Il avait commencé à me caresser les seins, alors j’ai de nouveau ôté mon top. J’étais allongée sur mon lit pendant qu’il me tétait. C’est là que j’appris la relation entre Mirabelle et Océane. Je me rappelais soudain de ses yeux cernés que j’avais vu, le matin même. Avait-elle passé la nuit toute seule, à pleurer, ou bien dans les bras de sa nouvelle voisine ? J’avais bien remarqué qu’elle ne semblait pas très heureuse, depuis quelques temps. Mais la présence de Mirabelle allait changer les choses. Il me tétait amoureusement, et sa main s’égarait parfois entre mes cuisses. Je l’aidais lorsqu’il m’ôta ma petite culotte. J’étais presque nue, je n’avais plus que ma minijupe, remontée sur mon ventre. Il s’agenouilla au pied du lit pour s’occuper de mon intimité. Je fermais les yeux pour m’abandonner totalement à ses caresses subtiles. Dany occupé entre mes cuisses, et moi les yeux fermés, j’ai été totalement surprise lorsque la petite main de Flora se posa sur l’un de mes seins. Elle s’ennuyait seule et elle était venue voir ce que l’on faisait.
Et nos jeux d’adolescents l’intéressaient beaucoup plus que le programme télévisé. Dany avait relevé la tête, juste quelques secondes, mais il replongea aussitôt entre mes cuisses. La présence de Flora ne le dérangeait pas du tout. Et moi ? Que voulez-vous que je fasse ? J’avais depuis longtemps passé le point de non-retour. J’étais incapable de la repousser, même si je l’avais voulu. J’ai bien vu son petit sourire de dominante qui avait la main mise sur la situation. Elle se plaça au-dessus de ma tête qui avait glissé légèrement hors du lit. Je pouvais apercevoir sa petite culotte, sous sa jupe. Je fermais les yeux à nouveau et je sentis qu’elle s’agenouillait près de moi. Sa bouche entra alors en action et je peux affirmer que c’était beaucoup mieux que ce que j’avais ressenti avec Dany. Cette petite chipie avait énormément d’expérience en la matière. Il faudra qu’elle m’explique où et comment elle a connu ces expériences. Mon esprit avait quitté mon enveloppe corporelle depuis plusieurs minutes lorsque l’orgasme est arrivé, tel un ouragan, soulevant tout sur son passage. La petite perverse n’avait pas lâché sa proie tout le temps que dura mon état second. Dany, lui, s’était inquiété un peu. Mais, voyant que je reprenais des couleurs, il replongea vers mon intimité pour finir ce qu’il avait si bien commencé. Mon orgasme se prolongea tant qu’ils continuèrent à me lécher, me téter. Dany se leva à un moment et il disparut dès qu’il entendit la voiture de Melody qui revenait de la piscine. Dany m’aimait beaucoup, j’en étais certaine. Mais Melody était une rivale coriace. Et puis, il ne me laissait pas toute seule, mais aux bons soins de ma petite sœur.
Nous nous sommes allongées sur le lit, côte à côte, j’avais juste rabaissé ma minijupe pour cacher mon intimité. Mes gros seins étaient toujours disponibles pour ses mains, sa bouche. Entre deux gémissements de plaisir, je lui demandais où elle avait appris à lécher aussi bien. Elle était bien plus jeune que moi, mais paraissait plus expérimentée. Elle leva simplement ses yeux vers moi, me sourit, avant de replonger sur mes tétons. J’avançais une hypothèse. « Clara ? » Elle ne répondit pas mais redoubla d’ardeur, pour m’indiquer que j’avais vu juste, certainement. C’était donc cela, Clara l’avait initiée. Sans doute même avec d’autres filles de leur âge. J’imaginais Clara, en Maîtresse d’un harem composé uniquement de jeunes filles. Et moi, au centre, avec toutes ces esclaves qui, obéissant à leur Maîtresse, se jetaient sur moi pour me faire jouir merveilleusement bien. J’avais cette image dans ma tête lorsque l’orgasme arriva, de nouveau, plus fort encore que le précédent. Clara Maîtresse, c’était une évidence. Elle avait manipulé Flora pour obtenir ce qu’elle voulait faire avec moi. Mirabelle aussi devait être une merveilleuse Maîtresse. Avec moi, avec Dany. Et avec Océane. Je voyais les deux femmes ensemble et cela prolongea mon plaisir. Viviane aussi serait certainement une bonne Maîtresse. Je le saurais très bientôt. Je me suis levée difficilement lorsque j’ai entendu une voiture arriver. Je suis descendue, après avoir remis mon haut, pensant trouver Gilles attablé pour l’apéro. Mais ce n’était que Robert.
« Tonton Robert », comme l’appelait Flora. C’était aussi ainsi que je l’appelais, il n’y a pas si longtemps que ça. Flora se jeta littéralement dans ses bras et sa grosse main disparut sous la jupe de ma petite sœur, directement sur ses fesses. Elle lui claqua deux bises tonitruantes sur les joues. Il me regardait fixement en caressant le petit cul de Flora. Il la reposa au sol pour que je m’approche de lui. C’était ma poitrine qu’il fixait intensément. Cela me troublait, je ne saurais dire pourquoi. Je ressentais son envie qu’il avait de caresser mes deux globes généreux. Je m’approchais prudemment, évitant de me coller à lui, c’était sûrement ce qu’il espérait. Sa main droite se posa dans mon dos, juste au-dessus de mes fesses. Je suis sûre et certaine qu’il rêva à ce moment-là de laisser sa main glisser jusque sur mes fesses. Espérant bien sûr que je ne dise rien, que je me laisse faire, comme Flora venait de le faire. Je m’écartais habilement de ses mains, me rappelant soudainement que je n’avais pas remis ma culotte. Melody était occupée avec ses fleurs, et Dany. Elle me demanda donc de lui servir ce qu’il désirait. J’apportais la bouteille d’apéritif, de l’eau fraîche et des glaçons. Et deux verres. Gilles arriva et le rejoignit sur la terrasse. Ces deux messieurs étaient servis. Flora, comme souvent, était venue s’asseoir sur les genoux de Robert. Sa petite jupe était relevée très haut et ses cuisses étaient largement découvertes. Robert ne se gênait pas pour admirer ses formes, même s’il revenait souvent sur les miennes. Il faisait très chaud dehors, et la météo annonçait encore plus chaud pour le lendemain. Gilles avoua que demain, il serait bien plus à l’aise dans sa cabine climatisée, même s’il partait vers l’Espagne et le Portugal. Il devait livrer à Cordoue, et ramener du fret de Lisbonne.