Martine, la suite (14/18)

Denise, c’est dans ses yeux que je voyais avec quel immense plaisir elle pouvait de nouveau voir et surtout caresser mes énormes seins. Très rapidement, c’est sa bouche qui vint remplacer ses doigts. Penchée légèrement en avant, je pouvais moi aussi caresser sa douce poitrine à travers ses vêtements. Au contraire de notre dernière fois, elle n’avait pas un homme dans son dos qui se frottait à elle. Mr Nourry ne la connaissait pas encore suffisamment pour ça. Elle était devenue son employée simplement par sa présence ici. Mr Nourry ne pouvait que l’embaucher et espérer revivre cette expérience à trois. Il se recula légèrement derrière moi et commença à soulever ma longue jupe. Il aperçut ma culotte, toujours ornée du diamant rose du plug en son centre. Quelque chose de gros, de chaud, glissa bientôt entre le tissu et la fente humide. Je mis un certain temps avant de comprendre qu’il avait sorti sa queue et qu’il la frottait le long de mon intimité. Il faisait des mouvements amples, et doux, sans violence, sans impatience aucune. Quand soudain, je l’ai senti venir. Sa queue vibrait, tremblait et il commença à se vider dans ma culotte. Cet homme si grand, si impressionnant, venait d’éjaculer sur moi. Il recula d’un bon mètre pour s’asseoir sur son fauteuil tout proche. Je me tournais face à lui et me penchais méthodiquement pour nettoyer cette grosse queue qui venait de me donner énormément de plaisir. Denise, collée à mes fesses, reprit le pelotage de mes seins. Ses deux mains furent bientôt recouvertes par celles de Mr Nourry. Je me tournais à nouveau pour m’asseoir sur les cuisses de notre hôte. Denise plongea tête première sur mes tétons dès qu’ils furent à sa portée.

Mr Nourry avait retrouvé, plus ou moins, son rôle de futur patron pour Denise et lui énumérait ce qu’elle aurait à faire. Il aborda évidemment le taux horaire qu’il souhaitait appliquer. Bien au-dessus de ce qui était donné habituellement. J’étais toujours assise sur ses cuisses lorsqu’il ouvrit un tiroir pour en sortir deux billets. Un qu’il tendit à Denise, l’autre était pour moi. Des billets de 500 francs !!! Denise, tout comme moi, nous n’en avions jamais vu de si près. Denise ramassa le sien dans sa poche. Mr Nourry tenait toujours le billet qu’il m’avait destiné. De son autre main, désormais libre, il souleva ma jupe, devant, et remonta jusqu’à ma culotte. Il glissa deux doigts sous le tissu et commença à me doigter. J’adorais ce qu’il me faisait, j’aurais voulu que ça dure très longtemps mais l’excitation qui m’habitait alors était telle que j’ai joui abondamment sur ses doigts. Je l’ai vu porté ses doigts souillés à sa bouche pour les lécher et récolter mon nectar. Il avait obtenu tout ce qu’il voulait de moi et il finit par glisser le billet dans ma culotte avant de me laisser me relever. Ma jupe retomba sur mes cuisses et je pus continuer à me rhabiller, soutien-gorge et pull. Nous sommes reparties très contentes, Denise avait un nouvel emploi, plus intéressant et mieux rémunéré que le précédent, et moi, j’avais un nouveau « fiancé ».

Comme très souvent, à cette époque, les plus jeunes ne peuvent pas comprendre, chaque village, ou ville, organisait sa fête pour la Saint Sylvestre. Et mon village, comme les autres, avait tout préparé dans la grande salle communale. C’était principalement les habitants de notre commune qui venaient, les plus anciens généralement. Leurs enfants préférant très souvent aller à la grande ville la plus proche. On se retrouvait donc entre amis, voisins et connaissances. Il y avait aussi de jeunes couples, évidemment, mais souvent l’un d’eux avait habité notre village et revenait voir sa famille à cette occasion. Et toutes les personnalités étaient bien évidemment présentes. Mr Renaudin et sa femme, leur fille était là également avec son mari, Mr Nourry et sa femme, belle comme un cœur, Mr Jonathan, le notaire et tous les autres qui avaient une petite notoriété dans notre petite commune. Mr Renaudin me présenta à sa fille, que je ne connaissais que par les photos aperçues ici et là chez lui. Les parents venaient d’apprendre qu’elle était enceinte d’un mois et que donc, ils seraient grands-parents à l’été prochain. Elle vivait à Lyon, avec son mari, qui avait une très bonne situation. Je retrouvais Denise avec sa famille. Elle était resplendissante et tout sourire, surtout depuis qu’elle avait annoncé à sa maman qu’elle ferait désormais uniquement des babysittings et que, justement, elle était déjà prise chez Mr Nourry, l’entrepreneur bien connu, qu’elle aurait à s’occuper de ses jumeaux. Il s’est justement approché de la maman pour venir la saluer, et voir de plus près ses seins qui allaitaient. Il aurait tellement voulu assister à une tétée, voire même participer, sucer et lécher de bon gros seins. Mais bien sûr, il resta poli et lui confirma qu’il avait effectivement engagé sa fille pour garder ses enfants, le soir où il devrait sortir avec sa femme. Justement, Denise m’entraina derrière elle pour aller expliquer à Mr Jonathan qu’elle ne viendrait plus faire le ménage chez lui. Tous les trois, nous savions parfaitement que tout cela n’était qu’un prétexte pour avoir de jeunes filles à sa portée.

Il fut déçu, bien entendu, mais rassuré lorsqu’elle lui affirma qu’elle reviendrait le voir, juste pour le saluer. Elle pensait sans doute à d’autres achats de lingerie qu’elle devrait exposer devant ses yeux, lui repensait certainement à notre dernière visite, quand il avait pu frotter sa queue le long de sa fente. Avec un sourire en coin, moi aussi je lui confirmais que je reviendrais lui rendre visite chez lui. Même si je n’avais pas ses courses à porter, ajoutais-je. Comme Denise était avec moi, nous sommes allées saluer Mr Renaudin et son épouse. Pour le début de la soirée, je m’occupais des petits, mon frère et ma sœur mais aussi les enfants de Mireille et Germain. Ils avaient pris place à notre table et discutaient avec mes parents, et avec d’autres personnes des tables voisines. Denise m’aidait car elle n’avait que sa petite sœur, Marie, à surveiller, les jumeaux étant restés près de leur maman.

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