Martine, la suite (12/18)

Il est vrai que ma bouche devenait experte, malgré mon jeune âge. Il souleva ma jupe pour glisser ses mains directement sur mes fesses. Je commençais à ronronner et il appréciait énormément que je le laisse faire ce qu’il voulait. Il joua un peu avec le plug, me donnant des frissons dans tout le corps. Puis enfin, il s’intéressa à ma poitrine. Il ouvrit mon corsage pour découvrir mes globes laiteux. Puis, il baissa les bretelles du soutif pour dégager mes mamelles de leur carcan. Il s’amusa avec mes tétons qui réagissaient aussitôt aux sollicitations. J’étais désormais à moitié nue devant lui, totalement à sa merci.

« J’aime les jeunes pucelles qui réagissent au doigt et à l’œil. Parce que pucelle, tu l’es encore, n’est-ce pas ? »

J’acquiesçais d’un signe de la tête. Satisfait de ma réponse, sa tête se pencha vers ma poitrine et il goba l’un de mes tétons. Il aspirait merveilleusement bien et sa bouche, telle une ventouse, semblait vouloir avaler mon sein tout entier. Quand il me disait tout à l’heure qu’il n’allait pas me manger, c’était bel et bien ce qu’il était en train de faire. Je ne refusais nullement cette caresse buccale, car je savais que, bientôt, ce serait à mon tour de l’aspirer tout entier. J’avais posé mes petites mains sur sa tête et je massais son cuir chevelu. Il continuait à caresser mes fesses mais je me reculais subitement lorsqu’il tenta de glisser sa main sur le devant de ma culotte.

Cette petite rebuffade était le signe pour lui de passer à autre chose. Il posa ses deux mains sur ma tête et les baissa jusqu’à ce que je sois à genoux devant lui. Il avait écarté ses cuisses et il me laissa dégrafer son pantalon. Je sortis une queue somme toute banale de son slip kangourou. Des sexes d’hommes, j’en ai déjà vu quelques-uns et celui-ci me semblait plus petit que la moyenne. J’évitais d’en rire ouvertement pour ne pas l’énerver. Je commençais à le pomper comme je savais si bien le faire. Mr Nourry, comme tous ceux qui avaient goûté à ma bouche, sembla satisfait de ma prestation et sa main sur la tête n’était là que pour me guider. Et m’empêcher de repartir au moment suprême. Il ignorait évidemment que j’adorais goûter à la semence de mes amants. Tous, bien plus âgés que moi. J’avalais facilement tout ce qu’il m’offrit et je léchais amoureusement sa queue en le fixant droit dans les yeux. Cela l’empêcha de débander immédiatement après avoir joui. Il me donna sa main pour m’aider à me relever et joua encore un instant avec mes tétons toujours très durs. Il m’autorisa finalement à me rhabiller. Pour cela, je lui tournais le dos et il en profita pour soulever ma jupe, admirer mon popotin et surtout, le joyau qui trônait en son centre. Il laissa tomber ma jupe et engagea une conversation beaucoup plus traditionnelle. Il me parla de mes études, me demanda ce que je voulais faire plus tard, comme métier. Quand je répondis maitresse d’école, il sembla emballé par ce choix. Il me demanda encore si j’aimais les enfants, si je voulais faire baby-sitter pour ses propres enfants. Il avait deux jumeaux en bas âge et avait besoin d’une personne de confiance pour les garder quand il sortait avec son épouse. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle il était seul à la soirée lecture. Je lui répondis que j’étais très prise avec mes études et que j’avais déjà un travail d’appoint pour les vacances scolaires.

Je le remerciais de sa proposition d’emploi et j’ajoutais que mon amie Denise serait ravie de postuler à cette place. Elle aussi avait une petite sœur et des jumeaux à s’occuper lorsque sa mère travaillait à la ferme. Je précisais que Denise, il la connaissait déjà puisque c’était elle, la lectrice de la soirée passée. Il me demanda alors s’il était possible qu’elle accepte de venir en parler de vive voix. Je devais justement la revoir après mon travail à la supérette le lendemain après-midi. Il me précisa qu’il serait chez lui tout l’après-midi et que nous pourrions passer quand nous aurions le temps. J’étais presque certaine que Denise accepterait de venir, surtout si j’étais avec elle. Mais je ne pouvais pourtant rien promettre. Mr Nourry me reconduisit jusqu’à sa porte, une main posée sur mes fesses. Avant de sortir, il glissa un billet dans la poche de mon manteau. Je me sentais comme une prostituée que l’on payait pour quelques faveurs et cela me rendait encore plus coquine. Si Denise acceptait de me suivre, le lendemain, je réservais une bonne surprise à Mr Nourry qui, je l’espérais, de montrera très généreux. Je rentrais chez moi toute guillerette, le plug enfoncé dans mes entrailles y était sûrement pour quelque chose. Encore une nuit où je le gardais en moi. Le lendemain aussi.

C’était mon dernier jour de travail pour cette période de vacances. Lundi prochain, retour au collège et aux études. Journée semblable aux autres. Seule petite différence. Le livreur arriva plus tôt que d’habitude. J’étais, de nouveau, seule en réserve pour l’accueillir. Il déchargea lui-même toutes les palettes. Il alla chercher un cadeau pour moi dans sa cabine. Une grande boite de chocolats fins. Je me jetais dans ses bras pour le remercier de sa gentillesse. Évidemment, je savais que mes seins allaient s’écraser sur son torse. Il n’osa pas les toucher franchement mais il posa tout de même ses mains sur mes fesses. Il me pelotait merveilleusement bien et ma jupe se soulevait lentement. Dans un reflet, j’aperçus Fernand qui nous observait de loin. Très intéressé par mon cul qui se dévoilait lentement devant ses yeux. Je m’abaissais doucement et je suis sûre que mon cul était bien visible à son regard exorbité. J’avais déjà ouvert le pantalon du livreur et je le suçais goulûment. Je l’ai senti se raidir lorsque Fernand est entré dans la réserve mais je me tenais bien à lui et il n’a pas pu se dérober à ma bouche avide. D’ailleurs, il était à la limite de la jouissance et pour rien au monde il n’aurait quitté ma bouche si accueillante.

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