Mon père, mon Maître (04/24)

Très peu d’agents présents et la charge de travail n’était pas énorme. Je reçus la visite express de Francis, mon directeur, qui devait se rendre à une réunion avec le préfet. Il m’annonça que la Comtesse l’avait appelé pour savoir s’il était disponible pour une nouvelle soirée, ce samedi. Il avait accepté, évidemment, et était venu me prévenir immédiatement. Je lui assurais que je serais moi aussi présente. Il repartit en sautillant de joie. Moi, cette soirée m’avait donnée une idée, une envie. Je réfléchissais à toute vitesse et je finis par en conclure que c’était possible, réalisable. Je retournais chez moi immédiatement après mon travail pour appeler mon père. Il était bien rentré et me confirma qu’il n’avait pas encore les résultats de ses examens. Je l’interrompis pour lui demander s’il pouvait revenir me voir, samedi. Que j’avais une très bonne surprise pour lui, qu’il ne serait pas déçu de sa soirée. Par contre, il devrait venir tôt, pour se préparer. Je ne lui en disais pas plus que ça. Il essaya bien de poser des questions, je restais muette comme une carpe. Je lui demandais de revenir avec cette même cagoule. Pour finir, je lui demandais si sa taille de pantalon n’avait pas changé. Il trouva ma question bizarre mais me confirma qu’il portait toujours une taille 40. Je notais tout et je raccrochais pour appeler Caro. Elle aussi faisait partie de mon plan. Je savais qu’elle n’était pas partie en vacances, mais que Marc, son mari, y était, lui, et qu’il s’occupait des enfants. Je lui posais la même question, concernant la taille de pantalon que portait son mari. Avant de la quitter, je lui demandais de réserver cette soirée pour moi, et de trouver quelqu’un pour garder ses enfants.

J’ai fait ensuite des recherches sur Internet pour enfin trouver exactement ce que je recherchais. Je commandais aussitôt, avec une livraison express, pour recevoir mes articles avant samedi. Le lendemain, jeudi matin, Francis était nettement plus disponible et me convia dans son bureau. Il m’a fait asseoir sur la grande table de réunion, m’a basculée légèrement et il s’est introduit en moi, sans même prendre la peine d’ôter mon string. Il l’avait juste déporté pour pouvoir me prendre ainsi, comme un cosaque. Il a été doux, et tendre, tout ce que je voulais à ce moment précis. Je lui reparlais de la future soirée chez la Comtesse, où j’espérais amener une surprise. Lui me reparla de Wilfried, son ami directeur, qui avait regretté mon absence lors du dernier séminaire. Heureusement, l’assistante de direction avec parfaitement rempli son rôle et les deux hommes en ont bien profité. Wilfried avait particulièrement apprécié ses gros seins et il avait souvent éjaculé entre les deux mamelles. La nuit que j’avais passée avec les deux directeurs me revint en mémoire et je basculais Francis sur la table, pour le chevaucher de nouveau. J’étais désormais au-dessus de lui et je relevais mon top, pour qu’il joue de nouveau avec mes seins.

J’étais donc empalée sur sa queue, les seins prisonniers entre ses mains, lorsque l’on a frappé à sa porte. Très vite, il a réagi en directeur en demandant à son visiteur d’attendre quelques instants. Je suis descendue de la table et il a repris place à son bureau, sur son fauteuil de direction. Il m’a juste indiquée ma place, entre ses cuisses, sous son bureau. Je reprenais donc sa queue en bouche tandis que le visiteur fut prié d’entrer. C’était l’un des chefs de service et ils commencèrent à discuter d’un  souci de service. Je dirais plutôt que c’était lui qui parlait, et Francis qui écoutait. J’étais trop absorbée par ma tâche pour écouter ce qu’ils se disaient. Sauf que, dans la conversation, le prénom de mon amie Marie-Laure, fut prononcé. J’écoutais alors plus attentivement ce qui se disait et ils parlaient de l’avenir de mon amie dans cette direction. Je n’en croyais pas mes oreilles. Ce salaud voulait la virer parce que, je le savais, elle avait refusé ses avances. Je continuais à branler la queue de mon directeur, distraitement. Ils parlèrent ensuite de choses et d’autres, qui n’avaient pas une grande importance pour moi. Il repartit au bout d’un long moment et, une fois la porte refermée derrière lui, je repoussais le fauteuil roulant de mon directeur et, sa queue parfaitement dressée, je m’empalais à nouveau sur lui. Je repris ses poignets et posais ses mains sur mes seins. Je le fixais droit dans les yeux en lui disant.

« J’espère que vous n’allez pas mettre fin au contrat de mon amie Marie-Laure, simplement sur les allégations de son pervers de responsable hiérarchique. Tout ça parce qu’elle a refusé de coucher avec lui.  »

J’attendais sa réponse avant de lâcher ses poignets. Il me fit un grand Oui de la tête et il put enfin reprendre mes seins entre ses mains. Il m’a baisée divinement et j’ai joui intensément sur ses cuisses. Je suis retournée à mon bureau, comblée, et j’ai aperçu Damien, le responsable de mon amie, qui fumait sa cigarette sur la terrasse. Et bien sûr, il m’a vue sortir du bureau de Francis. Et, vu qu’il ne m’avait pas vue y entrer, il en a déduit que j’y étais en même temps que lui. Et, évidemment, sous le bureau puisqu’il n’y avait aucun autre endroit pour se cacher. Pour moi, cela m’était parfaitement égal qu’il croit ce qu’il veut. Cet homme n’aime pas les femmes, il ne peut pas les respecter. Il n’aime que lui. Je l’ai quelquefois entendu parler de sa femme, Nathalie. Il la met sur un piédestal, c’est une Reine, une Sainte. Semblable à nulle autre. Cette femme, qu’il vénère au plus haut point, je l’ai croisée quelques fois, au restaurant administratif où elle déjeune avec son mari, et même dans notre bâtiment, puisqu’elle travaille à la Direction des Finances Publiques. Maintenant que j’étais rassurée sur l’avenir de mon amie Marie-Laure, je devais trouver un moyen de me venger de cet hypocrite. Je marchais en bougeant mes fesses de droite à gauche, dans un déhanché vertigineux.

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