Été 2020 (15/30)

Encore une fois, je l’ai vue se mordre la lèvre inférieure mais c’était sans doute d’excitation, voir sa belle-mère à genoux entre les cuisses de Marie-Rose pouvait être bandant. Nous avons suivi le chemin côtier pour revenir par l’autre entrée, côté caravanes et tentes. C’est d’ailleurs près d’une des tentes qu’elle m’abandonna, celle qui abritait une partie de ses admirateurs. Auprès d’eux, elle devenait Princesse et eux, ses vassaux. Comme des esclaves à ses pieds. Je retournais voir Marie-Rose pour lui expliquer le plan que j’avais fomenté avec Josiane. Ma perversité semblait beaucoup lui plaire, surtout si je lui amenais de nouvelles conquêtes. Je suis ensuite retournée auprès de Fanny pour préparer le repas de midi avec elle. Elle s’occupait de sa fille pendant que je finissais de mettre la table pour six personnes, plus Lucie. En effet, la vendeuse mangeait avec nous, comme l’ouvrier et Gaëtan, le jeune apprenti. Il ne cessait de me dévisager, disons plutôt que ses yeux avaient bien du mal à quitter ma poitrine qui était visiblement libre de toute contrainte. L’ouvrier aussi remarqua mes seins libres, la vendeuse me sourit mais je ne surpris aucun regard bizarre de sa part. C’est en parlant avec eux que j’appris qu’elle vivait en couple et que l’ouvrier était marié, et papa. Ce n’est qu’après le repas que Joël réussit à me coincer entre deux portes et qu’il baissa le haut de ma robe. Ma poitrine lui apparut alors et il s’empressa de caresser mes seins amoureusement. Gaëtan l’a vu faire mais il est retourné travailler avec l’ouvrier, qui avait des horaires de journée, comme la vendeuse. J’aidais Fanny pour se coucher, pour une sieste bien méritée, lorsque sa fille Lucie est venue s’allonger près d’elle. Avec un regard désappointé, Fanny s’est allongée en me regardant partir. J’ai rejoint la chambre où dormait Joël qui m’a prise passionnément. Puis, je l’ai laissé se reposer et je suis allée voir Marie-Rose qui m’attendait. Nous n’avons pas eu à patienter longtemps pour voir Maud se présenter devant la porte coulissante du bungalow. Je suis allée immédiatement à sa rencontre. Elle avait l’air toute fragile, intimidée.

Elle savait pourtant pourquoi elle était venue. Mon premier geste a été de baisser le haut de sa robe, le même modèle que Marie-Rose et moi, tandis que je l’embrassais tendrement sur la bouche. Elle ne s’est nullement défendue, elle a simplement fait quelques pas dans le bungalow pour ne pas être vue de l’extérieur. Elle était maintenant tout près de Marie-Rose qui, elle aussi, baissa sa robe pour exposer sa voluptueuse poitrine aux yeux de la jeune fille. Comme elle ne réagissait pas, elle lui prit la main pour la poser sur les seins si convoités. En échange, elle se mit à malaxer la poitrine toute fraîche de la jeune fille. Sa robe n’était plus retenue que par son petit postérieur et je n’ai eu qu’à tirer légèrement dessus pour qu’elle glisse définitivement au sol. La demoiselle portait un tanga qui mettait magnifiquement ses fesses en valeur. On avait vraiment envie d’y goûter. Et je ne m’en suis pas privée. À genoux derrière elle, j’ai rendu l’hommage qui revenait de droit à ce petit cul de rêve. Maud résista à peine lorsque je finis par descendre son dernier vêtement. Elle était nue, totalement nue, et à notre entière disposition. La coquine avait dû écarter les pieds pour rester bien stable, j’en ai profité aussitôt pour glisser ma tête entre ses cuisses entrouvertes. Un merveilleux spectacle s’offrait à moi. Le plus beau qu’on puisse rêver. Une jolie fente toute fine, à peine dessinée, au-dessus de laquelle flottait un léger duvet blond. Marie-Rose avait repris l’initiative, comme on l’avait décidé avant son arrivée.

« Maud, tu vas faire sur moi ce que je fais sur toi.  »

Elle ne lui laissait aucun choix. Elle commença par lui caresser l’épaule, comme pour l’amadouer, tout en la fixant droit dans les yeux. Maud leva sa main et reproduit la même caresse sur la femme face à elle. Je l’observe, d’en bas, elle est comme une apprentie face à sa nouvelle Maîtresse. La main de Marie-Rose glisse désormais vers son sein, tandis que la sienne hésite à descendre. Marie-Rose lui prend le poignet de son autre main et la positionne là où elle le souhaite. Je les vois se caresser mutuellement et les deux semblent y prendre beaucoup de plaisir. Leurs respirations s’accélèrent et la Maîtresse fait maintenant rouler le téton entre le pouce et l’index. Maud ose enfin et fait de même. Elles alternent d’un sein à l’autre et les pincées sont de plus en plus puissantes, sans que la douleur ne soit insoutenable. Leurs soupirs respectifs ne sont pas feints, l’expérience semble leur plaire. Je vois la main de Marie-Rose s’approcher du pubis très blanc, presque nacré, et venir narguer son clitoris déjà bien visible. La jeune demoiselle est très excitée. Mais elle hésite encore une fois à franchir le pas. Marie-Rose fait une petite moue d’encouragement qui semble lui dire.

« Allez, vas-y. Fais-le.  »

Le contact de son doigt sur son bouton fait sursauter la Maîtresse. La jeune demoiselle s’applique à faire de petits cercles concentriques autour du clito de la femme qui gémit tendrement. Jusqu’à ce qu’un doigt pénètre enfin la jeune chatte imberbe et s’active en elle. Maud est obligée de se maintenir à elle pour ne pas basculer sous la pression de la main qui écrase son clitoris. Cela semble trop bon, pour l’une comme pour l’autre. Marie-Rose relâche un peu la pression et la jeune fille se dit qu’elle se doit d’en faire de même. Son doigt glisse jusqu’à l’entrée de sa grotte et reste là. D’un mouvement de bassin en avant, Marie-Rose oblige le doigt à s’enfoncer en elle. Il est entré entièrement, sans forcer, tellement elle est excitée par la situation. Maud a poussé un petit cri de surprise, au début, mais maintenant, son doigt coulisse librement dans le sexe de la femme qui lui fait exactement la même chose, en même temps. Elles prennent la même cadence pour se doigter, l’une l’autre. Je me suis assise sur le canapé pour profiter du spectacle offert par ces deux coquines.

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