Sabrina a repris l’école, celle qu’elle avait choisie en venant à Nice. Sophie également retourne aussi en classe, mais à la maison pour elle. Elle a entrepris de suivre une formation on-line, des cours par correspondance en fait. Sans compter les cours d’anglais suivis, très suivis, avec Carolyn. Chose étrange, les deux filles suivent le même cursus avec un but, le diplôme de Designer Web. Pas trop de difficultés pour Sabrina qui a toujours été une bonne élève. Et encore plus depuis qu’elle a quitté la cellule familiale. Bien plus compliqué pour Sophie qui était en échec scolaire. Mais elle a la volonté de sortir du trou. Une volonté inébranlable. Même moi, je suis surprise par cette envie de réussir sa vie. Elle m’avoua, bien plus tard, qu’elle ne voulait surtout pas être un boulet pour moi, et qu’elle voulait m’aider, autant que je l’avais aidée. Pour affiner sa formation, elle avait donc décidé de développer un site Web pour promouvoir les échanges que j’avais débuté entre la Grèce et la France. Et pourquoi pas d’autres pays ?
Sabrina l’aidait autant que possible, et quand un problème survenait, elles demandaient l’une et l’autre à leurs professeurs. Mais, une fois développé, un site Web doit être mis en ligne, pour que les personnes intéressées puissent s’y connecter. C’est Sophie toute seule qui a fait la recherche d’un hébergeur. Elle a demandé les devis, pour comparer les offres de services et le prix. Elle a finalement fait son choix mais elle tenait à rencontrer le commercial en personne pour conclure le contrat. Il s’est donc présenté un après-midi, j’étais au travail, et elle l’a reçu en tenue légère. Une minijupe, enfin juste un bandeau, et un débardeur blanc. Rien d’autre. C’est elle-même qui m’a tout raconté ensuite. Ses seins, entièrement libres sous le tissu étaient prêts à sortir au moindre mouvement. Elle en jouait très bien, d’ailleurs. Elle se penchait près de lui pour affiner un détail mais lui ne voyait que cette poitrine, si tentante. Son regard était accroché et Sophie n’avait plus qu’à le faire succomber définitivement. Sans se dégonfler, elle lui fit une proposition que personne n’aurait pu refuser. Elle avait choisi le forfait le plus élevé, mais avec le prix le plus bas. Pour combler la différence, c’est son corps qu’elle offrait. Le commercial devrait revenir chaque mois pour obtenir la récompense qu’il méritait. Le commercial arrêta de réfléchir à la proposition quand elle ôta son débardeur.
Elle s’approcha de lui pour qu’il puisse enfin toucher les trésors qu’il admirait depuis une heure. Sa bouche vint très vite remplacer ses mains qui descendirent sur les fesses, les cuisses puis remontèrent sur les fesses. Pour les découvrir entièrement nues. La coquine n’avait pas mis de culotte et le commercial devint comme fou. Fou de désir pour cette petite salope qui l’avait allumé et qui, finalement, s’offrait à lui. Oui, il perdrait de l’argent sur ce contrat, mais il gagnait une bonne séance de baise, mensuelle, avec une salope comme il n’en n’avait jamais vue. Et oui, il profita pleinement de ce corps qui lui était offert. Par la bouche, la chatte et même le cul. Elle acceptait tout, pour son plus grand bonheur. Il n’était pas encore parti que déjà, il lui tardait d’être au mois suivant. Non seulement elle acceptait tout ce qu’il demandait, mais elle-même semblait vraiment apprécier ce moment passé avec lui. C’était une chaude, comme jamais il n’avait rencontré. Il pensa un instant à son collègue, Nicolas, qui lui aurait tout refusé, trop amoureux de sa femme. Lui était encore célibataire et tenait à le rester, pour de telles occasions.
Le site, une fois mis en ligne, eut aussitôt le succès escompté. Bien qu’il ne soit accessible que sur invitation. Des demandes les plus bizarres commencèrent à arriver. J’y répondais favorablement lorsque c’était possible. Une demande, particulièrement, attira mon attention. Elle concernait la recherche d’un bon masseur-kinésithérapeute, qui puisse également exercer en tant que coach sportif. Demande faite par une femme et aussitôt relayée par plusieurs autres, hommes et femmes. Un nouveau voyage à Cluj s’imposait. Je n’avais pas oublié le numéro téléphone d’Armance. Elle non plus ne m’avait pas oubliée. Je restais un moment en ligne avec elle, même si j’avais obtenu les renseignements que je souhaitais. Maxime était toujours là, en train de passer l’examen final. La réponse définitive devant arriver ce jeudi, je pris rendez-vous avec la DRH. 10 heures, jeudi matin dans son bureau. Le vol se passa très bien et un taxi m’emmena jusqu’à l’université. Armance m’attendait impatiemment. Elle se leva pour m’accueillir et elle me prit dans ses bras. Je sentais la chaleur de son corps à travers nos vêtements. Personne ne pouvant nous voir, je posais mes mains sur ses fesses, et je remontais sa robe. Rapidement, mes mains retrouvèrent ses fesses pleines et musclées. Mais pas de culotte. Elle me murmura à l’oreille :
« Tu sais que je t’attendais impatiemment. »
On s’est cajolées pendant trente minutes avant de redevenir sérieuses. Je l’aidais à rajuster sa robe qui ne cachait plus rien. Le cul à l’air et les seins sortis des bonnets du soutif. Je l’aidais à remettre sa culotte, bien jolie ma foi, sachant pertinemment qu’elle ne la garderait pas très longtemps. Elle savait que je venais pour proposer un emploi à Maxime et, pour cette raison, elle l’avait convoqué dans son bureau à 10 heures 45. Je lui donnais des nouvelles de Betty qui ne regrettait nullement son choix. Par contre, elle n’avait pas changé. Toujours seule et refermée sur elle-même. Il lui manquait une présence. Maxime arriva à l’heure prévue et prit place près de moi. Il avait été très surpris par cette convocation chez la DRH, quelques minutes avant les résultats de ses examens. Il fut encore plus surpris de me voir dans ce bureau. Mais, comme il avait de la suite dans les idées, il comprit très vite le sens de ma visite. Après les salamalecs d’usage, on passa au vif du sujet.
« Maxime. »
« Max. » reprit-il.
« Max, si tu veux. Je pense qu’il est inutile de te faire un dessin, tu sais pourquoi je suis là. J’ai du travail à te proposer, comme j’en avais trouvé pour Betty. Mais avant tout, il faut savoir si tu as réussi ton examen. Armance ? »
« Oui, Maxime. Emma a raison et tu vas savoir avant l’heure que … »
« Tu as réussi haut la main. Félicitations pour tes résultats plus que satisfaisants. «