FANNY (03/09)

« Tu as envie de sa belle queue ? Imagine-toi à la place de Fanny. Tu aimerais ? Non, ne dis rien, je sais que tu aimerais. Sinon tu ne serais pas là.  »

Ma main droite passa sous sa jupe pour découvrir qu’elle mouillait comme une source. De mon autre main, je relevais entièrement sa jupe pour que Roland apprécie la vue. Une jolie petite culotte blanche, sage, comme celle d’une écolière. Mais avec une tache d’humidité caractéristique sur le devant. J’ai juste eu le temps d’introduire ma main sous le tissu qu’elle se mit à jouir immédiatement. Je l’aidais à rester debout tout en continuant à la doigter. Elle dut se mordre la main pour ne pas hurler de plaisir au moment ultime. Voyant cela, Roland se mit à éjaculer lui aussi, remplissant de joie Fanny, et accessoirement la capote. On resta ainsi quelques minutes pour se remettre. Fanny regagna sa place, libérant la queue devenue flasque. Sous les yeux hébétés d’Édith. Fanny utilisa une serviette de table pour la rendre présentable. La culotte blanche était véritablement trempée de mouille. Je donnais les consignes à la jeune serveuse.

« Ta culotte est trempée mais tu vas la garder jusqu’à la fin de ton service. C’est toi seule qui continueras à nous servir et, pour commencer, tu ramèneras une serviette propre. Dès la fin de ton service, tu nous rejoindras discrètement dans la chambre 214. Tu as tout compris ?  »

« Oui, Madame. Chambre 214.  »

Elle regagna les cuisines pour continuer son travail. Quand Roland put enfin aligner plus de deux mots, il me demanda comment je faisais pour deviner ainsi les attentes, les désirs enfouis au plus profondément de chacun. Il avait connu Fanny jeune stagiaire chez nous et l’avait vue se transformer doucement jusqu’à devenir cette femme splendide qu’elle était désormais. Attendait-il vraiment une réponse claire et précise ? Je l’ignore mais je ne voyais qu’une seule réponse possible, c’est un don qui s’est développé au fil des années. Je n’ai pas été toujours aussi perspicace, surtout avec mes précédents partenaires. Mais maintenant, j’en profitais pleinement. Édith revint desservir la table et nous amena le dessert, des profiteroles au chocolat, la petite gourmandise de Roland. J’avais fait mon enquête auprès du chef de l’atelier qui le connaissait très bien. Je lui avouais que ce soir, Édith serait mon dessert. Et le leur. La jeune fille rougit mais elle ne se déroba pas quand je remontais sa jupe pour vérifier l’état de sa culotte. Toujours aussi trempée, elle lui collait littéralement à la peau. La table enfin débarrassée, on put conclure l’accord sur les conditions, mes conditions. Roland savait que, au vu du chiffre que l’on faisait avec sa société, il ne serait pas perdant. Sans compter que la soirée ne faisait que commencer.

Je suis allée régler la note avant de rejoindre Roland et Fanny qui m’attendaient pour regagner la chambre. Grâce à l’accord signé, je me suis sentie comme libérée d’un poids et une vraie envie de faire la fête. Et offrir en même temps un souvenir inoubliable à Roland. Je l’invitais donc à s’installer confortablement sur le lit et je commençais à déshabiller Fanny doucement, mais hors de la portée de ses mains. Il put redécouvrir sa poitrine opulente avant de la voir entièrement nue pour la première fois. Le spectacle semblait lui plaire, si j’en juge à la bosse de son boxer. Encore un peu et son sexe allait déborder du tissu. Fanny aussi avait aperçu cette queue qui l’avait si bien faire jouir il y a peu de temps. Une fois nue, je la caressais partout sous le regard envieux de Roland. Puis je lui fis comprendre que c’était à elle de me déshabiller à son tour. Quand Roland comprit qu’il aurait la chance de me voir nue moi aussi, il grogna un soupir de satisfaction, qui se transforma en silence pesant quand elle eut fini. Fanny me pelotait amoureusement tout le corps sous les yeux exorbités de notre spectateur. Sa queue bien raide sortait déjà de son boxer quand je décidais de le lui ôter. Je la pris en main mais jalouse, Fanny la prit en bouche. C’était son jouet, rien que pour elle. C’est justement à ce moment que l’on frappa doucement à la porte. Édith venait nous rejoindre. Elle fut surprise de me voir lui ouvrir la porte toute nue. Mais le regard qu’elle posa sur mon corps me fit frissonner. Jamais jeune fille ne m’avait troublée à ce point.

Je l’amenais au centre de la chambre et je commençais à la déshabiller elle aussi. C’est bien pour cela qu’elle venait. Roland devenait fou en nous observant pendant que Fanny le suçait avidement. La jupe tomba en premier, dévoilant à nouveau cette petite culotte blanche, si sage. Le corsage suivit, ainsi que le soutif. La voilà presque nue devant nous, nous étions tous en admiration devant sa poitrine. Un bon 95 D. Plutôt énorme pour une jeune fille comme elle. Son air d’ingénue me faisait craquer littéralement. Juste un petit frisson quand je tentais de baisser sa culotte. Un petit reste de pudeur. Je la laissais avec. Doucement, je la poussais sur le lit, près de Roland.

« Regarde comment Fanny sait bien y faire avec sa bouche. Regarde Roland comme il est heureux.  »

Il posa timidement sa main sur l’un des seins, elle accepta la caresse.

« Madame. Je peux essayer moi ?  »

« Bien sûr, si Fanny accepte de t’apprendre, tu deviendras rapidement une experte.  »

Flattée, Fanny lui laissa la place et la guida, la conseilla. Comme une grande sœur. Mais quand elle sut qu’il était prêt, elle s’imposa et s’empala à nouveau sur la queue. Édith offrit sa généreuse poitrine à la bouche gourmande de Roland qui la téta amoureusement. Si bien occupée qu’elle ne sentit même pas quand je lui ôtais sa culotte. Définitivement. Je pus à loisir jouer avec son clito et la faire jouir sous nos caresses conjuguées. Voyant le regard de Roland, Fanny laissa la serveuse s’empaler à son tour sur la bite qui semblait vouloir grossir encore. Édith était jeune, et donc inexpérimentée. Elle se laissait peloter par Fanny et moi tandis que Roland la baisait tendrement. Plus tard, elle se confia à moi. Elle avait très peu d’amis, sans doute à cause de son travail. Les seules personnes qu’elle côtoyait appartenaient au monde de la restauration, ou de l’hôtellerie. Elle avait déjà eu un petit copain, un garçon de son âge.

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