Début (01/04)
Je vis donc à Angers avec mon compagnon, Stéphane, et sa fille, Laura, dans l’appartement qu’il a acheté il y a dix ans, grâce à l’argent que lui avaient légué ses parents. Il était fils unique. Il m’a très peu parlé de son ex, la mère de Laura, qui l’a quitté un an après la naissance du bébé. Il a donc dû assumer seul son éducation et je dois dire qu’il s’en est vraiment très bien sorti.
Laura avait 9 ans quand j’ai rencontré son père, Stéphane, pour la première fois. Je dois préciser que je sortais d’une période difficile de ma vie, une dépression post-natale dont je suis à peine remise. Mon fils, Dylan, a été confié aux bons soins de mes parents en attendant qu’une décision de justice me redonne sa garde.
Cela fait 7 ans que nous partageons notre vie, tous les trois. Stéphane s’était trouvé vraiment embarrassé devant les premières règles de Laura. J’avais pris sur moi de tout lui expliquer, et la protection dans les rapports entre filles et garçons. Choses que son père aurait été incapable de lui dévoiler. Il a beau être un homme, il a aussi ses faiblesses. Et sa plus grande faiblesse à lui, c’est sa princesse, Laura. Qui a eu 16 ans en décembre dernier.
Si je vous parle de son âge, c’est que j’ai remarqué un changement dans son attitude depuis quelque temps. Depuis son dernier anniversaire pour être plus précise. J’étais entrée dans la salle de bains sans frapper et je l’avais trouvée nue, sous la douche, en train de se masturber. Elle s’est tournée immédiatement mais j’étais sûre de ce que j’avais vu.
La nudité n’a jamais été un tabou chez nous. Sans être vraiment naturistes, nous aimons être à l’aise chez nous. Plus souvent en petite culotte que nue, mais c’est déjà beaucoup plus que dans de nombreuses familles. Et Stéphane et moi sortions donc souvent de la douche, vêtus d’une culotte uniquement. Même pour le petit déj si le temps le permettait. J’avais donc très souvent pu apercevoir le corps de Laura, sa poitrine qui devenait voluptueuse, ses cuisses appétissantes de petite fille qui devenait femme.
Je n’ai jamais eu d’envie envers son corps, ni avec aucune autre femme, j’aime trop les hommes pour pouvoir m’en passer. Quand je dis « ses cuisses appétissantes », c’est simplement que j’imagine ce que dirait un homme, jeune ou moins jeune. Depuis ses 12 ou 13 ans, Laura était devenue plus pudique. Au mieux, on la voyait en culotte et soutif, mais le plus souvent, elle passait un tee-shirt au-dessus de ses seins nus.
Son père n’osait rien lui dire mais j’imagine qu’il avait des pensées malsaines en voyant sa poitrine bouger sous le tissu. J’en suis presque sûre car nos parties de baise étaient plus véhémentes après l’avoir vue se promener ainsi. Je ne lui en veux surtout pas, si j’étais un homme, je lui sauterais dessus. Et j’étais parfaitement comblée ces soirs-là. J’imaginais qu’il voyait le visage de sa fille en le baisant. Inceste interdit mais en imagination, tout est possible.
Laura était devenue pudique au moment où elle est devenue femme. Cela faisait deux ans maintenant. Mais depuis décembre dernier, j’avais remarqué un changement dans son attitude. Cela s’est fait progressivement, par petites touches. Quand elle évitait, avant, de se trouver seule avec moi dans la salle de bains, je remarquais qu’elle y venait chaque fois que j’y entrais. Comme si elle attendait que j’arrive pour avoir besoin de la salle de bains.
Cela ne me dérangeait nullement. Bien au contraire, j’aimais cette complicité entre elle et moi. Elle commençait à me poser des questions sur le maquillage par exemple. J’attendais des questions plus intimes qui, c’est certain, n’allaient pas tarder à venir. Je pouvais de nouveau admirer son corps parfaitement dessiné. Elle n’hésitait plus à se dévêtir devant moi pour prendre sa douche.
Un matin, elle est entrée dans la salle de bains pendant que je me lavais les dents. Elle s’est mise devant les toilettes, a baissé sa culotte et à commencer à faire pipi. Je pouvais l’observer dans le miroir. Et je pense qu’elle le savait pertinemment.
C’était une première pour moi, voir une autre fille faire son petit pipi du matin. Elle n’avait pas jeté un seul regard vers moi mais elle savait que je la regardais. Ce n’est qu’au bout de longues minutes qu’elle se pencha pour essuyer sa fente. Je me rendais compte à ce moment-là que j’avais totalement arrêté de me laver les dents. Et elle ne pouvait l’ignorer. Mais à aucun moment, elle ne fit la moindre réflexion.
Elle semblait même satisfaite de s’être exhibée devant moi. Moi-même j’en étais troublée. Elle vint ensuite se laver les mains dans le lavabo et ensuite me fit la bise comme si rien ne s’était passé. Depuis ce matin-là, elle multiplia les exhibitions, mais toujours devant moi, pas quand son père était présent.
D’ailleurs, elle quittait la salle de bains quand il entrait à son tour. À tous moments de la journée, je pouvais facilement apercevoir sa culotte sous sa minijupe et souvent sa poitrine merveilleuse dans l’échancrure de son haut. Quand on regardait la télé, le soir, elle se plaçait face à moi dans un profond fauteuil et, quand elle était sûre que son père ne regardait pas, elle recommençait son show.
Je dois vous avouer que j’avais parfois des bouffées de chaleur en la regardant faire. Je répète que ce n’était pas une envie de son corps mais plutôt que j’admirais sa désinvolture, et sa plastique parfaite. Lors de nos vacances à la montagne, en Février, ont commencé les contacts plus physiques. Elle posait plus souvent sa main sur moi, sur la peau dénudée de mon bras, de mon épaule.
Je n’y trouvais absolument rien à redire, j’étais heureuse de cette complicité retrouvée. Puis ses mains s’attardèrent plus longtemps sur mon ventre, ou mes fesses lors de câlins de plus en plus nombreux. Je pensais qu’elle avait un grand besoin d’affection et je n’hésitais pas à la lui donner. Mais, à chaque fois, des frissons parcouraient mon corps que je calmais de plus en plus difficilement.
Je crois bien que c’est au retour de ces vacances de Février que j’ai recommencé à me satisfaire suite aux câlins prolongés de Laura. Je devais le faire, incapable de résister. Personne jamais n’en a rien su. Je m’isolais dans les toilettes et ma main retrouvait les caresses oubliées depuis fort longtemps.
C’était un besoin physiologique, des gestes mécaniques pour m’emmener au paradis. J’en ressortais un peu honteuse, comme une collégienne prise en faute. Mais chaque fois que le besoin se faisait sentir, j’étais incapable de faire autrement que de succomber, une fois de plus. Le plus inquiétant à mes yeux était que la fréquence augmentait de semaine en semaine.