FANNY (05/09)

Édith apporta les rafraîchissements sur la terrasse, ainsi qu’un assortiment de cigarettes et cigarillos.  Bien qu’il ne fasse aucune réflexion, je vis bien que Luc appréciait le geste. Mais je savais que ce n’était pas en marquant des points par-ci, par-là que j’allais remporter la mise. En fait, c’est exactement cela, un jeu où chacun pousse ses pions pour prendre l’avantage sur l’autre. Et mon pion majeur, c’était Fanny. Fanny et sa poitrine, que les deux hommes ne cessaient de regarder. Une bouteille d’eau de source se trouvait à portée de ma main. Je fis discrètement un signe à ma collaboratrice. Sans comprendre ce que je m’apprêtais à faire, elle acquiesça. Sous les yeux éberlués des deux technico-commerciaux, je pris la bouteille d’eau et la versais tranquillement sur la poitrine de Fanny. Le tissu devint immédiatement transparent, dévoilant ses seins merveilleux, mieux que si elle était topless. Elle se pencha légèrement en avant pour ne pas mouiller ses leggings. Les gouttes tombaient une à une de ses pointes de seins, durs comme jamais. Le plus drôle, c’était son visage, à la fois étonné et surpris, mais aussi très malicieux, presque provocant. D’un air de dire :

« Eh bien, messieurs, qui va se proposer de m’essuyer en premier ? Qui va oser intervenir ?  »

Édith, qui avait tout vu, apporta une serviette éponge pour Fanny, mais c’est à moi qu’elle la tendit. À mon tour, je tendais le tissu vers les deux hommes en leur demandant.

« Qui veut l’aider à s’essuyer ?  »

Hafid fut le plus prompt à réagir et m’arracha presque la serviette, Luc, qui avait oublié de fumer, le regardait attentivement.

« Édith, ôtes-lui son maillot. Ce sera plus facile pour la sécher ».

Aussitôt dit, Édith lui souleva son top, dévoilant ses seins majestueux. Hafid prenait tout son temps pour bien l’essuyer, malaxant amoureusement les deux merveilles. L’un comme l’autre bandait très puissamment. Je les invitais à retourner discuter des nouvelles conditions du contrat. Il faisait chaud, Fanny ne souhaita pas remettre un haut et resta ainsi, seins nus, pour le plaisir des deux commerciaux. Édith ramena le plateau de rafraîchissements de l’extérieur et le posa sur une table basse.

« Et toi, Édith. Tu n’as pas trop chaud ? Tu sais, tu peux te mettre à l’aise, comme Fanny.  »

« Oh non, Madame. S’il-vous-plait.  »

Sa voix disait non, mais ses yeux me suppliaient de la dominer en public, devant ces personnes qu’elle ne connaissait pas il y a deux heures.

« Ou plutôt non, nous allons demander à Luc de t’aider. Je suis certaine qu’il sera ravi de t’enlever ton corsage. Voire plus.  »

« Oh non, Madame « . Dit-elle en se rapprochant de lui.

« Tu feras comme je le dis. Luc, tu peux ôter son corsage.  »

Édith ne tenta même pas de résister, elle baissa les bras pour le laisser opérer, mais elle baissa également la tête, soumise. Luc s’empressa de dégrafer les petits boutons. En commençant par le haut. Moi, en tant que femme, j’aurais débuté par le bas, pour découvrir son ventre puis sa poitrine. Seuls les hommes commencent par le haut, trop pressés de voir l’objet de leurs désirs. À chaque bouton défait, il écartait les deux pans pour découvrir le soutif, puis la poitrine, et enfin le ventre. Il finit par ôter le vêtement délicatement pour le poser sur une chaise. Puis, il admira le corps de la jeune fille. Tout comme Hafid et Fanny. Elle s’était levée et se trouvait très près du commercial qui l’avait si bien pelotée. Un mouvement de tête du jeune homme et sa bouche se trouva face à la délicieuse poitrine. Il ne résista pas à l’envie et Fanny, qui n’attendait que ça, se laissa sucer les tétons. Luc, obnubilé par la jeune serveuse, ne s’en rendit pas compte immédiatement. Il attendait un ordre, une consigne, pour à son tour, caresser une voluptueuse poitrine.

« Voilà qui est mieux, non? Tu dois te sentir soulagée. Le soutif, on l’enlève aussi? »

« Oh Madame, non, s’il vous plait.  »

« Mais regarde Luc. Il est tellement déçu.  »

« Madame, vos désirs sont des ordres ». Ajouta-t-elle en écartant les bras.

Luc me regardait, attendant le signe. À mon signal, il se précipita pour ôter le dernier rempart, tel un spécialiste. Édith poussa un gros soupir quand elle se retrouva torse nu.

« Luc, tu peux lui masser les seins. Tu vas voir, elle va adorer.  »

Il ne se fit pas prier et malaxa amoureusement les deux globes laiteux. Ce n’est qu’à ce moment précis qu’il se retourna en entendant les soupirs de Fanny. Il goba lui aussi les tétons de la serveuse, tout en lui caressant les fesses, sous la jupe. Je déclarais à voix haute ce que tous pensaient.

« Je crois que le temps des négociations est passé. On reprendra ultérieurement. Mesdemoiselles, voyez dans quel état vous avez mis ces beaux jeunes hommes. Les pantalons sont prêts à éclater. Vous devez y remédier. Immédiatement.  »

Fanny avait compris aussitôt et se mit à genoux près du commercial, Édith l’imita ensuite, mais elle resta debout, jambes écartées. Sous les yeux ébahis de Luc, qui regardait la tête monter et descendre sur sa queue, je glissais ma main dans la culotte de la jeune fille. Pour la ressortir aussitôt, les doigts trempés de sa mouille odorante. Je tendis les doigts vers Luc qui s’empressa de les lécher.

 » Tu vois, elle a vraiment apprécié tes caresses. Continue à lui peloter les seins, elle en redemande encore.  »

Je contournais le couple pour retrouver Fanny. Inutile de vérifier, je savais d’avance qu’elle aussi était trempée. Je baissais ses leggings et son string. Elle leva un pied pour que je dégage ses chevilles. Elle se redressa et se mit à califourchon sur Hafid. Elle s’empala lentement sur la queue dressée à mort. Pour son plus grand plaisir. Et celui d’Hafid. Luc aida Édith à se redresser, la positionna les avant-bras sur la table, baissa les collants et écarta le tissu de sa culotte. Il l’enfila à son tour. Lentement, lui aussi, il était véritablement bien monté. Hafid aussi. Je les laissais profiter les uns des autres et je m’éloignais un peu. Je reçus un appel de Sophie. Elle m’appelait très rarement, donc cela devait être important. Durant les deux dernières semaines, elle avait subi mon caractère, qui peut être mauvais quand je n’obtiens pas ce que je veux. Et ce que je préparais, c’était la venue des deux commerciaux. Je voulais que tout soit parfait.

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