Avant que l’un ou l’autre ne pose la question, je leur dis que le géniteur n’était pas encore au courant. Puisque moi-même je l’avais découvert ce matin. Bien évidemment, je prendrais rendez-vous avec mon gynécologue pour connaître la date exacte de la fécondation, et prévoir ainsi la période de la naissance. Ingrid s’est levée pour venir m’embrasser et me féliciter. J’ai parfaitement vu que la main de papa était déjà entre ses cuisses, tout en haut. Elle a dû ajuster sa robe avant de venir près de moi. Jérôme lui aussi s’est levé pour venir me féliciter. Papa a posé sa main sur la mienne en signe de soutien indéfectible. Puis il s’est levé pour embrasser sa belle-fille. Maman l’a aussi félicitée avant de revenir vers Jérôme. À la surprise générale, surtout pour mon grand frère, elle a posé sa main sur sa queue, pour la flatter, en nous disant à tous.
« On félicite toujours la femme. En caressant son centre le plus souvent. Mais on oublie qu’il faut être deux et jamais le papa n’est félicité comme il se doit. »
Et elle massait ouvertement le sexe de son fils devant nous. Cela nous fit tous sourire et papa flatta le ventre qui allait donner la vie. Il caressa en même temps les fesses de sa belle-fille. On discuta ensuite un long moment des semaines à venir, des mois prochains, jusqu’à l’heure du repas, pris également sur la terrasse. C’est maman qui faisait le service, cette fois, et elle ne ratait aucune occasion pour se pencher tout près du visage de son fils. Il aurait pu sortir sa langue pour lécher les seins maternels, tellement ils étaient à sa portée. Une fois assise, maman avait toujours une main sous la table. Papa aussi, lol. J’étais assise en bout de table, tout près d’Ingrid donc, et parfois son genou venait frapper le mien. Je posais moi aussi ma main sur son genou pour garder ses cuisses grandes ouvertes. Puis, c’est sa bouche qu’elle a ouverte en grand avant de la cacher derrière sa serviette de table. Ma belle-sœur venait de jouir sous mes yeux. Elle se précipita dans la salle de bains la plus proche tandis que papa se léchait les doigts discrètement. Je rejoignais Ingrid dans la salle de bain et, accroupie devant elle, je récoltais son nectar avec délices. Elle se laissa faire, et jouit de nouveau sous ma langue experte. Elle voulut me rendre la pareille mais je lui dis qu’on devait nous attendre, et qu’on trouverait certainement un autre moment pour ça. Nous étions fin Septembre mais c’était, ce que l’on appelle, l’été indien. On aurait presque pu se croire encore en été. Les enfants ont quitté la table pour rejoindre la piscine. Ils batifolaient joyeusement, sans se préoccuper de ce qui se tramait entre les adultes. Papa et Ingrid n’avaient rien oublié de la dernière soirée passée près l’un de l’autre. Pareil pour maman et Jérôme. Après le repas, je rejoignais les enfants dans la piscine, maman et Ingrid débarrassant la table. J’étais juste avec mon bas de maillot lorsque Jérôme vint nous rejoindre. Puis, ce fut le tour d’Ingrid qui, elle aussi, se présenta seins nus. Pour le plus grand plaisir de tous. Mais le plus surprenant, c’est quand maman arriva, elle aussi dans la même tenue. Jérôme n’en pouvait plus d’admirer sa poitrine somptueuse. Il en avait d’ailleurs tout le loisir car maman restait tout près de lui. Ils étaient même légèrement isolés de nous. Je voyais bien les mains de maman qui ne restaient pas inactives sous l’eau. Et mon grand frère qui se laissait dorloter. J’étais avec Ingrid et les enfants, j’admirais moi aussi sa délicieuse poitrine. Tout comme papa qui lui resta hors de la piscine.
Mais il gardait un œil sur nous, Ingrid et moi. Quand elle souhaita sortir de la piscine, il se précipita près de nous et il la prit dans ses bras musclés pour l’aider à sortir. Bien évidemment, sa main avait emprisonné l’un de ses seins et il jouait les prolongations en la portant jusqu’à la terrasse. Sans lui laisser le temps de réagir, il se saisit de la serviette de bains et commença à la sécher. Le dos, les fesses, le ventre. Ses seins. Ingrid était rouge de confusion, ou bien était-ce les effets secondaires des caresses reçues ? Elle s’allongea sur un transat et sortit un tube de crème solaire. Papa se proposa pour la lui appliquer et elle ne put refuser. Il débuta par ses mollets, remontant vers ses cuisses, ses fesses. Il écarta même le tissu pour peloter son cul. Elle ne disait toujours rien. Il finit par le dos, les épaules, ses flancs et le côté de ses seins. Elle se retourna sans complexe aucun pour lui présenter le côté face. Il redescendit vers ses pieds, ses jambes et ses cuisses qu’il écartait doucement. Il évita soigneusement son intimité pour remonter sur son ventre, sa poitrine somptueuse qu’il malaxa longtemps. Ingrid avait fermé les yeux le plus souvent mais elle ne pouvait ignorer la bosse qui déformait le maillot de son beau-père. Personne d’autre que moi n’avait suivi ce qui s’était passé entre eux. Jérôme et maman étaient bien trop occupés l’un avec l’autre.
Céliane me faisait toujours face et elle touchait mon ventre, sachant maintenant qu’il allait de nouveau donner la vie. Mes seins aussi, mais j’adorais lorsqu’elle jouait ainsi avec moi. Lisa et Dylan vinrent aussi toucher mon ventre, collant leur oreille pour écouter s’il y avait vraiment quelqu’un dedans. J’ai senti que Jérôme sortait de la piscine, sans vraiment le voir, et il aida maman à en sortir, lui aussi. Il resta tout près de la piscine, on ne voyait que sa tête, de dos. Maman avait disparu. Je m’approchais doucement de lui jusqu’à ce que je voie maman, accroupie devant lui, en train de le sucer fougueusement. Elle avait dû le faire bander très fort et elle ne pouvait se résigner à le laisser ainsi. Elle l’avait allumé depuis son arrivée et elle récoltait le fruit de son travail. Quand il fut de nouveau présentable, il rejoignit sa femme sur le transat voisin. Maman resta seins nus, même pour nous servir un rafraîchissement. Glaces pour les enfants.