François entra dans la chambre pour découvrir la scène la plus érotique qu’il n’avait vue. Nadine en levrette, il l’avait déjà vue. Clara presque nue, c’était aussi devenu une habitude. Mais Flora, c’était tout nouveau et il s’approcha d’elle. Il admirait son corps nubile, sans oser le toucher, évidemment. La première réaction de la jeune fille fut de se cacher mais il avait déjà tout vu, ou presque. Et il n’était nullement menaçant. Juste le regard attendri sur son corps. Il était resté à moins d’un mètre d’elle et il ne chercha pas à essayer de la caresser. L’aurait-elle accepté ? Oui, certainement. Elle était toujours en phase de découverte. Près de Nadine et surtout de Clara, elle se sentait protégée. Par contre, son regard se posa sur le devant du pantalon, qui grossissait énormément. Elle avait déjà remarqué cet effet sur d’autres hommes. Gilles son père, mais surtout Tonton Robert. Il semblait avoir une tendresse toute particulière avec Melody, sa mère. Mais aussi avec Aline, et ses gros seins. Elle aimait particulièrement s’asseoir sur ses cuisses et sentir cette bosse qui grossissait contre ses petites fesses. Elle en jouait parfois, bougeant de droite à gauche. Il posait alors sa main sur sa cuisse à elle et remontait très haut, presque jusqu’à la culotte. Qu’il n’atteignait jamais. Un jour, comme par inadvertance mais c’est tout à fait consciemment qu’elle l’a fait, elle avait osé poser sa petite main sur cette bosse, dure. Tonton Robert n’avait plus bougé, la laissant explorer à sa guise. C’était il y a déjà quelques temps mais ce souvenir était resté gravé dans sa mémoire.
Elle n’avait jamais osé recommencer, tout en sachant que le propriétaire ne dirait rien. Mais depuis qu’elle voyait Clara régulièrement, certaines de ses envies devenaient plus pressantes. Comme ce jour-là avec François. S’il s’était approché plus près, elle aurait peut-être osé toucher cette bosse qui l’intriguait. Elle savait, ou bien elle se doutait, que cela arriverait sans doute très vite. Clara avait compris depuis longtemps qu’elle pouvait facilement exercer un certain pouvoir chez plusieurs personnes. Ses parents, pour commencer. Flora ensuite, c’est pourquoi elle lui avait dévoilé son tendre secret. D’autres élèves de sa classe, et de son école, des élèves plus âgés qu’elle. Sabrina était dans sa classe et, chaque matin, elle lui amenait un petit pain au chocolat, pris dans la boulangerie de ses parents. Sabrina était un peu plus grande qu’elle, plus carrée des épaules que Clara. Et elle avait une poitrine largement plus développée que les autres filles de la classe. Clara n’avait pas manqué, à plusieurs reprises, les regards très appuyés de certains garçons sur cette grosse poitrine. C’est pour cette raison qu’elle pensa qu’elle pouvait en tirer avantage, tout en soumettant encore plus cette jeune fille. Adrien était issu d’une des familles les plus aisées de la ville. Son père en était le maire et il avait donc confié son fils à l’école publique. Un jour qu’elle parlait avec lui, Sabrina passa tout près d’eux et la réaction du garçon fut celle qu’elle avait déjà remarquée. Sans aucune gêne, elle lui en fit la remarque.
« J’ai l’impression que tu aimerais poser tes mains sur ses gros seins, je me trompe ? »
Il rougit légèrement, pensant qu’il avait été discret. Continuant sur sa lancée, Clara lui demanda s’il avait déjà vu une poitrine de femme, de jeune fille, s’il avait déjà caressé des seins. Il hésita à lui répondre et Clara comprit qu’il n’avait jamais rien fait avec une fille. Adrien pensait, à tort, qu’elle allait lui proposer de lui montrer sa poitrine et qu’il pourrait aussi peut-être la toucher. Clara avait bien une idée en tête mais pas celle-là. Elle lui demanda directement combien il donnerait pour voir, et toucher les seins nus d’une fille. Il n’avait que quinze euros sur lui, ce jour-là, mais était prêt à tout donner pour accéder à son envie. Flora était toujours près d’eux et elle trouva que Clara était quand même gonflée de se dévêtir devant le garçon. Ils se rendirent tous les trois aux toilettes et pénétrèrent dans la même cabine. Adrien vida son porte-monnaie, donna le contenu à Clara et tenta immédiatement de prendre son dû. Mais Clara lui mit le holà. Ce n’était pas ce qu’elle avait prévu. Sans rien demander, elle plaça Flora entre elle et Adrien et souleva son tee-shirt. Flora ne portait qu’une brassière dessous que le garçon s’empressa de soulever pour admirer les petits seins et les caresser. Il ne s’en priva pas, vu qu’il avait payé pour ça. Et Flora était doublement satisfaite. D’abord elle rendait un fier service à celle qui était presque tout pour elle et elle en ressentait en plus un réel plaisir de se laisser caresser ainsi. Même s’il était un peu trop empressé. C’est Clara qui le calma en lui expliquant qu’il devait être doux, attentionné. Il fit exactement ce qu’elle lui indiquait et Flora commençait à ressentir un plaisir malsain. Comme lorsqu’elle observait la bosse qui grossissait dans le pantalon de François. Adrien devait bander lui aussi mais elle était trop près pour vraiment s’en apercevoir.
Clara continuait à le guider, à l’exciter. Elle lui promit qu’il pourrait très bientôt faire de même avec Sabrina, et ses gros seins. Adrien frémit à cette affirmation. Elle précisa que cela coûterait évidemment plus cher. Mais il était prêt à tout, même à voler de l’argent à son père pour avoir ce qu’il désirait. La cloche sonna la fin de la récréation et ils sortirent, les filles d’abord. Clara avait promis, elle devait obtenir ce qu’elle avait prévu. L’après-midi même, Les deux filles entrainèrent Sabrina dans cette même cabine des toilettes. Clara releva son pull et elle demanda à Flora de caresser les seins, encore cachés dans le soutien-gorge. Flora avait compris. Elle ne serait pas toujours caressée par Adrien, ou d’autres. Mais elle serait la complice de Clara. Et ce rôle lui convenait parfaitement. Clara dégrafa l’attache du soutien-gorge et Flora eut tout loisir de caresser les gros seins à sa portée. Faisant ce qu’elle lui ordonnait, elle pensait à sa grande sœur qui avait, elle aussi, une poitrine exagérément développée. Sabrina n’avait pas bronché, incapable de dire non à Clara. Et elle découvrait des plaisirs nouveaux. Les caresses étaient précises et subtiles. Elle ne put que tourner la tête vers Clara qui posa ses lèvres sur celles de la soumise. Clara avait déjà embrassé une fille avant elle, Flora évidemment.