Fernand n’avait pas l’air hostile mais il fixait mon cul comme seul but. Il avait remarqué quelque chose de loin, qui se confirma quand il peut toucher enfin mon postérieur. C’était bien le diamant d’un plug anal qu’il voyait en transparence de ma petite culotte. Il ne résista pas plus longtemps et baissa ma culotte sur mes chevilles. Le livreur était déjà en transes et lui ne pouvait pas apercevoir le bijou. Fernand joua avec le plug, et avec mon cul nu et le plaisir grimpa rapidement. Le livreur éjacula dans ma bouche, ce qui déclencha mon propre orgasme. Je tombais accroupie pour finir de nettoyer la queue du livreur qui repartit heureux. Fernand m’entraina dans son bureau et releva ma jupe au-dessus de ma taille. Il retira le plug avec d’infinies précautions. Il bandait comme un âne et j’approchais mes fesses de sa queue tendue à l’extrême. Il pointa machinalement son gland contre mon anus frétillant et je m’empalais sur lui. Lentement. Méthodiquement. Très rapidement, il fut tout entier en moi. Il n’osait pas bouger, craignant de me blesser. Il ignorait évidemment que j’avais déjà l’habitude avec une autre personne de son âge. Je ne pouvais évidemment pas en parler, chacun devait croire qu’il était le seul et l’unique. Je ressortais lentement pour m’empaler de nouveau.
Il s’accrocha alors à mes hanches et commença à m’enculer pour de bon. Il me matraquait le cul avec vigueur et détermination. J’étais sa chose, son jouet, et j’adorais ça. Il repensait sans doute à toutes les fois où il avait rêvé de cet instant où je lui appartiendrais pour de bon. C’était un instant magique, se donner entièrement pour le plaisir d’être possédée. Il ne semblait plus craindre d’être surpris par son épouse, ou sa fille. Tout ce qui l’intéressait à ce moment-là, c’était le cul qu’il possédait pour la première fois. Vous avez déjà compris que cela ne serait certainement pas la dernière. La sonnerie caractéristique signalant qu’une personne venait de pénétrer dans la boutique lui redonna un excès de vigueur et il se répandit dans mes entrailles. Il se rajusta rapidement pour rejoindre la surface de vente, me laissant du temps pour récupérer de ce violent assaut et de remettre de l’ordre dans ma tenue. J’étais comblée de cet intermède. Je remis le plug anal à sa place avant de le retrouver dans le magasin. C’était mon amie, Denise, qui discutait avec lui. Je savais qu’elle devait venir me chercher après mon travail. Fernand l’avait reconnue, évidemment, et il semblait très intéressé par ses formes qui commençaient à se développer. Il n’avait pas pu me regarder à sa guise lors de la soirée lecture mais Denise était la seule en pleine lumière et il avait reporté toute son attention sur elle. Tout en faisant semblant de s’intéresser à ce qu’elle lisait. Et là, aujourd’hui, elle était debout, tout près de lui. Presque accessible. Il était prêt à poser sa main sur son épaule lorsque j’arrivais.
Denise se tourna alors vers moi et la main glissa sur son dos, jusqu’à ses fesses. Je l’ai vue frissonner mais elle ne refusa pas la caresse. Puis elle s’avança vers moi pour me faire la bise, quittant à regret la main indiscrète. Nous avons souhaité une bonne soirée à mon patron avant de partir, bras dessus, bras dessous. Nous marchions depuis un instant lorsque je lui parlais de l’offre de babysitter de Mr Nourry. Il est vrai qu’elle aimait beaucoup Mr Jonathan mais elle redoutait de se retrouver seule de nouveau avec lui après ce qui s’était passé la dernière fois. De plus, les heures de ménage, ce n’était pas son truc. Et c’est vrai qu’elle aimait beaucoup s’occuper des enfants, les jumeaux et sa petite sœur, mais aussi ceux de ses cousins ou cousines qui venaient parfois leur rendre visite. Je lui proposais d’aller voir son nouveau patron dès maintenant. Il m’avait bien précisé qu’il serait chez lui toute l’après-midi. Elle se laissa convaincre et Mr Nourry nous ouvrit la porte, tout heureux de me revoir si vite. Je lui présentais Denise, en précisant que, elle aussi, avait deux petits jumeaux chez elle, qui avaient trois mois. Mr Nourry était déjà emballé par mon amie et lui précisa que ses enfants à lui avaient plus d’un an. Intrépides, soit, mais il n’était plus nécessaire de leur donner le biberon. Alors que cela n’était pas du tout nécessaire dans la conversation, Denise ajouta que sa maman les avait allaités au début, mais que le plus souvent, elle préparait des biberons maintenant. Mr Nourry connaissait tout le monde dans notre village, et bien évidemment la maman de Denise. Il s’imagina entrer chez elle alors qu’elle allaitait un de ses fils. Il se mit à bander immédiatement. Il aurait bien voulu que sa femme allaite ses enfants mais elle s’y était refusée. Vu que l’on parlait d’allaitement, c’est évidemment vers ma grosse poitrine qu’il tourna les yeux. Aussitôt imité par Denise qui rêvait toujours de les revoir, de les caresser à nouveau, comme il y a seulement deux jours, chez Mr Jonathan.
Un silence pesant s’installa alors tandis que les deux fixaient mes seins. L’ambiance était électrique et je ne sais pourquoi je commençais à relever mon pull. L’un comme l’autre avait déjà vu ce que je cachais sous mes vêtements. Et il y a peu de temps pour chacun. Une fois mon pull enlevé, je m’approchais de Denise. Elle semblait avoir oublié où nous étions, et surtout avec qui. Une seule chose occupait son esprit. Toucher à nouveau et caresser ma voluptueuse poitrine. Elle tendit les mains machinalement vers mes seins avant de pouvoir les caresser à nouveau. Mr Nourry se plaça juste derrière moi et défit l’attache de mon soutien-gorge. Vu qu’il était plus grand que moi, il avait désormais une vue plongeante sur ma poitrine, délicieusement malaxée par les doigts habiles de mon amie. Cette fois-ci, c’était moi qui étais à l’origine de la situation et je devais gérer les envies de l’un et de l’autre. Le spectacle que nous offrions à notre hôte était suffisant pour le faire bander. Je sentais sa queue bien dure, se frottant dans mon dos.