Les parents d’Élise ont emménagé sur Nantes en 2006 suite à la mutation de son père, gendarme. Elle a intégré le lycée où j’étudiais et nous nous sommes retrouvées dans la même classe. Elle m’a plu dès le premier regard, un petit quelque chose en elle, un je-ne-sais-quoi qui la rendait différente, et attirante. Elle avait 17 ans, moi 16.
La semaine suivant la rentrée, visite médicale. J’arrivais dans les premières, me déshabillais, ne gardais que soutif et culotte, puis je prenais un magazine et me plongeais dans la lecture d’un article. Mais j’en profitais pour mater mes camarades qui entraient dans la salle d’attente. Absorbée par ma lecture, je leur laissais gentiment mon tour. Juste un stratagème pour les voir toutes en petites tenues. Puis entra Élise, petite poitrine bien haute et joli petit cul bien formé.
Tout comme moi, elle prit un magazine et regardait les autres filles nous passer devant. Quand nous fûmes les deux dernières à passer, je me levais et je pus sentir son regard appuyé sur mes fesses. Je me retournais brusquement arrivée à la porte et je surpris son regard coquin. Elle baissa les yeux aussitôt, mais trop tard.
Je ressortais du cabinet de la doctoresse sans soutif et là, elle ouvrit de grands yeux devant ma poitrine plutôt forte à l’époque. (J’ai beaucoup perdu de ce côté-là et je le regrette un peu). J’allais vers elle directement et elle ne quitta ses yeux de ma poitrine que lorsque je lui dis que c’était à son tour, maintenant. Elle se leva à regret et se dirigea vers le cabinet. Une petite tape sur ses fesses pour l’encourager, cela la fit sourire.
Le lendemain, nous avions sport. Gymnastique artistique et athlétisme. La plupart des filles portaient des shorts extra moulants qui ne cachaient presque pas leur intimité. On pouvait apercevoir leurs lèvres intimes bien séparées chez une ou deux filles, hyper sexy. En haut, un débardeur bien ajusté ou un tee-shirt trop grand chez celles qui souhaitaient cacher leurs formes.
Élise a pu nous faire admirer sa souplesse sur le tapis de sol et sa capacité à apprendre rapidement les mouvements. Quant à moi, j’étais plus à l’aise en athlétisme, surtout en endurance, cross-country. J’étais très souvent devant les autres mais quand je leur mettais un tour de piste dans la vue, j’en profitais pour admirer les petits (et moins petits) culs qui dodelinaient devant moi.
Puis venait enfin le moment tant attendu de la douche, salvatrice, et commune bien évidemment. Une grande salle carrelée de faïence blanche. Certaines filles étaient encore pudiques et cachaient ce qu’elles pouvaient aux regards indiscrets. Elles ignoraient sans doute que cette attitude les rendait encore plus désirables. Bien sûr, je matais celles qui ne se cachaient pas et admirais leur corps, mais revenais inlassablement vers les deux ou trois filles qui se tordaient dans tous les sens pour en montrer le moins possible.
Je remarquais qu’Élise matait tout comme moi le corps de ces camarades tout en se lavant à vitesse réduite. Je pouvais également admirer son corps, enfin sans aucun vêtement et la laissais admirer le mien. Nous étions les deux dernières dans la grande pièce. La prof de gym passa la tête pour nous demander de finir très vite. Je vis furtivement son regard intéressé sur mon corps déjà bien formé, et sur celui de mon amie.
La semaine suivante, sous la douche, nous étions côte à côte et reluquions les formes de certaines de nos camarades en pouffant. Puis, quand nous fûmes seules, je lui frottais le dos et elle m’en fit de même. Pareil avec la serviette, je l’essuyais dans le dos en frottant bien fort et elle m’essuya ensuite.
Seulement, sans prévenir, je me retournais et ses mains se retrouvèrent sur ma poitrine. Elle continua à essuyer encore mais plus lentement, plus tendrement jusqu’à ce que je tire sur la serviette, devenue inutile et ses mains continuaient à me caresser les seins. Je la laissais faire, ravie et elle y prenait aussi plaisir. Ses yeux brillaient de désir, jusqu’à ce que la prof nous appelle pour sortir des vestiaires.
Le soir même, je la raccompagnais chez elle pour l’aider à réviser ses maths, juste un prétexte pour nous bécoter sans risque d’être surprises. Je fus la première à glisser ma main dans son leggings, sous la culotte, pour y découvrir une petite chatte toute lisse, débarrassée de tous ses poils. Moi-même, je n’en n’avais pas beaucoup, en tout cas moins que Linda, mon amie portugaise, mais je n’avais jamais pensé à me raser.
Curieuse de tout comme à mon habitude, je baissais totalement leggings et culotte pour voir cette beauté, et l’embrasser enfin là aussi. Allongée sur son lit et moi à ses pieds, elle se laissa guider vers le plaisir que je lui prodiguais, docile. Puis ce fut son tour de me caresser mais juste avec ses doigts, elle me prévint qu’elle me lèchera uniquement si je l’autorisais à me raser la chatte. Mais je n’étais pas encore prête à me laisser faire.
Élise pouvait être très autoritaire, à la limite de dominatrice, mais pas avec moi. Elle essaya bien sûr, au début, mais devant ma résistance, elle préféra me traiter d’égale à égale, chacune découvrant le corps de l’autre, et la vie à deux, enfin presque. Difficile de s’afficher à notre âge.
Par contre, avec d’autres filles, elle réussit à se faire respecter et en particulier avec Rachelle, une jeune fille black de notre classe. Une jolie poitrine avec des tétons bien développés et de grandes aréoles brunes et surtout un cul à faire damner tous les saints. Et qu’elle savait très bien mettre en valeur. Toujours des leggings ou des pantalons moulants ses fesses, même ses robes étaient moulantes, telles une seconde peau, mettant ses jolies formes en valeur.
Et elle avait donné envie à mon amie Élise d’en voir beaucoup plus. Surtout qu’elle était dispensée de sport, et donc de douche. Mais Élise trouvait toujours un moyen de caresser ses fesses, dans la file d’attente du self, par exemple, ou dans le couloir avant d’entrer en classe. Un peu gênée au début, Rachelle s’habitua et s’amusa finalement de ce petit jeu.
Je la voyais frémir quand Élise passait près d’elle, et fermer les yeux quand elle sentait enfin sa main sur ses fesses. Un midi, après le repas, Rachelle se trouvait dans la cour avec d’autres filles, dans un coin un peu caché de tous. Nous les avons rejointes mais les autres filles sont parties très vite, pour se diriger vers un groupe de garçons. Élise se colla à elle par derrière. Rachelle frémit de cette situation, car bloquée par moi, devant elle.