Le chef et son second restaient à l’écart. Un garçon lui donna une tape sur ses fesses exposées. Puis un autre. Bientôt, ce fut la curée. Tous les commis s’en donnaient à cœur joie. Les petites tapes devinrent des caresses plus précises. Sa poitrine merveilleuse fut pelotée tandis qu’elle tentait malgré tout de nettoyer le sol. Mais on la releva de force et toutes les mains des garçons autour d’elle parcouraient son corps. Sa poitrine bien évidemment, que tous voulaient voir, mais aussi ses fesses, sa chatte. La jupe relevée bien haut ne cachait plus grand chose de son anatomie. Édith leva les yeux pour chercher de l’aide. Le chef et son second regardaient sans intervenir. Édith tourna la tête vers la salle et aperçut sa chef de rang qui observait elle aussi, semblant se régaler du spectacle. Personne pour l’aider tandis que les mains s’enhardissaient. Collants et culotte descendues à mi-cuisses, il suffisait d’un garçon plus entreprenant et elle se faisait violer en public. Elle apprit un peu plus tard qu’une serveuse avait appelé le patron qui était intervenu à temps. Il s’était contenté des explications du chef cuisinier et la chef de rang, sans écouter Édith. Depuis cette terrible épreuve, Édith avait changé. Impossible de faire confiance à quiconque dans la cuisine.
Les commis ne se gênaient plus pour la peloter dès qu’ils le pouvaient. Elle avait beau se méfier, pas un jour sans qu’elle ne soit coincée au moins deux fois. Elle ne renversa plus de plateau mais elle dut subir des attouchements non désirés. Sa poitrine et ses fesses principalement. Mais le pire était à venir. Édith fit une nouvelle pause avant de finir son récit. C’était en début de semaine. Édith fut appelée dans la réserve par sa chef, Dominique. Elle lui ordonna de ranger des cageots de légumes qui venaient d’être livrés. C’était normalement le travail des commis de cuisine. Au bout d’un moment, Dominique lui attrapa les mains qu’elle leva bien haut. Avant de comprendre ce qui se passait, un homme agrippa ses seins et commença à les malaxer, avec la complicité de sa tortionnaire. Bien collé à ses fesses, elle sentait la queue grossir contre ses fesses. Une main se glissa sous sa jupe et entra sous l’élastique. Il la doigtait sans s’occuper si cela lui plaisait. Seul son plaisir à lui importait. Édith était prise au piège par ces deux pervers. Que pouvait-elle faire, mis à part subir leurs désirs ? Quand Dominique lâcha ses mains, pas de rébellion. Elle ouvrit le corsage et sortit la poitrine de ses bonnets. Tandis que l’homme s’attaquait à ses gros seins, Dominique baissa culotte et collants.
Après l’avoir embrassée à pleine bouche, l’homme se mit à lécher ses seins, les sucer, les malaxer de sa main libre pendant que Dominique la doigtait très maladroitement. Elle lui faisait plus mal qu’autre chose, mais sans doute était-ce voulu. L’homme avait sorti son sexe et il posa la main d’Édith dessus pour qu’elle le branle. Puis c’est sa bouche qui entra en contact avec cette grosse queue. Elle dut la lécher avant de la prendre en bouche intégralement. Il tenait sa tête d’une main pour donner la cadence, de l’autre, il continuait à martyriser sa poitrine. Malgré tous les efforts déployés pour la rabaisser au rang d’objet sexuel, Édith commençait à ressentir les premiers émois du plaisir. Elle fut allongée sur une planche qui servait de table pour éplucher les légumes. Juste à la bonne hauteur, l’homme la pénétra sans autre préparation. Même pas de préservatif. Sa tête pendait de l’autre côté de la table. Dominique releva légèrement sa jupe et se plaça au-dessus de sa bouche. Édith se mit à la lécher pendant que les deux se chargeaient de ses seins toujours très appréciés. C’était bel et bien un viol mais Édith ne se défendait pas. Elle savait pertinemment que cela serait inutile et ne ferait que la faire souffrir en supplément de l’infamie. Comment pourrait-elle encore travailler dans cette ambiance avec une chef qui la donnait en pâture à un de ses collègues ? Que se passera-t-il ensuite ? Encore la même chose mais avec un autre collègue ? Elle ne ressentait rien, que de la tristesse. L’homme sortit sa queue un instant, le temps de la retourner. Il la reprit ensuite, par derrière.
Au moment où il sentait la pression monter, il stoppa pour s’intéresser à son cul. Il s’y prenait plutôt bien et Édith appréciait. Quand il l’encula enfin, elle ne peut cacher son plaisir. Elle l’accompagnait de ses soupirs, de ses encouragements. Ils finirent par jouir ensemble, au grand regret de Dominique qui voulait humilier la serveuse, pas lui offrir une bonne partie de jambes en l’air. Mais, d’un autre côté, elle avait offert son esclave à ce Rémi qui la draguait depuis des mois. Plutôt que de lui offrir son corps, elle avait utilisé la jeune serveuse en guise de compensation. Et il en semblait ravi. Il retourna à ses occupations, un large sourire sur les lèvres et les couilles bien vidées. Dominique n’avait pas encore joui et obligea la jeune fille à lui donner le plaisir qu’elle attendait. Docile, Édith s’exécuta. Elle ne voyait pas comment elle pourrait sortir de cette situation sans quitter son travail. Seule, c’était impossible à ses yeux. Demander de l’aide, mais à qui ? C’est à ce moment précis qu’elle pensa à moi et, délivrée de ses angoisses, elle put offrir un merveilleux cunni à sa chef de rang.
Je connaissais, nous connaissons tous, la bêtise humaine. Mais cette femme, cette Dominique, elle n’avait, semble-t-il, aucune limite à la perversion. Je restais silencieuse, câlinant toujours ma jeune amie. Elle respirait calmement, la tête posée sur ma poitrine. Elle semblait convaincue que je pourrais l’aider. Il était évident que nous devions réagir, ne surtout pas laisser les choses dégénérer. Se venger de ce qu’elle avait fait subir à Édith, et punir également cet homme, complice et exécutant, pour le viol. Il ne pouvait pas ignorer que la serveuse était contrainte à obéir. J’entrevoyais des solutions mais j’aurais besoin d’aide et principalement de l’appui de la jeune serveuse.
« Tu veux te venger, je suppose. Et faire de telle sorte que cela ne recommence plus jamais ? «