Elle se tourna et glissa sa tête sous ma mini-jupe. Elle descendit mon string sur mes chevilles et m’offrit sa langue. Elle était inexpérimentée encore, mais elle faisait de réels efforts pour atteindre la perfection de sa « maîtresse de stage ». Je souriais en pensant à l’examinateur qui l’interrogerait pour son BTS :
« Eh bien, Mademoiselle, qu’avez-vous appris pendant votre stage? »
Et surtout la réponse de la petite :
« J’ai appris à lécher des chattes, Monsieur. »
Elle réussit tout de même à me faire jouir, sans pour autant atteindre l’extase. Je la relevais pour l’embrasser et récolter sur ses lèvres les résidus de mon plaisir. Elle était toujours aussi trempée et elle jouit de nouveau sous mes doigts. Charlène sortit à ce moment, rhabillée.
« Ôte lui sa culotte et nettoie la bien. »
Trop heureuse, Charlène s’exécuta. Amélie sortit à son tour de la cabine. Je lui demandais d’ôter sa culotte et de la mettre dans son sac. Je baissais moi-même celle de Charlène. Quand elle se releva, elle la rangea dans son sac. Nous avons rejoint Corinne à la caisse. J’ignore ce qu’elle a payé mais le total n’était vraiment pas élevé.
« Corinne, toutes les trois, on est nues sous nos jupes. Tu vas devoir en faire autant. »
Elle ne refusa pas, mais elle objecta qu’on devait finir les courses dans le supermarché.
« Olivia. Ôte-lui sa culotte et donne-la-moi. »
Corinne était toute rouge. Encore une inconnue qui lui touchait les fesses. On quitta Dany et sa boutique pour finir nos courses. En suivant Corinne dans les allées du magasin, je tentais parfois de soulever sa jupe. Elle se défendait énergiquement. Charlène et Amélie se laissèrent faire plus facilement. Soumises et exhibitionnistes. Je faisais attention à qui se trouvait dans le rayon. Par contre, les vigiles devant les panneaux de surveillance ont dû se régaler. De retour au pavillon, on a tout déchargé de la voiture et rangé directement dans les placards. Une fois tout en place, c’est Corinne qui proposa que chacune montre aux autres ce qu’elle avait acheté.
« Oh oui ! Comme un défilé de mode. » Proposa Charlène.
« Dans ma chambre, alors, c’est la plus spacieuse. » Ajouta Amélie.
On la suivit dans sa chambre avec les achats. Charlène, qui avait eu l’idée du défilé, se proposa de commencer. Elle alla se changer dans la salle de bains pour revenir se présenter devant nous. Elle présenta les trois tenues qu’elle venait de choisir. Elle finit son « défilé » par les culottes, plutôt sages, que Corinne lui avait achetées. Ce fut le tour d’Amélie mais elle resta dans sa chambre pour se changer. Juste en sous-vêtements, elle enfila l’une après l’autre les deux robes que je lui avais conseillée. Toutes furent d’accord pour dire que cela lui allait à merveille. Je passais juste après elle. Au juste, je n’avais trouvé que deux top, un vert et un fuchsia. Comme Amélie, je me changeais dans la chambre mais face à mon public, même quand j’étais torse nu. Tout le monde m’avait déjà vue nue et je n’avais aucun complexe.
Quand ce fut le tour de Corinne, elle voulut profiter de la salle de bains mais c’est Amélie qui lui demanda de rester dans la chambre, tout comme elle l’avait fait. Corinne accepta mais se tourna pour se changer, entre chaque robe. Ses deux filles s’amusaient commencer des folles. Corinne voulut remettre sa robe à la fin mais Charlène lui indiqua qu’elle n’avait pas tout montré. L’ensemble soutif et tanga, ainsi que la nuisette. Charlène la supplia.
« Maman, s’il te plaît, change-toi face à nous. »
Hésitante, Corinne finit par accepter, elle ôta sa robe, son soutif et sa culotte. Entièrement nue face à ses filles et moi. Elle enfila le soutif, puis le tanga, et finit par la nuisette. Un concert d’applaudissements accueillit sa présentation. Les deux filles s’approchèrent pour voir de plus près, pour toucher. Charlène la première osa toucher les fesses de Corinne, sa mère. Pas de réaction, elle s’enhardit pour soulever la nuisette et prendre un téton en bouche. Amélie la regardait faire, éberluée de tant d’audace. La seule réaction de Corinne fut de poser sa main sur la tête de sa fille, accompagnant sa tétée.
Puis, voyant Amélie près d’elle, posa également sa main sur sa tête, l’invitant à faire de même. Je me plaçais derrière Corinne et l’aidais à ôter la nuisette que les deux filles avaient soulevée. Je dégrafais ensuite le soutif pour que la tétée se fasse à même la peau. Corinne ronronnait de plaisir sous la caresse. Aucun geste de recul quand je baissais finalement son tanga. Encore une fois, Charlène la première posa sa main sur le ventre qui l’avait vue naître. Puis doucement descendit vers sa fente que je savais trempée. J’avais mes mains sur ses hanches et je la sentais frémir.
« Non, ma chérie, … Pas ça … Non … Ouuiiiiiiii … Continue, tu es si douce. »
Doucement, je les guidais vers le lit d’Amélie pour y être plus à l’aise. Corinne se laissa allonger sur le lit, Amélie à ses côtés, Charlène resta à genoux entre ses cuisses et sa bouche remplaça ses doigts. Amélie continuait à téter sa mère qui elle, lui malaxait les seins. Elles étaient si belles, toutes les trois ensemble, que je ne voulais pas intervenir, de peur de casser la magie de l’instant. Cette image restera à jamais gravée dans ma mémoire. Et Corinne pour la première fois jouit dans la bouche de sa plus jeune fille. Charlène se redressa et vint embrasser sa mère, et sa sœur, qui goûta pour la première fois aux effluves maternelles. Corinne tendit son bras dans ma direction, me demandant de me rapprocher. Elle m’offrit ses lèvres, cadeau impossible à refuser. J’y retrouvais son parfum de femme, une fragrance unique. Elle attira Charlène au-dessus de sa bouche, voulant lui rendre le plaisir qu’elle lui avait procuré.
Amélie prit l’initiative de se glisser entre les cuisses de sa mère et elle embrassa la vulve offerte. Charlène se retrouvait coincée par sa mère, face à moi. Je gobais l’un de ses tétons et l’aspirais amoureusement. Prisonnière entre les mains de Corinne, Charlène dut accepter la caresse. Je savais d’expérience qu’elle était ultrasensible des tétons.