Je m’équipais d’un gode ceinture et je commençais à le frotter le long de la fente de Barbara, encore humide. Puis, je relevais la jupe de Francine, écartais son string pour la pénétrer d’un coup. Bien humecté par la mouille de sa voisine, et complice de tétée. Des sœurs de lait, hihihi. Un long soupir de bonheur sortit de sa gorge. Deux ou trois va et vient et je pénétrais Barbara à son tour. Et ainsi de suite, je faisais monter en elles le plaisir avant de passer à la voisine. Francine semblait plus impatiente que Barbara. Il faut savoir que Geneviève lui interdisait de se donner du plaisir toute seule. Et Francine était soumise, et très obéissante. Geneviève me fit comprendre d’un signe que je devais me concentrer sur elle. Donc j’alternais des petits coups rapides avec des coups de « queue » plus lents, plus profond. Je ralentissais quand je la sentais prête à venir, et je recommençais, encore et toujours. Barbara nous regardait, assise sur la cuisse gauche de Geneviève qui elle, la doigtait de sa main gauche. Quand elle avança sa main pour pincer le clito de sa soumise, j’accélérais mes mouvements pour enfin la faire exploser de bonheur. Francine s’écroula près de sa maîtresse qui lui roula un patin. Elle ne vit pas le sexe en silicone s’approcher de sa grotte, avant de l’investir. Elle aussi attendait que l’on s’occupe de sa fente. Barbara la doigtait nerveusement tandis que je la baisais avec fougue. Je savais qu’elle préférait ainsi. Et elle ne tarda pas à jouir elle aussi.
J’allais m’assoir près de Barbara qui, en fait, me laissa sa place près de Geneviève. Mais elle s’empala sur le gode dressé et nous emmena, elle et moi, au septième ciel. Elle resta longtemps plantée sur moi, me laissant caresser ses seins fabuleux. Quand tout le monde fut remis de ses émotions, je présentais enfin les deux jeunes femmes l’une à l’autre, elles qui ne se connaissaient pas, mais elles avaient partagé un vrai moment de plaisir avec Geneviève. Je présentais Francine comme la soumise de Geneviève, qui restait pourtant très attachée à moi qui lui avait fait découvrir sa vraie nature. D’ailleurs elle se leva quand elle eut repris suffisamment de forces, se dirigea vers un placard et enfila son tablier de soubrette. À même la peau. C’est dans la même tenue qu’elle nous servit des rafraichissements. Avant de s’agenouiller près de la table basse. Sa place de soumise. Barbara était interloquée devant une telle soumission. Elle demanda à Geneviève si elle pouvait utiliser ses services. Geneviève accepta et Barbara plaça les lèvres de Francine entre ses cuisses. Inutile de lui faire un dessin, la bouche se mit en action. Elle l’amena au bord du plaisir. Barbara se tourna pour lui offrir son cul qui subit le même sort. Au moment où elle voulut s’éloigner à nouveau, Francine s’agrippa à ses hanches et réussit à la faire jouir par le cul. Je prévenais Corinne que je ne rentrais pas manger ce midi. Francine nous prépara un petit repas que tous apprécièrent. Après le repas, on se retrouva toutes dans la chambre de Geneviève pour une après-midi de débauche. Toutes, nous jouirent plusieurs fois, mais surtout Geneviève, ce qui est bien normal. Barbara resta pour passer la soirée avec Geneviève et Francine me raccompagna. Tout le trajet, ma main ne quitta pas sa fente dégoulinante, elle n’avait pas remis son string. Elle s’arrêta près de la maison, sur le parking qu’elle connaissait bien, et je pris ses lèvres, tout en la baisant avec deux doigts en elle. Elle jouit très fort comme d’habitude. Avant de sortir, elle demanda à me revoir avant de retourner à Rennes. Je lui en fis la promesse, et elle savait que j’honorais toujours ma parole.
Mercredi 31 Décembre 2014
Réveillon 2014/2015
Ce jour enfin est arrivé. On allait enfin pouvoir dire au revoir à cette année riche en émotions de toutes sortes. Bonnes nouvelles et d’autres beaucoup moins. Tout le monde se prépara pour la soirée, et la nuit à venir. Amélie en avait profité pour faire une sieste, afin de tenir toute la nuit. Charlène avait insisté pour prendre sa douche avec moi. Je n’ai pas su, et surtout pas pu lui dire non. Nous sommes lavées l’une l’autre, puis essuyées. Bien sûr, quelques caresses. Elle se donne toujours entièrement, en tout. Il faisait doux cette année encore et cela permettait toutes les tenues. Et donc les plus affriolantes. Bas blancs sur une jupe noire avec des strass pour Charlène. Bas noirs autofixants pour moi sur une robe noire, dos nu. Pas de soutif, inesthétique avec la forme de la robe, juste un string, noir évidemment. Culotte en soie (celle que lui avait offerte sa sœur) et brassière pour le haut, tout ça sous une camisole blanche pour Charlène. On passa du temps à se pomponner dans sa chambre, maquillage, coiffure, …
Puis, on alla réveiller Amélie qui se doucha avant de venir nous rejoindre dans sa chambre. On assista à sa préparation, boxer et soutif, obligé pour elle, une paire de collants noirs et une jolie robe verte, bouffonnante qui lui allait à merveille. Nous sommes descendues vers 19 heures, fraîches et pimpantes. Francis semblait mal à l’aise dans son costume, par contre, Corinne était resplendissante. Un superbe décolleté, sa robe au-dessus du genou, ses bijoux et sa coiffure, réalisée par son amie coiffeuse, lui donnaient un port de déesse. Et son sourire ravageur. Elle était belle et elle le savait. Rendez-vous avait été donné chez eux et nous attendions les premiers amis. Isabelle et Thierry furent les premiers arrivés, suivis de peu par Helen et Jacky. Isabelle présenta son cavalier à ceux qui ne le connaissaient pas. Il me sembla très surpris de voir Lucie embrasser tendrement sa douce Charlène. Sans doute, pas encore au courant, donc, mais maintenant, il savait. Francis nous servit un apéritif léger, sauf à celles qui conduisaient, Corinne et Isabelle. Puis on se dirigea vers la salle où se déroulait la soirée. On déposa vestes et manteaux au vestiaire et nous attendions notre tour pour entrer et être placés à notre table.