abandonna au plaisir et se laissa tomber sur le lit, entrainant Doriane, qui se retrouva à genoux sur le lit près d’elle. Elle prit l’autre sein en bouche et continua de caresser l’autre avec l’intérieur de sa paume. Moi, de mon côté, je relevais la jupe de Marianne et me glissais entre ses cuisses. La coquine ne portait rien dessous, hormis ses bas noirs. Immédiatement, elle écarta ses cuisses, me laissant libre accès à son intimité.
Et je ne me fis pas prier pour l’amener rapidement à l’extase, ma langue parcourant tantôt sa fente humide, tantôt son bouton d’amour, très dur et très rouge, gorgé de sang. Un premier spasme la prit par surprise mais je ne m’arrêtais pas à ça et continuais de plus belle, jusqu’à la voir se tendre de nouveau, tel un arc, pour son deuxième orgasme.
Machinalement, sa main s’insinua entre mes cuisses pour chercher mon clito, qu’elle trouva rapidement et commença à me caresser doucement. Doriane était toujours occupée à téter, tantôt l’un, tantôt l’autre sein. Marianne dirigea sa main gauche vers son entrejambe, s’immisça sous son string et ressortit aussitôt, les doigts humides de sa mouille.
Elle se releva, puis demanda à Doriane d’ôter son string. Elle le fit, tout en gardant les yeux baissés.
–Il va falloir me raser tout ça. Je n’aime pas les chattes poilues.
D’autorité, elle allongea mon amie sur le lit, plaça une serviette sous elle, et sortit de son sac les ustensiles nécessaires à un rasage en bonne et due forme. Doriane la regardait faire, ébahie, et docile. Elle ne tenait pas à recevoir une nouvelle correction. Elle appliqua un gel qui se transforma en mousse onctueuse et entreprit de raser mon amie. Je la rassurais du regard afin qu’elle ne bouge pas plus que nécessaire. Puis je me plaçais sur son ventre pour maintenir ses jambes écartées au maximum.
L’opération se déroula à merveille, Marianne étant très douce et très sûre dans ses gestes. Habituée à le faire, sans doute ! Dans cette position, Doriane devait avoir une vue imprenable sur ma chatte toute humide, comme moi j’en avais une sur la sienne, rasée de près à présent. Une fois essuyée, Marianne se recula pour admirer le spectacle, puis commença à la lécher frénétiquement. Je tenais toujours ses jambes grandes ouvertes et j’apercevais sa chatte luisante par moments.
Je me reculais un tout petit peu pour lui présenter la mienne et je sentis sa langue, timide, qui s’efforçait de reproduire les coups de langue que Marianne lui prodiguait. La situation, plus que les effets de sa caresse me firent avoir mon premier orgasme et je jouis dans sa bouche. Elle dut tout boire et cela déclencha chez elle son orgasme également. Heureuse, Marianne se recula et me laissa le soin de nettoyer la chatte imberbe (désormais) de mon amie.
–J’adore bouffer de jeunes chattes fraichement rasées. Et en plus, pour toi, c’est la première fois ? J’adore ça. Je serais pour toujours la première à tes yeux, et ça, on ne l’oublie jamais.
–Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous, les filles, moi, je vais prendre une douche.
–Ah oui, j’oubliais, vos enveloppes.
Elle les sortit de son sac et, sans se retourner, se dirigea vers la douche.
Je me rhabillais rapidement et j’aidais Doriane à se débarrasser de ses collants en lambeaux. Puis à s’habiller, string, jupe, soutif et sweat. Puis nous quittâmes la chambre, nos enveloppes en poche.
Seules sur le palier, nous prîmes quelques minutes pour respirer. Doriane semblait heureuse de ce moment passé avec Marianne, et moi.
Sans dire un mot, j’ouvris son manteau, m’accroupis devant elle pour glisser mes mains sous sa jupe et ôter son string. Elle se laissa faire et nous sommes reparties vers l’arrêt de bus, son string dans ma poche.
