Les serveurs qui vinrent prendre la commande semblaient habitués aux turpitudes des clientes et clients. Ils ne firent aucune remarque mais leurs sourires en disaient long. Je suis persuadée qu’ils auraient aimé être invités à la fête, si j’en juge les bosses qui déformaient leurs pantalons. Le repas fut vite expédié, Armance était pressée de profiter du corps de ce jeune éphèbe. Le chauffeur du taxi eut l’occasion de se rincer l’œil quand Armance écarta les cuisses pour lui exposer ses jambes magnifiques gainées de jolis bas résilles. Dommage pour lui mais il devait se concentrer sur la route. Armance était déjà nue aux pieds de l’escalier, Max attendit le haut des marches pour l’être à son tour. J’étais plus raisonnable pour une fois et j’attendis d’être dans la chambre avant de me retrouver entièrement nue. Max avait déjà pénétré la chatte dégoulinante qui brûlait de désirs. Patiemment, je m’occupais de sa poitrine, sachant que mon tour viendra. Je voyais parfaitement les efforts que Max faisait pour conserver son excitation au comble, de façon à pouvoir m’honorer comme il se doit. D’ailleurs, dès que la RH succomba, il m’attira à lui. Comment lui résister ? Même si j’avais voulu, rien ne pouvait l’empêcher de m’embrocher. Et il fit cela très bien. Je m’abandonnais totalement entre ses mains musclées. Je réussis à jouir deux fois avant qu’il ne jouisse enfin, lui aussi. Il avait besoin de repos pour récupérer ses forces, donc c’est avec Armance que je jouais désormais. On se plaça en 69 pour se bouffer mutuellement. Moi dessus pour commencer, puis je la retournais comme une crêpe pour exposer son cul bienveillant à notre bel étalon qui reprenait de la vigueur.
Malicieusement, j’écartais ses superbes fesses pour qu’il puisse admirer son cul frétillant. Un clin d’œil complice, il m’avait comprise. Il commença à la doigter tendrement puis, voyant qu’elle acceptait tout, il crachait sur son anus et deux doigts la pénétrèrent. Ils coulissaient librement, l’invitant à l’enculer pour de bon. J’étais aux premières loges pour voir la queue s’enfoncer lentement en elle. Pas un cri, mais plutôt un râle de bonheur. Retrouver le plaisir dans toute sa splendeur. Prise par le cul, et moi qui lui aspirais le clito, elle jouit très fort une première fois, puis une seconde fois. On continuait à la baiser, lui dans l’anus, et moi dans la chatte. Quand elle s’est évanouie de bonheur, on l’a laissée se reposer un peu et Max s’est occupé de moi, à temps complet. D’abord ses mains, curieuses puis sa bouche, avec une langue fureteuse. Il a exploré toutes les parties de mon corps, m’offrant encore deux orgasmes. Il savait que je n’aimais pas trop sucer les queues, aussi n’insista-t-il pas. Par contre, il m’a reprise par devant, et par derrière. Pour finir dans mon cul. Exaltation complète des corps. Armance nous a rejoints et la nuit de folie s’est terminée au petit matin. Je n’ai dû dormir que deux heures, guère plus. Armance un peu plus. Je me suis levée pour prendre une douche. Tout mon corps était courbaturé mais j’étais comblée. Armance me rejoignit dans la cuisine, juste vêtue d’une nuisette transparente. Un appel à de nouvelles caresses. Que je lui donnais avec grand plaisir.
On a reparlé de Rahela qui devait venir dans quelques heures. Max sera surpris de la voir ici, et plus encore si elle accepte ma proposition. Simple comme bonjour. Je pouvais d’ores et déjà lui trouver une place dans l’équipe de « Fée du Logis ». Puis, quand Max aurait besoin d’aide pour subvenir aux demandes de ses clientes, elle serait à même de l’aider. Sans doute que certaines clientes ne voudront avoir affaire qu’avec elle. C’est une très belle jeune fille et je ne doute pas qu’elle plaira en tant que masseuse, tout comme « Fée du Logis ». Son salaire lui permettrait d’envoyer de l’argent à sa famille. Et, dans trois mois, elle pourrait venir se représenter aux examens. Et l’obtenir, cette fois-ci. Un peu de pratique et beaucoup d’assurance, voilà ce qu’il lui manquait. Max l’aiderait du mieux qu’il peut, j’en suis sûre. Max justement, notre bel étalon, dormait encore profondément du sommeil du juste. Beaucoup d’émotions en quelques heures et on l’avait bien utilisé toute la nuit. Armance nous prépara une légère collation et on s’habilla enfin avant l’arrivée de la jeune roumaine. Elle fut ponctuelle, ce qui me ravit. J’étais juste derrière Armance quand elle ouvrit la porte. On passa au salon pour que je lui explique ma proposition. Armance confirmait mes affirmations concernant les examens. Rahela était troublée, je la sentais tendue. Mais elle m’écouta sans jamais m’interrompre. À la fin, je lui demandais ce qu’elle en pensait. Elle prit un temps de réflexion avant de me répondre.
« Jamais je n’avais imaginé quitter mon pays, ma famille, pour aller travailler. Tout ce que tu me dis, je le crois. De plus, je connais Max et j’ai une totale confiance en lui. Donc, je dis OK pour te suivre, travailler avec toi et Max. Envoyer une partie de mon salaire, je suis totalement pour, seulement ma famille n’a pas de compte bancaire. »
« Aucune inquiétude. Je viendrais apporter moi-même les liquidités. »
Un clin d’œil complice à Armance pour confirmer que je la verrais chaque mois, désormais.
« Second souci. Nous n’avons pas de téléphone et, loin d’eux, je n’aurais pas assez de leurs nouvelles. »
« Nous irons chercher tes affaires chez toi, ainsi tu me présenteras à ta famille. Mais avant d’y aller, on fera une halte dans une boutique téléphonique pour acheter ce qu’il faut. Ta petite sœur saura bien l’utiliser, je pense. »
Rahela avait les larmes aux yeux. Personne jamais ne s’était préoccupé d’elle ou de sa famille. Et elle-même avait pris en charge sa famille quand son père avait perdu son travail. Grâce à ses années d’études, elle avait géré les finances familiales, travaillant le soir, ou le week-end pour combler les manques. Certains garçons avaient semblé très gentils avec elle mais elle a très vite compris que c’était uniquement son corps qui les intéressait. Avant eux, un professeur aussi. Professeur principal de surcroît. Il la retenait parfois, après les cours, pour l’aider à progresser, lui montrer les erreurs qu’elle avait faites et comment ne plus les faire. Mais très vite sont venues les caresses de plus en plus précises. Les ordres auxquels elle ne pouvait résister. Ils savaient l’un comme l’autre qu’il avait le pouvoir de gâcher sa vie, son avenir. Ou bien au contraire, de la promouvoir au-delà de ses espérances.