Elle glissa malicieusement ses mains sous sa robe. Elle ne pouvait rien dire, rien faire, juste subir. Elle ne résista nullement lorsque sa persécutrice lui baissa sa culotte jusqu’aux chevilles. Elle dut, bien malgré elle, lever un pied, puis l’autre, pour se libérer. Les deux petites filles montraient qu’elles étaient très fatiguées et Marie-Rose décida d’aller les coucher. Dylan résista plus longtemps mais finit par s’endormir sur le canapé. Marie-Rose était assise près de lui, entourée par les deux plus âgés. C’est Renan qui, le premier, osa de nouveau poser sa main sur la poitrine toute proche. Marie-Rose ne disait rien et acceptait tout, même la petite main de Céliane qui s’était déjà engouffrée sous sa robe. Renan dégagea l’un des seins, puis l’autre, et reprit sa tétée. C’est Jérôme, lorsqu’il frappa à la porte, qui mit fin à leurs jeux d’adultes. Marie-Rose se rajusta rapidement pour aller ouvrir. Dylan s’était réveillé et marcha jusqu’au chalet avec Céliane. Jérôme portait les deux petites filles qui dormaient profondément. Il laissa ses filles à Ingrid pour accompagner Renan et sa petite sœur chez eux. J’étais restée debout pour ranger un peu et refermer la porte après le départ de mon grand frère. Je couchais Lucie avant d’aller rejoindre Fanny. Voilà, vous savez tout de cette soirée mémorable. Que l’on renouvela une autre fois. Mais c’est déjà une autre aventure.
Nous étions dimanche matin et je décidais de retourner voir Marie-Rose, dans son bungalow. Juste au moment où j’entrais, elle me fit remarquer que la femme d’en face quittait son bungalow. Elle m’entraina dehors, à sa suite. Nous la suivions de loin mais Marie-Rose savait déjà où elle allait. Elle retrouva le maitre-nageur qui nettoyait la piscine. Ils jetèrent un coup d’œil à droite puis à gauche et, rassurés d’être seuls, s’embrassèrent tendrement. Puis, il l’attira à l’arrière du bâtiment de service et Marie-Rose me fit patienter quelques instants avant de me pousser vers une fenêtre. Le couple illégitime était bien là, il avait baissé la culotte de son maillot de bain et il la prenait par derrière. Légèrement penchée en avant, elle avait posé ses deux mains sur les différents ustensiles de la piscine et elle se faisait baiser intensément. Je pensais que Marie-Rose était tout près de moi et je fus surprise de la voir pénétrer dans la pièce, surprenant le couple en plein ébat. Elle cria bien haut et fort.
« Mais qu’est-ce qui se passe, ici ? En voilà du propre. »
L’homme, surpris, se dégagea et repartit immédiatement, sans s’occuper de sa maitresse. Marie-Rose resta seule avec sa voisine.
« Mais, c’est vous, Mme Martin. Que dira votre gentil mari quand il saura tout ça ? »
Je voyais clairement la panique dans les yeux de la femme adultère et elle n’avait qu’une chose à dire.
« S’il vous plait, ne dîtes rien à mon mari. Il … Ne comprendrait pas. »
Devant le visage imperturbable de Marie-Rose, elle ajouta.
« Je ferais n’importe quoi pour qu’il n’en sache rien. Vous voulez bien ? »
Sa voix était tremblotante, et suppliante. Marie-Rose jubilait intérieurement. Sans dire un mot, elle s’approcha de sa proie pour tirer sur le cordon qui maintenait encore le haut de son maillot de bain. Elle voulut réagir, puis de rappela ce qu’elle venait de promettre. Elle resta donc stoïque, la poitrine dénudée devant cette femme qu’elle connaissait à peine. Elle ferma simplement les yeux lorsque Marie-Rose posa ses mains sur ses seins offerts. Elle tourna la tête vers la fenêtre et rouvrit les yeux. Pour me voir, moi, qui les observais. J’entrais alors moi aussi dans le cagibi au moment où Marie-Rose la forçait à s’agenouiller devant elle. Sa seule réaction fut de dire : « Oh, mon dieu « . Maintenant qu’elle était à genoux, obéissante, Marie-Rose me plaça juste devant sa bouche et elle eut pour mission de me lécher. Ce qu’elle fit très bien. Elle avait délicatement écarté le tissu de mon maillot de bain et elle s’appliquait à sa tâche. Vu sa technique, ce n’était certainement pas sa première fois avec une femme.
Elle pensait sans doute s’en tirer à bon compte mais Marie-Rose avait d’autres envies, comme l’attirer chez elle, par exemple. Elle lui ôta le haut de son maillot pour qu’elle se retrouve entièrement nue. Puis, elle la fit se relever et lui donna une serviette, pas très grande. La serviette faisait tout juste le tour de sa taille et elle devait la retenir pour ne prendre aucun risque. Sa poitrine imposante était donc exposée et visible par tous. Mais, franchement, près d’une plage, qui pouvait faire attention à trois femmes, dont une seule était seins nus. De plus, il était encore tôt et le camping n’était pas trop fréquenté à cette heure-là. Nous marchions donc tranquillement vers le bungalow de Marie-Rose lorsqu’un groupe de jeunes gens arrivèrent en face de nous, sur le chemin. Impossible de les éviter, et d’ailleurs, pourquoi ? C’est en s’approchant que je reconnus Josiane, la jeune fille que j’avais aperçue chez eux. Toujours très bien entourée et très peu vêtue. Elle avait bien vu ce groupe de femmes qui approchaient mais elle n’aurait jamais pensé que sa mère puisse se balader ainsi, presque nue. C’est un des garçons du groupe qui lui fit remarquer que sa mère était « plutôt bien foutue » pour son âge. Josiane leva alors les yeux vers nous et vers cette femme qu’elle semblait découvrir. Tous les garçons avaient les yeux rivés sur la poitrine qui se balançait librement. Tous auraient certainement voulu la caresser, si cela avait été possible. Je le voyais dans leurs yeux. Josiane tourna la tête pour regarder droit devant elle et oublier ce qu’elle venait de voir. Je l’appris un peu plus tard mais ce n’était pas sa mère biologique. Sa véritable maman était décédée lorsqu’elle avait deux ans et son père s’était remarié un an plus tard avec Céline, qui a donc été une maman de substitution. Elle avait appris très tôt que Céline n’était pas sa vraie mère, cela ne changea presque rien, jusqu’à l’adolescence. L’esprit rebelle de la jeune fille s’était révélé et seul son père comptait à ses yeux.