Papa devant, et lui par derrière. J’étais de toute façon incapable de dire non et il m’encula très facilement. Il commença à souffler dans mon cou, avant de lâcher dans un soupir.
« Oh mon dieu ! Qu’est-ce que tu es bonne, Lauryn. »
J’aurais reconnu cette voix entre mille, c’était Francis, mon cher directeur qui m’enculait joyeusement. J’ignore combien de temps cela a duré, je pense même m’être évanouie quelques minutes. À mon réveil, j’étais allongée sur un canapé moelleux et le procureur profitait allègrement de mon corps alangui. C’était déjà presque la fin de la soirée et certains commençaient à partir. Mais certaines femmes tenaient à rendre une dernière fois hommage à la queue de Maître Tigre et elles se regroupèrent, à genoux, pour se partager ce mets de Roi. Papa résista le plus longtemps possible avant de déclencher sa lance à incendie. Il arrosa les visages des femmes présentes à ses pieds, pour leur plus grand bonheur. Elles se battirent, les unes avec les autres, pour récolter le maximum de semence sur les visages arrosés. Ceux qui le souhaitaient purent se restaurer avant de quitter la réception. J’avais bien besoin de reprendre quelques forces et de me désaltérer. Tous avaient tombé les masques, ou les loups, sauf Maître Tigre qui souhaitait conserver son anonymat. La Comtesse passa tout près de moi et me remercia en me caressant les fesses au passage. Puis, elle se dirigea vers le procureur, toujours nu, et elle prit son sexe déjà moi entre ses doigts. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour réveiller sa libido. Elle le branla un moment, tout en discutant avec lui d’un problème judiciaire qui la préoccupait. Il ne savait dire que « Oui, oui », l’assurant qu’il ferait de son mieux pour résoudre son problème. Voilà comment résoudre des soucis avec la justice. Il suffit de faire ce qu’il faut, au moment voulu. Nous fûmes les derniers à quitter la Comtesse d’Orgemont qui demanda expressément à Maître Tigre de revenir très souvent. Sa prestation n’avait fait que des heureuses. Nous sommes retournés à la voiture. Je laissais Caro derrière avec Maître Tigre et je montais devant, pour pomper le chauffeur jusqu’à mon appartement. Ils ne pouvaient évidemment pas repartir chez eux immédiatement et je les ai conviés à monter avec nous.
Monter, j’avais trouvé le mot exact. C’est accrochée aux bras de son Maître, qui était planté en elle, qu’ils grimpèrent les étages. Bon, j’exagère un peu, on avait pris l’ascenseur. Marc ne me portait pas mais il me baisait, lui aussi, pendant que l’on montait à mon étage. Caro est restée plantée sur Maître Tigre jusqu’à ma porte. J’ai dû me pencher légèrement pour trouver le trou de la serrure. Marc en a profité immédiatement pour relever mon imper et me prendre à nouveau, sur le palier. J’espère que mes voisins n’ont rien vu. Puis, il m’a poussée jusqu’à ma chambre et, allongée sur mon lit, il m’a enculée divinement. À côté de moi, Caro se faisait défoncer par un Maître Tigre qui avait retrouvé toute sa vigueur. Je pouvais lire dans ses yeux tout le bonheur qu’elle ressentait d’être prise ainsi. Pour se finir, papa l’a retournée comme une crêpe et l’a enculée, tendrement. Il ignorait évidemment qu’elle adorait ça, comme moi. Quand il a vu qu’elle réagissait favorablement, il s’est déchaîné dans son postérieur jusqu’à l’assaut final. Elle a dû mordre la couette pour ne pas hurler son plaisir et réveiller les voisins.
Après cette cavalcade hallucinante, papa a finalement ôté son masque et la boule dans sa bouche pour embrasser les seins merveilleux de sa nouvelle conquête. Elle était comblée de bonheur, Caro, tout comme son mari. La soirée avait été très prolifique pour eux deux et elle se finissait en toute beauté. Caro avait fini par faire s’allonger mon papa et le pompait ardemment. Quand elle le sentit prêt pour un second round, elle grimpa sur le lit et s’empala directement sur le monstre qu’elle avait fait renaître. Marc, très intéressé par la prestation de son épouse, se plaça derrière elle et la pelota joyeusement. Émoustillé à l’extrême, il plaça son gland près de l’entrée de service et attendit patiemment. Caro ne tarda pas à gémir pour qu’il la prenne en même temps que mon papa. Elle a donc eu droit à une double pénétration, mon père devant et son mari derrière. Elle s’est écroulée, vaincue par le bonheur immense qu’elle venait de vivre. Mais les hommes n’en avait pas fini. C’est donc moi qui eut droit à la même chose, mais inversée. Papa derrière et Marc par devant. Marc est un très bon coup, j’avais dû vous le dire précédemment, mon tonton Roger est lui aussi un très bon baiseur. Mais ils étaient tous les deux supplantés par mon cher papa.
Nos amis nous ont quittés à regret et papa m’a baisée de nouveau une grande partie de la nuit. Hélas, il devait repartir après avoir pris un copieux petit déjeuner et rejoindre maman sur le lieu de vacances. Il devait passer la demi-journée ensemble et rentrer ensuite à Château-Gontier. Avec Dylan, mon fils. Malheureusement pour lui, son école reprenait les cours une semaine avant les yeux autres. Jérôme, Ingrid et leurs filles restaient encore une semaine sur place. J’ai repris le travail le lundi suivant, tous mes collègues étaient revenus de leurs congés. Chacun racontait où il était allé, ce qu’il avait fait, ou ce qu’il avait vu. Les commentaires allaient bon train. Pour ma dernière année dans cette direction, j’avais choisi de poser mes congés en Septembre, hors des vacances scolaires, afin de laisser plus de libertés aux parents. Et puis, en Septembre, il faisait encore chaud. Les réservations étaient moins chères. Le lendemain, le mardi, je reçus un appel de mon cher papa. Je refermais la porte de mon bureau, pensant qu’il souhaitait me reparler de la soirée chez la Comtesse, et la nuit qui a suivi. Mais il voulait juste que je lui confirme que je ne travaillais jamais le mercredi après-midi. Il m’invita donc à passer chez lui, dès mon travail fini.