J’émergeais de dessous sa robe pour voir que Maître Tigre exhibait fièrement son sexe impressionnant que la Comtesse d’Orgemont manipulait difficilement d’une main. Elle se leva, attira Maître Tigre derrière elle en le tenant par la queue et elle se plaça au centre de la salle. Il était, apparemment, très rare que la Comtesse d’Orgemont participe activement aux orgies qu’elle proposait. Clément avait apporté un matelas de transat sur lequel elle s’allongea. Tout le monde, autour du couple, s’était rassemblé et encourageait Maître Tigre, un peu ému d’être le centre de tant d’attentions. Il jeta un œil vers moi avant de se concentrer uniquement sur la Comtesse et la mission qui lui était donnée. Faire jouir cette splendide femme devant toute une assemblée de libertins. Il releva ses genoux à la verticale et s’agenouilla devant sa chatte brillante de mouille. Il positionna son gland, attendit un signe de sa partenaire pour commencer à l’enfiler. Un clignement des yeux et il poussa doucement. Le gland était entré. La Comtesse d’Orgemont soupira profondément, avant d’indiquer qu’il pouvait poursuivre. Sous les hourras du public, il s’introduit au plus profond de ce corps splendide, que beaucoup d’hommes présents auraient bien voulu visiter, eux aussi. Tout le monde regardait ce qui se passait devant leurs yeux, tous les hommes bandaient au maximum. Même Marc. Une femme s’approcha de lui par derrière pour saisir sa queue et la branler habilement. Je reconnus Szofia au moment où elle l’emmenait un peu plus loin, sur un canapé, pour jouir elle aussi avec une bonne grosse queue. Ses deux mignons étaient presque toujours près d’elle et ils s’occupèrent de sa poitrine, et du cul de Marc exposé. Il avait déjà subi des enculades, ici-même, et ce n’était pas le sexe des deux jeunes hommes qui allaient lui faire grand mal. Au contraire, son propre sexe se mit à grossir démesurément lorsque l’un des mignons l’encula, sans coup férir. Et ils se relayèrent, chacun leur tour, pour le plus grand plaisir de tous. La Comtesse avait joui plusieurs fois et demanda grâce. Maître Tigre la délivra et d’autres l’aidèrent à regagner son fauteuil majestueux, trônant au milieu de la grande salle.
Maître Tigre n’en avait pas fini car une soumise vint se placer devant lui, en levrette. Il la pénétra facilement, tellement elle était chaude, et préparée. Elle ne mit pas longtemps avant de jouir à son tour et c’est une femme masquée qui prit la place, allongée sur le dos, comme la Comtesse précédemment. Un homme lui tenait la main et l’encourageait pour résister le plus longtemps possible aux coups de butoir de Maître Tigre. Le challenge, désormais, était de savoir qu’elle serait la femme qui le ferait jouir la première. Par ses mimiques, et à sa voix, je reconnus l’homme qui l’encourageait. Ce n’était autre que le procureur, celui que j’avais rencontré ici-même auparavant. Malheureusement pour elle, et pour lui, elle ne fut pas l’heureuse gagnante. Il fallut attendre la suivante pour que Maître Tigre se lâche enfin. Les participants se dispersèrent peu à peu pour reformer des couples ici ou là. Maître Tigre restait pourtant l’attraction principale de la soirée et beaucoup de femmes attendaient qu’il soit de nouveau opérationnel pour prendre leur pied, sous ses coups monstrueux. Certaines essayèrent mais c’est Caro qui réussit à lui redonner une certaine vigueur. Abandonnée par son mari, elle était restée près de son Maître de la soirée. Elle finit par s’installer à califourchon au-dessus de sa queue et s’empala en une seule fois. Il joua tendrement avec ses tétons, l’amenant rapidement aux portes du Paradis. Mais ce n’était pas comme cela qu’il voulait la faire jouir. Il l’aida à se relever et à s’asseoir à nouveau, le dos tourné. Et c’est bien dans son cul qu’il pénétra cette fois. Elle prit tout son temps pour s’asseoir à nouveau sur sa queue monstrueuse. Mais elle parvint à l’avaler toute entière. Il commença doucement à la ramoner, sous les yeux attendris de plusieurs femmes qui reconnaissaient son exploit. Maître Tigre était vraiment en forme et il bascula Caro en avant. Elle se retrouva à quatre pattes sur le tapis. Lui, derrière elle, toujours fiché dans son postérieur, continuait à la baiser intensément. Jusqu’à ce qu’elle jouisse très fort et s’écroule sur le sol. Une autre femme se présenta immédiatement et Maître Tigre lui rendit hommage, comme à toutes celles qui se présentèrent à lui. Je n’ai pas vraiment fait le compte mais je crois bien que toutes les femmes présentes étaient passées entre ses mains. Presque toutes.
J’avais remarqué que Szofia observait de loin. Pourquoi n’approchait-elle pas ? C’est donc moi qui suis allée la chercher et elle me suivit, ainsi que ses deux mignons. Je suis presque certaine que l’un d’eux m’avait reconnue, même avec le loup sur mon visage. Tandis que je présentais Szofia à Maître Tigre, ils commencèrent à me peloter sérieusement. Une fois allongée, et bien prise par mon papa, je me penchais près de son oreille pour lui souffler.
« Je te présente mon papa. »
Elle tourna la tête vers moi, me sourit car elle m’avait enfin reconnue. Puis mes mots furent analysés par son cerveau et elle partit dans un délire orgasmique méga puissant. Même Alain qui m’enculait à ce moment-là ne l’avait jamais vue ainsi. Alex, en dessous de moi, me baisait divinement. Ces deux jeunes hommes, ensemble, c’était le diable en personne. Impossible de résister à leurs facéties. Et chaque femme qui passait entre eux deux était pareillement comblée. Je me devais de finir la soirée en beauté et, dès que Szofia cria grâce, je basculais Maître Tigre sur le dos avant de m’empaler sur sa grosse queue, encore luisante du nectar de sa dernière victime. Victime mais heureuse et comblée, je peux vous l’assurer. Des mains inconnues se promenaient sur mes seins, sur mes fesses, partout où mon corps était accessible, en fait. Puis une langue fureteuse vint titiller mon anus, qui frétillait d’impatience. Quand l’homme, dans mon dos, commença à me pousser sur le torse de Maître Tigre, je savais déjà quelles étaient ses intentions.