Martine, la suite (08/18)

Surprise par sa force, je m’étais laissé retomber sur le dos, jambes largement écartées. Germain ne devait plus avoir aucun doute, le fond de ma culotte était vraiment trempé. Je suis certaine qu’il a dû commencer à bander très fort à ce moment-là car Mireille a rapidement tourné les yeux vers moi. Elle a bien analysé que je n’y étais pour rien et que c’était Germain, le pervers. Mais elle-même resta plus longtemps que nécessaire à regarder ma petite culotte trempée. Aurait-elle, elle aussi, des envies inavouables envers moi ? Mon rêve semblait prêt à se réaliser. Quand ils sont finalement repartis, Germain a réussi à peloter mon sein gauche en me souhaitant encore de bonnes fêtes. Il me confia, à voix basse, qu’il avait adoré jouer le rôle du Père Noël. J’ai fait de nouveaux rêves érotiques, cette nuit-là, avec Germain en Père Noël. Le lundi matin, retour au travail dans la supérette avec Fernand. Je me doutais bien qu’après la scène qu’il avait vue avec le livreur, il aurait aussi envie de son cadeau de Noël. Il lui a suffi d’un seul regard, implorant, pour que je me mette à genoux devant lui. Le reste coulait de source, j’ai ouvert et baissé son pantalon pour enfin pouvoir prendre sa queue en bouche. Je lui en donnais carrément pour son argent, je veux dire qu’il n’aurait pas été mieux sucé par une vraie professionnelle. On était tranquilles pour la journée, Gisèle, sa femme, était partie rendre visite à sa famille avec Fabienne, leur fille unique.

J’étais déjà plus mobile que la semaine précédente mais il me laissa à la caisse, n’hésitant pas à glisser ses mains sous ma jupe quand l’envie lui en prenait. Il referma la boutique un peu après onze heures, prétextant des documents qu’il voulait que je remplisse. Mais c’était avant tout ma gorge qu’il voulait remplir de nouveau. Je m’acquittais de ma tâche très facilement. À ce moment précis, j’étais prête à lui offrir mon petit trou pour la première fois mais je me suis ravisée. Si je lui donnais mon cul aujourd’hui, que demanderait-il demain ? Ma virginité ? Je n’étais pas encore prête à la brader. En tout cas, pas pour lui. Je dus revenir deux autres fois dans son bureau au cours de l’après-midi. J’étais en train de devenir une experte en fellations. Le mardi, Mr Jonathan arriva peu avant la fermeture. Il me précisa que le colis était arrivé. Je l’accompagnais donc chez lui, tout en portant ses courses. J’avais à peine posé les sacs à terre que déjà, ses mains trituraient ma poitrine. Il me déshabilla entièrement, caressa longtemps mes tétons qu’il aimait voir grossir. Puis, il sortit le colis et le déballa devant mes yeux ébahis. La parure qu’il avait choisie était encore plus belle que sur la photo du catalogue. Une fois parée, il me demanda de défiler pour lui, dans son salon, de prendre des poses suggestives. Je jouais le jeu avec lui et j’avoue que j’étais bien excitée. Pour finir, il me fit asseoir sur la table, devant la chaise où il était assis. Il entreprit alors de m’enfiler une paire de bas blancs, autofixants.

Il me guida dans sa chambre pour que je puisse m’admirer dans la psyché. C’est vrai que j’étais à croquer, habillée ainsi. Je faisais déjà des ravages parmi les hommes de mon entourage, je n’imaginais pas ce qui se passerait s’ils me voyaient ainsi. Je pourrais créer une émeute, ou une guerre civile. Lol. Je rigole, bien sûr. Il eut droit, bien évidemment, à sa récompense, à savoir une fellation du tonnerre. Moi, juste vêtue de cette parure splendide et lui, debout devant moi dans son costume sombre. Puis, il m’a allongée sur son lit pour de nouveau, plonger entre mes cuisses largement écartées. Le cunni fut à la hauteur de son excitation. Il triturait toujours mes tétons et j’ai joui merveilleusement bien sous ses caresses. Je dus, à regret, quitter cette parure qu’il a rangée dans un carton portant mon prénom. Quand il le rangea dans une grande armoire, je pus apercevoir d’autres cartons avec tous, un prénom féminin écrit dessus. Il me laissa rentrer chez moi en m’invitant à revenir le lendemain, dans l’après-midi. Denise, mon amie, serait là pour les quelques heures de ménage qu’elle faisait chez lui. Fernand me libéra pour toute l’après-midi, mais j’avais dû me mettre à genoux et lui offrir de nouveau ma gorge pour se vider. Je n’y étais nullement forcée et je prenais, au contraire, beaucoup de plaisir à sucer des hommes. C’était moi la Maîtresse de leur plaisir, sachant que je pouvais également leur faire très mal, avec mes dents. Ils étaient totalement à ma merci et moi, j’obtenais tout ce que je désirais. Du plaisir principalement.

J’étais donc chez lui dès quinze heures. Il me fit entrer dans le salon et dénuda entièrement le haut de mon corps. Il était assis et me pelotais magnifiquement les tétons. J’étais tournée dos à lui, donc face à la porte, et je compris ses intentions lorsqu’il appela Denise. Elle fut bien évidemment très surprise de me voir ici mais surtout étonnée par la tenue, ou plutôt par mon manque de tenue. Elle restait sans voix, admirant les mains qui se promenaient sur mes seins volumineux. Elle s’approcha timidement, resta seulement à un mètre de moi.

« Dis-moi, Denise. Tu connais cette coquine, n’est-ce-pas ? Oui, il me semble bien vous avoir vues ensemble. Tu ne savais sans doute pas qu’elle était insatiable. Je n’ai pas assez de mes deux mains pour la satisfaire.  »

Il glissa alors ses mains sous ma jupe, baissa mes collants de laine et ma culotte. Denise ne voyait rien mais pouvait deviner aisément ce qu’il me faisait. Il lui demanda de caresser mes tétons tandis qu’il s’occupait du bas de mon corps. Elle hésita un instant puis posa enfin ses mains sur moi. Ce n’était pas la première fois, je me rappelle la « soirée vidéo » chez Fabienne où les filles m’ont fait boire pour pouvoir profiter de mon corps. Denise était parmi elles, c’était d’ailleurs elle-même qui m’y avait invitée. Et elle avait profité de mes seins, comme les autres.

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