Assises tout au fond du bus, personne ne put me voir glisser ma main sous sa jupe pour la caresser. Elle ouvrit ses cuisses le plus qu’elle pouvait et posa sa tête sur mon épaule, s’abandonnant au plaisir. Je ressortis deux doigts mouillés de cyprine que je portais à ses lèvres, puis recommençais pour les lécher à mon tour. Je la sentais comblée de bonheur. Le trajet ne dura pas assez longtemps et je l’invitais chez moi, pour finir la soirée.
A peine arrivées chez moi, je pris sa bouche et défis son manteau. Puis ôtais son sweat et dégrafais son soutif. Je m’écartais juste un peu pour admirer sa poitrine que j’avais aperçue dans la chambre d’hôtel. Là, je pouvais la toucher, et l’embrasser, et la malaxer. Et je ne m’en suis pas privée. Je suçais, tétais et malaxais ses jolies rondeurs tout en l’entrainant vers mon lit. Je relevais sa jupe pour caresser ses deux globes merveilleux, encore un peu marqués par la fessée reçue.
Elle était quasiment nue quand elle tomba à la renverse sur mon lit. Moi, je plongeais entre ses cuisses pour admirer à nouveau sa petite chatte, rasée de près et si délicieuse. La jouissance la prit par surprise et je la vis se tendre comme un arc, seule sa tête touchait encore le lit. Vicieuse, je continuais à la lécher et j’introduisis un doigt dans son cul. Elle se mit à trembler de toutes parts, au comble du bonheur.
La tension retomba, elle aussi, et je pus retourner sucer ses seins magnifiques, offerts à ma bouche. Elle croisa ses jambes dans mon dos, m’emprisonnant et m’empêchant de partir. J’étais trop bien ici et n’avais nulle envie de partir, lol. Au bout d’un moment, je m’allongeais près d’elle et elle commença à me déshabiller. Le top d’abord, pas de soutif.
Elle posa un tendre baiser sur chacun de mes tétons qui réagirent aussitôt. Ensuite ma minijupe et ma culotte. Nous étions enfin nues, toutes les deux, côte à côte. Elle entreprit de me caresser, maladroitement, mais c’était quand même agréable. Ses doigts timides qui parcouraient mon corps, mon sexe. Je la plaçais à califourchon, au-dessus de moi, chatte contre chatte et elle commença à se frotter, doucement d’abord, puis plus vite.
Je voyais avec plaisir sa poitrine se balancer devant mes yeux et une décharge électrique nous parcouraient chaque fois que nos clitos entraient en contact. À ce régime-là, elle fut la première à jouir, aussi je la saisis à la taille et continuais seule les mouvements de va et vient l’une contre l’autre. Un long râle sortit de sa gorge quand elle s’écroula sur le lit, près de moi. Je me retrouvais au-dessus d’elle, continuant frénétiquement, jusqu’à l’extase finale.
Plus tard, nous avons diné juste un peu avant de retourner nous coucher. Doriane s’endormit très vite, comblée par sa soirée. Moi, je jouais encore un peu avec son corps offert à mes caresses avant de sombrer également. En me réveillant le lendemain, je vis son visage souriant au-dessus de moi. Elle m’embrassa tendrement avant de se lever.
Nous nous sommes revues beaucoup plus souvent depuis cette soirée-là, mais surtout pour discuter. Je lui expliquais comment et surtout où je trouvais mes « plans culs ». Je l’ai également mise en contact avec Murielle et Nicole.
Elle ne travaille plus à la cafeteria depuis que je l’ai initiée. Elle trouve du plaisir à gagner de l’argent ainsi, tout comme moi.
J’ai même cru comprendre qu’un « réseau » s’était monté autour d’elle.
Bonjour Steffie,
Comme tu l’as été, je suis étudiante à Rennes et j’aimerais rencontrer Doriane, si elle est toujours sur Rennes.
Peux-tu lui dire de me contacter ?
J’ai vraiment envie de la connaitre.
Merci pour avoir partagé tes aventures.