Je tenais à apporter quelques précisions avant de continuer. Je suis une jeune femme, je suis étudiante, je suis lesbienne. Mes aventures sont les miennes et je ne prétends pas que toutes les jeunes femmes, toutes les étudiantes ou toutes les lesbiennes vivent des aventures semblables aux miennes. Tout ce que j’ai fait, je l’assume totalement. Je n’en ai aucun regret.
Évidemment, des femmes, des étudiantes, des lesbiennes, affirmées ou non, se retrouveront dans mes aventures, pour un temps, avant de vivre leurs propres aventures. Je n’ai jamais forcé qui que ce soit à faire ce qu’il ou elle ne voulait pas faire, et jamais personne ne m’a obligée de la même façon. Certaines de mes amies ont consenti à ce que leur vrai prénom apparaisse, pour d’autres, je l’ai changé.
Ceci bien mis au point, je vais pouvoir vous parler de mes rencontres avec des cougars, ici à Rennes. Pour me définir mieux, je dirais que j’aime garder le contrôle. Sur moi-même, d’abord. Je ne fume pas, ne me drogue pas et l’alcool, toujours avec modération. Toujours, sauf une fois. Ce fut tellement mémorable que je me dois de vous le raconter.
Sortie un samedi soir avec des amies, on a écumé quelques bars avant d’aller en discothèque. Je ne sais quelle raison m’a poussée à boire plus que de d’habitude, ce soir-là. Confiance extrême dans mes amies, sans doute. Après deux cocktails de plus, je ne tenais plus debout. Avachie sur la banquette, elles me caressaient, me pelotaient à leur guise. Elles m’ont ôté ma culotte. Pour mieux me caresser.
Presque personne ne s’en est rendu compte, à part une jeune fille qui les vit faire. Dès lors, elle ne me lâcha plus du regard, épiant tout ce qu’elles me faisaient. Quand j’allais danser sur la piste, elle se leva aussi et se serra tout près de moi. Elle m’aida à retourner m’assoir, sur la banquette, le long du mur. Mes amies l’invitèrent à s’assoir près de moi. Ce qu’elle fit évidemment.
Elle posa sa main sur ma cuisse, puis remonta lentement, voyant que je la laissais faire. Elle arriva enfin tout en haut, entre mes lèvres humides d’avoir été caressées. Mes amies, toujours très gentilles, lui conseillèrent de passer sous la table pour mieux voir et être plus à l’aise. Et qu’elles se chargeaient de surveiller la salle, juste au cas où.
Elle se plaça donc entre mes cuisses qu’elle écarta et m’offrit un tendre cunnilingus. Délicieuse petite innocente, mais qui s’appliquait à me faire jouir sous sa caresse. Mon seul regret, c’est que mes amies n’aient pas pensé à lui demander son numéro de téléphone.
D’ailleurs, j’en profite pour lancer un appel. Si cette jeune fille se reconnait, elle peut, si elle le souhaite, reprendre contact avec moi par e-mail :
Ceci s’est déroulé en fin d’année 2013.
Je suis étudiante à Rennes et, comme vous le savez sans doute, la vie n’est pas toujours aisée pour une jeune fille de 23 ans. Les études coûtent de plus en plus cher et il faut bien manger, s’habiller et … s’amuser aussi, un peu. Et pour tout ça, il faut du fric, et c’est là que les problèmes commencent.
Demander aux parents ? Possible (pas toujours) mais c’est faire preuve d’un manque d’autonomie. Emprunter à la banque ? Oui, mais il faut rembourser ensuite et débuter sa carrière avec un passif, pas évident à gérer. Reste la solution de s’investir et de travailler pour gagner l’argent qui manquent toujours pour finir le mois, à partir du 10 en général, lol.
MacDo et autre KFC proposent bien des emplois pour étudiants (es) mais c’est beaucoup de temps et de fatigue pour un « salaire » de misère. Faire des extras en tant que serveuse, je le fais régulièrement pour agrémenter mes fins de mois, mais c’est aussi très fatigant et peu rémunérateur.
Reste la solution de faire la pute, certaines de mes camarades m’ont avoué avoir déjà couché pour du fric. Et ça paie bien, mais la dignité dans tout ça ? Bon, si elles y prennent du plaisir en même temps, pourquoi pas. Dans mon cas, pas possible car je n’aime que les femmes et je ne pensais pas possible que des femmes en paient d’autres pour assouvir leurs fantasmes.
Un dimanche d’Octobre 2013 ou je m’ennuyais à mourir, seule dans mon appart, je décidais de sortir en ville en espérant trouver une amie pour passer un peu de temps et boire un verre. Je suis entrée dans le bar « Le Kenland », place des Lices et j’ai commandé une vodka, ma boisson favorite. Personne de connaissance avec qui parler.
J’allais partir, dépitée, mais au moment de régler ma consommation, le barman me dit que c’était déjà réglé. Par la dame assise à la table là-bas. Je me levais pour aller la remercier et elle me proposa de m’assoir et d’en commander une autre. J’acceptais volontiers, heureuse de pouvoir parler à quelqu’un de gentil.
Nous avons discuté un long moment, enfin, c’est elle qui m’a fait parler plus souvent, me posant des tas de questions anodines, mais quand j’y repense, pas tant que ça. Tout ce que j’ai pu apprendre d’elle, c’est qu’elle était dentiste, divorcée, avec des enfants déjà adultes. Elle a si bien manœuvré que j’ai fini par lui dire que les fins de mois étaient souvent difficiles pour une jeune étudiante, et que même les extras ne suffisaient pas toujours pour boucler le budget.
Elle posa sa main sur la mienne et je vis dans son regard ce qu’elle cherchait. Mais je voulais la manœuvrer à mon tour et l’obliger à être plus précise. Maladroitement, elle ajouta que c’était dommage car elle, elle avait les moyens financiers pour aider une jeune étudiante, contre quelques services. Voyant que je semblais intéressée, elle caressa mon avant-bras, puis me proposa d’aller finir cette discussion chez elle. Pour rien au monde, je n’aurais refusé une telle invitation. Elle régla les consommations et je la suivis dans les rues du vieux Rennes, jusqu’à son appartement.
Je devrais dire un palais. 200 m2 en plein centre-ville !!! J’appris plus tard que l’immeuble tout entier lui appartenait, et qu’elle n’avait gardé qu’un étage pour elle, le reste étant loué.
Elle m’installa sur un canapé, moelleux et me servit une vodka, avec des glaçons. Puis s’absenta quelques instants. Quand elle revint dans le salon, elle ne portait plus qu’un déshabillé en soie qui masquait à peine ses sous-vêtements, tanga et soutif noirs aussi. Je restais ébahie devant ce corps splendide, sans un mot. Elle prit place près de moi et, d’autorité, elle prit ma main pour la poser sur sa cuisse dénudée, les pans du léger vêtement s’étant entrouverts quand elle s’est assise.
Puis elle prit mon menton entre deux doigts et l’approcha de sa bouche. Quand elle posa ses lèvres sur les miennes, je reçus comme une décharge électrique, mais agréable. Son baiser fut tendre et langoureux et déjà, je sentais ses mains sur moi, sous mon top, cherchant mes tétons. J’ôtais ce bout de tissu pour lui présenter ma poitrine.