Quelques allées et venues dans son cul, puis dans sa chatte. Ses mamelles se balançaient au-dessus des yeux de Lucie qui jouait avec les tétons. Elle finit par jouir dans un grand cri de délivrance. L’après-midi était déjà bien avancé et on alla ensemble dans la salle de bains. Encore des caresses, et des cris de plaisir. Avant de s’habiller. Mais pas de sous-vêtements. Plutôt facile pour Lucie et moi, côté poitrines. Isabelle, en robe, parvenait difficilement à cacher sa généreuse poitrine. Ça ballotait dans tous les sens et j’adorais ça. On se dirigea vers l’ascenseur toutes les trois. Je défis le bouton du haut de sa robe pour profiter de son décolleté. Et en faire profiter tout le monde. Je pris place près d’elle dans la voiture et sa robe se releva en conduisant, m’offrant un spectacle formidable. Charlène, dont le bulletin scolaire n’était pas satisfaisant, devait rester chez elle pour réviser. Sur décision de Corinne. C’est pourquoi Lucie venait la voir, profitant que sa mère me raccompagnait. Arrivée chez sa copine, elle monta la voir pour lui raconter ce qu’elle venait de vivre. Corinne nous offrit un café, thé pour moi, dans le salon.
Bien sûr, elle avait remarqué qu’Isabelle ne portait pas de soutif. Un oubli de sa part ? Cela semblait surprenant. Mais, vu qu’elle me connaissait bien, elle se douta que j’y étais pour quelque chose. Bien enfoncée au fond du canapé, Isabelle se laissait aller doucement. Corinne, assise en face d’elle, commençait à voir les cuisses qui s’écartaient et ne pouvait quitter des yeux le spectacle qui s’offrait à elle. Assise près d’Isabelle, je posais ma main sur son genou et l’obligeait à les écarter. Elle ne résista pas longtemps et Corinne put se rendre compte qu’elle ne portait rien dessous. Elle me jeta un regard surpris. Je demandais à Isabelle :
« Lève-toi et montre lui que tu ne portes rien dessous. »
Elle se leva sans discuter et releva sa robe. Je me tournais vers Corinne :
« Et toi, Corinne, montre-nous aussi. »
Elle n’hésita qu’une seconde et se leva à son tour. Face à Isabelle, elle releva sa robe pour nous faire découvrir… Sa nudité également. Aussi coquines l’une que l’autre.
« Je suis certaine que vous avez envie de vous toucher. Faites-le. »
Tenant chacune leur robe d’une main, elles se caressaient mutuellement. Je me levais à mon tour et me plaçais derrière elles, de façon à pouvoir caresser les deux poitrines. Celle d’Isabelle, plus volumineuse et libre sous le tissu, et celle de Corinne, habillée d’un joli soutif rose. Les deux femmes, têtes baissées, étaient trop occupées pour apercevoir Francis dans l’encadrement de la porte. À voir la bosse qui déformait son pantalon, le spectacle lui faisait de l’effet. Je lui fis signe d’approcher. Isabelle le vit la première et voulut se cacher. Au contraire, je l’invitais à se mettre à genou et honorer le seul homme de la maison. Elle regarda Corinne qui, d’un sourire, lui donna son feu vert. Corinne qui avait gardé sa robe relevée s’est tournée vers moi. Je l’embrassais à pleine bouche et profitais de sa grotte humide et offerte. Mon autre main s’occupait de son sein. J’avais ouvert un peu sa robe pour y accéder. Francis était aux anges entre les doigts experts d’Isabelle. Et sa bouche gourmande. Et voir sa femme qui jouissait sous mes caresses déclencha son éjaculation. Isabelle le nettoya parfaitement.
Elle retourna s’assoir sur le canapé tandis que Francis allait s’agenouiller devant sa femme pour y récolter sa cyprine. Quand elle fut bien propre, il prit place sur un fauteuil et attira sa femme sur ses genoux. La robe toujours relevée. Face à elle, Isabelle lorgnait la grotte qu’elle aimerait prendre dans sa bouche. Je continuais à la doigter et elle ne tarda pas à jouir dans mes doigts. Les filles étaient en haut, tranquilles. Lucie avait raconté à Charlène les derniers événements. Pour mieux visualiser la scène, elle mit en scène une reconstitution avec Amélie dans le rôle de sa mère, Charlène dans son propre rôle et elle tiendrait mon rôle. Elle avait demandé à Amélie de se mettre nue et de se caresser allongée sur son lit, face à la porte de communication. Elles se déshabillèrent dans la salle de bains. Lucie poussa son amie dans la chambre comme je l’avais fait. Et elles ont reproduit à l’identique ce qui s’est passé dans la chambre d’Isabelle. Puis, dans la salle de bains. En bas, dans le salon, les femmes avaient repris des couleurs. Francis continuait de doigter sa femme, machinalement. Corinne invita Isabelle à rester pour le dîner et une partie de la soirée, afin de permettre aux filles de rester plus longtemps ensemble. Isabelle accepta l’invitation.
« Eh bien, Isabelle, va remercier la maîtresse de maison comme il se doit. »
Elle comprit immédiatement et plongea entre les cuisses offertes. Francis laissa sa femme seule sur le fauteuil et réussit à s’extirper. Il bandait dur, à voir sa femme se faire bouffer la chatte. Je relevais la robe d’Isabelle sur ses reins et le pantalon était prêt à exploser. Et lui avec. Un rapide coup d’œil à Corinne qui me fit signe que j’avais carte blanche.
« Francis, elle est à toi, si tu veux. »
Il me regarda, incrédule. Puis sa femme. Puis moi encore. Puis le joli cul offert. Il baissa son pantalon et s’approcha de la grotte convoitée. Je chuchotais à Corinne :
« Je vous laisse tous les trois, je monte voir les filles »
Avant de quitter le salon, je me retourne pour « photographier » cette vision idyllique. Corinne, assise sur son fauteuil, les cuisses écartées au maximum. Isabelle, à genou entre les cuisses de la maîtresse de maison, qui lui bouffait la chatte. La robe relevée découvrait son cul et Francis qui la baisait avec un plaisir non dissimulé. Ce salon était empli de bonheur. Je retrouvais les filles qui finissaient de s’essuyer dans la salle de bains. Charlène m’expliqua toute l’histoire et le rôle que chacune avait joué. Doucement, en parlant, elles me poussaient vers le lit d’Amélie. Quand j’en fus toute proche, elles se jetèrent sur moi pour me faire basculer à la renverse. Amélie me tenait les bras, Charlène releva ma jupe tandis que Lucie baissait mon string. Surprise par l’attaque, je ne fis rien pour me dérober à leurs caresses.