Clara et sa famille (02/11)

Un soir, ils regardaient la télé tous les trois assis sur le canapé. Clara ne semblait pas trop intéressée par le programme. Elle s’allongea, la tête sur les cuisses de Nadine, les pieds sur les genoux de François. Clara portait un short, un peu grand pour elle. Dans cette position, François pouvait apercevoir sa petite culotte dans l’ouverture d’une cuisse. Il se concentra sur le programme télé, tout en caressant les cuisses de Clara, pour la réchauffer. Clara avait bien évidemment une idée en tête. Qu’elle mit immédiatement en application. La main passa sous le tee-shirt pour caresser enfin le sein tant désiré. Un peu gênée devant son mari, qui ignorait évidemment tout jusque-là, Nadine accepta malgré tout, les mains de Clara sur son sein. Mieux, Elle passa son large maillot par-dessus sa tête pour qu’elle puisse téter à son aise l’autre sein. Il fallut un peu bon moment avant que François ne se rende compte de ce qui se passait réellement près de lui. Il fut un peu choqué, ou plutôt surpris. Mais le visage de Nadine, qui semblait le supplier d’accepter cette situation, le fit sourire à son tour. Il lui fit signe qu’il comprenait, qu’il acceptait de la partager avec Clara. Ce fut le début de la liberté pour Nadine, qui avait un peu honte jusque-là de mentir à son mari de la sorte. Désormais, il était au courant et, dès le lendemain soir, Elle ôta directement son maillot lorsque Clara posa sa tête sur ses cuisses. Pour la petite, c’était tout à fait normal puisque Nadine le faisait déjà dans la journée. La veille, Nadine et François avaient eu une longue discussion à ce sujet, qui s’était terminée par un gros câlin. Il lui avait fait l’amour avec passion, comme lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Nadine lui avait expliqué comment cela avait commencé et surtout pourquoi elle continuait, dès que Clara le demandait. Elles étaient évidemment seules lorsque cela se produisait. Mis à part ce soir-là où François était présent.
Libérée totalement, Nadine ôtait son maillot et Clara venait téter son sein, sous les yeux attendris de François. Dans ses mouvements, Clara laissait parfois son tee-shirt remonter très haut sur son ventre. François avait une vue plongeante sur son intimité, encore cachée derrière la barrière de sa petite culotte. Celle-ci était parfois légèrement transparente, et François pouvait apercevoir sa fine toison brune qui commençait à se développer. Il caressait ses cuisses, principalement. Mais il remontait parfois sur son ventre de petite fille. La première fois qu’il avait osé, pris par une envie soudaine et dévorante, il avait retiré sa main presqu’aussitôt. C’est Clara elle-même qui avait repris son poignet et reposé la main paternelle sur son ventre. Elle lui donnait l’autorisation. Il n’y avait rien de délictueux dans ce que faisaient les parents avec leur fille. C’était toujours elle qui était demandeuse. Et, quand ils avaient couché leur fille dans son lit, ils retournaient dans leur chambre pour faire l’amour comme des étudiants. Passionnément. Après des mois de disette, Nadine était de nouveau comblée. Par sa fille d’abord, puis par son mari, la nuit. Le rituel était désormais immuable. Après le dîner, Clara se mettait sur le canapé, rejointe par François. Nadine les rejoignait lorsque sa cuisine était rangée. Elle enlevait directement son maillot pour prendre place près de Clara. La petite s’allongeait en travers du canapé pour commencer à téter la poitrine maternelle. Dès que les grosses chaleurs arrivèrent, Clara ôtait elle aussi son long maillot, ne gardant que sa culotte.
C’est à cette occasion que François put découvrir que sa petite fille devenait une jeune femme, avec une petite poitrine naissante. Terriblement excitante. Il gardait pourtant sa main sur le ventre, n’allant jamais trop haut. Clara s’excitait toute seule à téter le sein maternel, ses cuisses s’écartaient souvent et, à de rares occasions, François pouvait se rendre compte que la petite culotte s’humidifiait sur le devant. C’est dans ces moments-là que Clara posait une main sur sa poitrine pour se caresser. Un soir, elle frôla la main de François, toujours sur son ventre, et la remonta jusque sur ses seins. Le papa pouvait enfin caresser la jeune poitrine. Nouvelle étape prodigieuse dans le déroulement de leurs soirées, lorsque Clara eut son premier orgasme. Toute la famille était comblée. Un soir, François prit l’initiative de poser son pouce sur la culotte de sa fille, sa main posée très haut sur sa cuisse. Il gratta un peu son petit bouton et la petite jouit de nouveau intensément. Un samedi après-midi, après un câlin sur le canapé, Clara avait rejoint sa chambre et François entraina Nadine dans la leur. Ils étaient en train de faire l’amour lorsque Nadine aperçut sa fille qui les observait, la porte de la chambre ouverte. À la limite de jouir sous les coups de rein de François, elle lui fit signe de s’approcher. Et Clara assista à l’assaut final. François lui-même ne pouvait s’arrêter là et il continua à besogner son épouse jusqu’à la jouissance pour tous les deux. Sous les yeux de Clara.
Il se cacha ensuite très vite sous le drap, c’était surtout son sexe qu’il voulait cacher aux yeux innocents de Clara mais elle avait eu le temps de voir cette queue qui venait de sortir du sexe de Nadine. Clara s’intéressa surtout au corps de sa mère, sublimé par l’orgasme qu’elle venait de vivre. Les seins étaient gonflés, prêts à exploser, les tétons étaient durs comme des morceaux de bois, mais très souples sous la langue experte de Clara. De son sexe, coulait un liquide blanchâtre, mélange des sécrétions naturelles de ses parents. Sur le haut du pubis, une petite excroissance attira son attention. Elle se pencha dessus, souffla doucement vers ce petit sexe qui semblait excessivement sensible. Elle préféra reprendre les tétons en bouche, l’un après l’autre. Mais sa main, inconsciemment, se reposa sur cette petite excroissance, le clitoris de Nadine, et elle joua avec un moment. Elle comprit très rapidement quels effets il pouvait provoquer sur le corps de sa propre mère. Puis, plus tard, abandonnant les seins qu’elle connaissait par cœur, elle eut l’idée d’aspirer ce petit bout de chair, hyper réactif. Nadine fit de nouveau un bond sur son lit, ne refusant rien à sa princesse. D’ailleurs, elle avait encore envie de jouir, que ce soit son mari ou sa fille, peu lui importait, du moment que le plaisir était immense. François observait la scène et, comme vous pouvez vous en douter, il se remit à bander très fort.

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