Saint-Sylvestre 2014 (02/15)

Bien sûr, elle avait rencontré Geneviève qu’elle retournait voir plusieurs fois par semaine, et uniquement par plaisir. Ce n’était plus du tout par obligation. Celle-ci lui avait trouvé récemment cet appartement tout près du lycée où elle étudiait. Très pratique. Pendant les vacances de la Toussaint, elle l’avait inscrite dans un cours pour le permis de conduire en accéléré, et Barbara l’avait obtenu du premier coup. Et, son cadeau de Noël, une voiture. En fait, celle de son mari défunt. Elle était toujours en très bon état, malgré son âge. Une Mercedes-Benz. Geneviève prenait en charge l’assurance ainsi que les frais, à la seule condition que Barbara l’emmène là où elle en a besoin, sans interférer avec ses cours. Cet arrangement convenait aux deux femmes. Elles avaient déjà passé un week-end à Dinard, tout près de Saint Malo. Une suite magnifique dans un hôtel de luxe. Elles avaient passé presque tout leur temps dans la chambre. Séances de sauna. Piscine intérieure chauffée. La belle vie, quoi. Surtout pour Barbara qui venait d’un milieu plutôt modeste. Je l’écoutais me raconter sa nouvelle vie avec attention mais c’est son corps que je voulais revoir, caresser. La faire à nouveau frémir sous mes caresses. Elle se leva pour m’avouer.

« Et c’est grâce à toi que ma vie est devenue un roman.  »

Elle vint me serrer dans ses bras. Enfin, je retrouvais son parfum, sa poitrine généreuse, ses hanches bien faites, son cul bien rebondi. Son corps était fait pour l’Amour. Petit à petit, je l’effeuillais pour retrouver sa chaleur, la douceur de sa peau. Quand il ne lui restait que sa culotte, elle m’entraîna dans une des chambres. Elle prit tout son temps pour me déshabiller entièrement par de petits baisers sur les parties de mon corps qu’elle redécouvrait. Elle ne fut même pas surprise de me trouver nue sous ma jupe. Nous avons fait l’amour pendant près de deux heures, retardant à chaque fois la jouissance qui montait en nous. Pour la laisser éclater finalement, telle un véritable feu d’artifice. Nous sommes restées un moment à nous câliner, profitant de l’instant présent. Puis, il me vint une idée, que je partageais avec elle. Elle fut emballée et se leva de suite pour me présenter sa garde-robe. Le choix fut vite fait. Dim Up noir et un ensemble soutif et string noir, en dentelle. Le soutif, légèrement pigeonnant, mettait vraiment sa poitrine en valeur. Je m’habillais à mon tour et direction le garage pour monter en voiture. Quand nous avons sonné chez Geneviève, seule Barbara se présenta. Arrivées devant la porte de l’appartement, j’ouvrais son long manteau et je le gardais grand ouvert en me cachant derrière elle. Quand Geneviève ouvrit sa porte, elle se retrouva face à une Barbara à demi-nue sous son manteau, et qui s’offrait à elle. Qu’elle fit entrer. La surprise de me trouver derrière elle lui fit monter les larmes aux yeux. Elle serra Barbara dans ses bras tandis que je la débarrassais de son long manteau. Bras dessus, bras dessous, elles rejoignirent le canapé, la robe déjà relevée pour Geneviève. Elle prit place sur le canapé et Barbara entre ses cuisses ouvertes lui bouffait la chatte.

Je passais derrière elle pour finir de dézipper sa robe et la lui ôter. Je baissais les bretelles du soutif pour atteindre ses seins magnifiques en plaquant mes lèvres sur les siennes. Elle était aux anges, Geneviève, et ne tarda pas à venir sous nos caresses cumulées. Barbara remonta vers sa poitrine, puis vers sa bouche que je lui abandonnais volontiers. Pour aller m’occuper de son petit cul, offert à mes caresses. Ma langue tourna tout autour de sa rondelle, descendit vers sa fente, titilla son clito pour revenir vers sa rondelle. En attente de plaisir. Être pénétrée une fois encore. Un râle sortit de sa gorge quand enfin ma langue investit son tréfonds. Je la tournais malicieusement dans tous les sens, lui arrachant des cris de plaisir. J’aperçus Geneviève tapoter sur son Smartphone, mais je ne m’occupais que du plaisir que je donnais à ma partenaire. Je la fis se retourner, face à moi, les cuisses de chaque côté de celles de Geneviève, qui me les maintenait grandes ouvertes. Et je replongeais sur sa fente luisante, son clito tandis que je rentrais trois doigts direct dans la fente de Geneviève qui attendait que je m’occupe d’elle enfin. Geneviève tripotait les seins de Barbara tout en lui roulant une pelle monumentale. Je réussis à les faire jouir, les deux en même temps. J’approchais mon visage d’elles et elles y récupèrent les dernières traces de mouille qui y restaient. Je me posais sur le fauteuil, face à elle et les laissais revenir doucement. Quand on sonna à la porte. Ce ne pouvait être qu’un voisin. Étant la seule encore présentable, j’allais ouvrir. Pour me retrouver face à Francine. Elle avait maintenant un badge pour la porte extérieure. Elle avait bien reçu le SMS de Geneviève, lui demandant de venir immédiatement, sans autre explication. Aussi surprise que moi, elle me sauta au cou. Ses jambes s’enroulant autour de mes fesses, je dus la porter pour fermer la porte. En passant ma main sur des fesses, je sentis le plug que Geneviève lui avait offert et qu’elle portait chaque fois qu’elle venait la voir. Je la portais ainsi jusqu’au salon.

Je gardais sa jupe relevée quand elle posa les pieds au sol. Geneviève, comme Barbara, purent constater que le plug était bien en place. Francine ôta sa veste et s’agenouilla devant moi. Nullement surprise de me trouver nue sous ma jupe, elle commença à me lécher amoureusement. Elle avait bien progressé depuis les premières fois et surtout, on sentait bien qu’elle y mettait tout son cœur. Elle se donnait à fond pour faire monter mon plaisir. Je l’arrêtais avant de jouir sous ses lèvres. Je la relevais pour récolter sur sa bouche les restes de mon plaisir, tout en la déshabillant. Torse nu, je la poussais vers l’un des seins de Geneviève, laissant le second pour Barbara. Geneviève semblait comblée avec ces deux bouches qui la tétaient avec fougue. Elle-même jouait avec les tétons pointant de ses tourmenteuses.

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