Et, de ce fait, elle devenait moins docile, plus jalouse. C’est la raison principale qui l’avait décidée à s’en séparer. Et la remplaçante potentielle lui obéissait déjà. Le rêve. Carrie, justement, pleurait maintenant serrée contre moi. Elle ne comprenait pourquoi. Elle me parlait moitié en anglais, moitié en italien, c’était vraiment adorable. Entre deux sanglots, j’entendis des soupirs caractéristiques venant du salon. Je poussais légèrement la porte pour apercevoir Giulietta accroupie entre les cuisses de Sylvia. Je tournais le visage de Carrie vers les deux protagonistes. Je la sentais frémir de colère. Si je ne l’avais pas retenue, elle serait entrée pour faire un esclandre. Ce qui n’aurait avancé à rien. Au contraire. Pour moi, c’était le moment de la retourner.
« Carrie, écoute-moi. Je sens bien que tu veux te venger. Et je te comprends parfaitement. Penses-tu que, de te voir dans les bras d’une autre, pourrait suffire à la faire regretter ? »
» … « .
« Laisse-moi faire et tu seras vengée. Tu veux bien ? »
Un signe de tête fut sa seule réponse. Je soulevais sa robe légère pour la lui ôter. Son soutif et sa culotte rejoignirent la robe, sur une chaise toute proche.
« Une seule consigne : tu n’obéis qu’à moi. Tu restes près de moi et tu exécutes mes ordres. »
J’ouvrais la porte en grand et entrais dans le salon, suivie de Carrie, tête basse.
« J’ai trouvé cette demoiselle en pleurs et je l’ai invitée à se joindre à nous. »
« Tu as bien fait, Emma. Approche, ma belle. »
Carrie a failli avancer vers elle mais elle s’est rappelée les consignes et n’a pas bougé vers son ancienne maîtresse. Celle-ci avait beau lui tendre la main, elle restait collée à moi. Voyant qu’elle avait perdu tout ascendant sur elle, Sylvia se concentra sur Giulietta. Elle prit place au fond du canapé et entraîna la jeune fille, toujours entre ses cuisses. Sylvia me regardait peloter le corps de Carrie, ses seins merveilleux, ses hanches accueillantes, sa toison de feu. Je savais qu’elle avait encore envie d’elle mais jamais elle n’oserait l’avouer. Surtout pas devant elle.
« Tu vois, Carrie, c’est Giulietta qui va te remplacer auprès de Sylvia, et des enfants. Et moi, je vais bien m’occuper de toi. Pour procéder à cette passation de pouvoir, c’est toi qui va lui offrir sa première jouissance. Regarde son corps, comme elle est belle, et désirable. »
Obéissante, Carrie s’approcha de la jeune fille et lui prit les seins à pleines mains. Elle les malaxait un peu violemment mais cela ne semblait pas déplaire à Giulietta qui tortillait son cul dans tous les sens. Puis Carrie se tourna, enjamba la jeune fille et se mit à frapper ses fesses, alternativement. De par sa position, elle exposait son cul et sa fente luisante à son ancienne maîtresse, qui se trouvait trop loin pour pouvoir la toucher, la caresser encore. C’est moi, au contraire, qui pouvait profiter de ses formes avantageuses, caresser ses fesses toutes blanches, son anus qui frémissait. Sa chatte dégoulinait littéralement, je trempais mon majeur avant de forcer son anus. Pour la première fois !!! Sylvia n’avait jamais osé utiliser cet accès si particulier. Quelle chance pour moi !!! J’allais déniaiser son cul et je voyais bien, à son attitude, qu’elle attendait cela avec impatience. Comme je m’occupais de son fondement, elle trouva normal d’en faire autant à Giulietta. Un doigt entra facilement, la jeune fille s’était habituée depuis le temps qu’elle pratiquait avec sa mère, puis avec moi. Carrie entra un second, puis un troisième doigt rapidement. Le cul s’ouvrait sous la caresse de plus en plus précise. Je sortis un plug anal de mon sac et le tendis à Carrie qui se mit à le lécher. Quand il fut bien trempé, il remplaça les doigts de la jeune fille.
« Occupe-toi de sa chatte maintenant, lui murmurais-je à l’oreille. Je veux que tu la fistes. Ta main entièrement entrée dans sa chatte. »
J’allais m’occuper de Sylvia, maintenant.
« Tu vois comme elles sont belles. Et obéissantes. Déjà complices. »
Sylvia voyait très bien, mais ne pouvait atteindre que la tête de Giulietta, entre ses cuisses. Elle ne put s’opposer à mes mains qui dégrafèrent son corsage avant de sortir les mamelles de ses balconnets. Elle était très belle, Sylvia, les seins exposés, les yeux dans le vague déjà, sentant l’orgasme qui arrivait. Mais Giulietta releva la tête quand la main entière entra en elle. Elle secouait la tête de droite à gauche, tandis que Carrie la baisait profondément. Giulietta jouit dans un grand cri de délivrance. Elle replongea aussitôt entre les cuisses ouvertes pour permettre à Sylvia de jouir à son tour. Pour prolonger son plaisir, Carrie prit un de ses seins en bouche, mais s’écarta dès que Sylvia posa sa main sur elle. Je pris les deux poignets de Sylvia pour les maintenir loin de la jeune fille qui retourna sur la poitrine tant convoitée. Giulietta se mit à téter l’autre sein et, ensemble, elles offrirent un violent orgasme à la maitresse de maison. De la voir si vulnérable après sa jouissance, Carrie voulut profiter de son avantage pour se venger de l’humiliation subie. Elle me jeta un coup d’œil, me suppliant de la laisser opérer. J’accédais à sa demande, sans comprendre ce qu’elle voulait faire. Elle commença par jouer avec le clito hyper sensible de Sylvia, tout en tétant son sein. Giulietta prit l’autre en bouche. Carrie pénétra la chatte grande ouverte, aidée par Giulietta qui maintenait les cuisses écartées au maximum. Un doigt puis deux, puis trois. J’avais compris qu’elle voulait la fister, elle aussi. Sylvia aussi le comprit rapidement. Elle avait beau protester, un peu mollement, je la tenais fermement. Elle cessa de dire non quand la main entière entra en elle. Elle resta à l’écoute de son corps et, quand Carrie commença à la pilonner, elle l’encouragea à aller plus vite, plus loin. Plus fort. Plus besoin de la tenir, elle en voulait toujours plus. Sylvia se tenait elle-même les jambes, bien écartées, pour donner libre accès à sa tortionnaire. Et celle-ci qui jubilait de la voir se pâmer sous ses coups de butoir.