La poitrine de la belle rousse enfin à ma portée, je m’empressais de la caresser, de la malaxer. J’ouvris son corsage et sortis les deux globes de chair de leur balconnet. Magnifique peau blanche, douce et laiteuse. Elle posa ses deux mains sous ses seins délicieux pour les présenter à ma bouche. Je les pris en bouche, l’un après l’autre, puis les deux simultanément, jouant de la langue sur ses tétons pointés, puis les aspirant comme si je voulais en faire sortir du lait, du lait maternel.
Mes mains ne restaient pas inactives. J’avais relevé sa jupe et glisser mes doigts dans sa culotte, déjà trempée, puis trouvé son clito, dressé et si dur déjà que je le touchais à peine qu’un spasme la parcourut toute entière. On aurait dit une épileptique pendant une crise. Je l’aidais à s’allonger sur la moquette du salon et, dans cette position, les cuisses largement ouvertes, je replongeais sur sa chatte pour la nettoyer, et lui offrir son second orgasme consécutif. Elle resta de longues minutes dans cette position, hébétée, cuisses ouvertes et chatte offerte à nos regards. Et surtout sa poitrine laiteuse sur son corsage mauve. Du plus bel effet.
Murielle m’observait, amusée, puis sortit de derrière un coussin, un gode de belle taille, couleur argent, qu’elle me tendit. Je le pris et le posais sur la chatte ouverte, offerte. Je tournais la base pour le passer en mode vibreur, 1ère vitesse. Puis, j’insistais sur le clito de la belle rousse, qui recommença à mouiller grave. J’en profitais pour enduire l’engin de sa mouille avant de l’enfoncer dans sa chatte, à moitié. Elle se remit à geindre. Murielle, face à moi, toujours assise sur le canapé, écarta ses cuisses et j’aperçus son tanga trempé.
Je forçais Nicole à se mettre à quatre pattes, toujours le gode dans la chatte, puis la poussais à avancer sa tête ente les cuisses de son amie. Un peu réticente au début, je la pris par les cheveux pour pouvoir coller sa bouche à la chatte humide de Murielle. D’un regard tendre, elle me remercia de cette initiative et souleva sa jupe pour en faciliter l’accès.
Nicole, vaincue, se mit à lécher son amie, comme elle l’avait fait pour moi. Elle était magnifique ainsi, la jupe relevée sur ses cuisses blanches, la poitrine laiteuse qui sortait des balconnets, et le gode planté dans la chatte. Je le passais en seconde vitesse et l’enfonçais tout au fond. Ma chatte tout contre la sienne pour l’empêcher de ressortir, j’en profitais pour palper sa divine poitrine. Je levais les yeux vers Murielle qui était au bord de l’orgasme, mais qui trouva la force de me passer un autre gode, plus petit, que je fis pénétrer dans le cul de la belle Nicole.
L’effet fut immédiat, elle se mit à crier son plaisir, provoquant par là même celui de son amie, plus discrète, mais tout aussi excitée. Nicole s’accrochait péniblement aux genoux de Murielle afin de ne pas tomber, mais toujours à quatre pattes. Je tournais le vibro sur la grande vitesse et lui fit faire des va et vient dans la chatte dilatée. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle vive son énième orgasme de la soirée. Elle finit par s’écrouler aux pieds de son amie, complètement vaincue.
J’allais m’assoir près de Murielle, sur le canapé. Les yeux encore embués du plaisir qu’elle venait de recevoir. Je pris sa bouche et lui roulais une pelle, comme celle qu’elle m’avait prodiguée à notre dernière rencontre. Puis, j’en profitais pour ouvrir son corsage et plonger sur sa poitrine, tellement appétissante. Je sortis les deux globes de leur balconnet et me mis à les téter, chacun leur tour. Elle s’abandonna totalement, me laissant libre de lui donner le plaisir qu’elle attendait. Et qui vint très vite, tellement elle avait envie de jouir à nouveau. Troisième orgasme pour elle, encore une fois.
Je les laissais se remettre de leurs émotions, l’une comme l’autre, en sirotant ma vodka. Murielle fut la première à se rajuster. Nous reprîmes notre discussion, parlant de tout et de rien, puis Nicole se releva, difficilement. Je me levais pour l’aider à se rassoir sur le canapé, près de son amie, et l’aidais même à se rhabiller. À regret, je rentrais les globes dans le soutif et refermais son corsage. Puis, je lui enfilais sa culotte, après avoir ôté les godes de sa chatte et de son cul. Je les pris en bouche pour bien les nettoyer avant de les rendre à leur propriétaire.
Nicole avait retrouvé son visage souriant et sortit son porte-monnaie de son sac Hermès. Elle me tendit un billet de 500 € en précisant que c’était le tarif convenu avec Murielle, puis un deuxième, en bonus pour le plaisir qu’elle avait reçu. Tout comme avec Murielle, je lui ai laissé mon numéro de téléphone afin de pouvoir me joindre en cas de besoin urgent de câlins. Murielle me raccompagna à la porte et me glissa aussi un billet de 500 €. J’aurais voulu refuser mais, vu son regard, j’ai accepté.
Une très bonne soirée. Lol !!!
Nicole me rappela deux jours plus tard, pour me remercier encore du merveilleux moment que je lui avais fait passer. Mais, avant de raccrocher, elle me demanda si je pouvais me libérer le vendredi suivant, dans l’après-midi. Je fis semblant de réfléchir un moment, puis j’acceptais. Elle m’envoya l’adresse et l’heure souhaitée par SMS.
Ce jour arriva très vite et, prétextant des soucis administratifs, je demandais à une amie de récupérer ses notes du cours que je louperais. Je me préparais comme la première fois, sauf que je portais un string et des bas noirs. Sans soutif.
Nicole m’ouvrit la porte avant même que je ne sonne. Elle ne portait qu’une sortie de bains. Elle m’embrassa à pleine bouche avant de m’entrainer dans une chambre du rez-de-chaussée. Par la fenêtre, j’apercevais le parc avec ses grands chênes et, à gauche, longeant la terrasse, une piscine bâchée pour l’hiver. Arrivées dans la chambre, elle reprit ma bouche, me caressant la poitrine, puis souleva mon top pour sucer mes tétons.
Ses doigts agiles défirent ma mini qui se retrouva sur le sol. Dans un mouvement, j’écartais son peignoir et je la mis nue devant moi. A mon tour, je pris ses tétons entre mes doigts, puis entre mes lèvres voraces. Elle adorait cette caresse et s’abandonna à ma bouche gourmande. Doucement, je la poussais vers le lit, tout proche, la faisant asseoir puis s’allonger pour profiter enfin de tout son corps. Mes mains parcouraient son corps laiteux, écartaient ses cuisses pour que je puisse me glisser entre.
Je frottais ma chatte contre sa cuisse, puis remontais vers son pubis et, quand nos clitos entrèrent en contact, Nicole fut prise de spasme et ce fut son premier orgasme. Je me plaçais tête-bêche au-dessus d’elle pour la nettoyer et sa langue vint timidement me lécher aussi. Mais aujourd’hui, elle avait décidé de recevoir, et ne pas trop donner. Quand elle fut un peu remise de ses émotions, elle me désigna le tiroir d’une commode où je devais piocher tout ce qui pouvait, à mon sens, lui procurer du plaisir.