Vacances en famille, la suite (15/18)

Arrivés au chalet, il redevint le petit toutou à sa mémère, faisant tout ce que dictait sa femme, exécutant tout ce qu’elle lui imposait. Il réussit pourtant à me glisser un petit bout de papier avec un numéro de téléphone portable et ces quelques mots.

« Faut qu’ont cause ».

Pas très français dans la syntaxe mais c’était sa façon de parler. Je m’écartais du groupe, m’isolant un peu et je décidais de lui répondre.

« Parler de quoi ? »

Une petite sonnerie caractéristique lui indiqua qu’il venait de recevoir un SMS. Il s’éloigna de son épouse pour m’écrire.

« De ce que nous avons fait, tous les deux »

Pour toute réponse, je lui envoyais une photo prise à l’instant même, sous ma robe. Il devint tout rouge et ferma aussitôt son portable. À sa femme, il expliqua que c’était le boulot qui l’appelait pour un souci d’agenda. Rien de grave. Elle devint un peu plus agressive envers lui en lui désignant le devant de son pantalon. Denis bandait à nouveau, et très fort. Elle semblait lui dire que ce n’était pas un spectacle devant les enfants. Il décida de sortir, se promener un peu pour calmer sa libido. C’était sans compter sur ma perversité. Je filais dans la chambre pour ôter ma robe. Et c’est un selfie de moi, entièrement nue, qu’il reçut presqu’immédiatement après. Cela n’a pas dû l’aider à se calmer. Je pris une serviette et je me dirigeais vers les douches. Pas de Denis en vue, dommage pour lui. Ce n’est que quinze minutes après mon retour au chalet, une fois changée et prête à rejoindre Fanny, que je reçus un autre SMS.

« Il faudra que l’on se revoit, tous les deux. »

Puis, aussitôt après.

« Ce sera plus simple que ce soit moi qui me déplace, sur Angers. »

Évidemment, même si j’aime beaucoup le sexe, je n’allais faire des kilomètres pour aller le rejoindre. C’était à lui de trouver une excuse valable pour venir à Angers sans sa femme. Et j’étais certaine qu’il trouverait très vite. Je suis allée rejoindre Fanny avant qu’ils ne partent au restaurant. Quand je suis passée près de lui, il n’a même pas eu un regard pour moi. Il devait craindre que sa femme le voie. Par contre, quinze minutes après mon départ, je reçus un autre SMS disant :

« Merci pour ces bons moments. »

J’ai sûrement dû sourire en lisant son court message car Fanny m’a demandé si c’était mon amant qui m’écrivait. Sans donner plus de détails, je lui répondis que c’était l’un de mes nombreux amants. Nous étions assises dans sa cuisine en buvant du café et elle sembla rougir légèrement. Elle se pencha légèrement vers moi pour m’avouer que Joël avait été le seul homme dans sa vie. Précisant même qu’il avait été le premier, mais c’était évident puisqu’il avait été le seul. Penchée vers moi, j’avais une vue imprenable sur ses seins merveilleux et sans les quitter du regard, je lui dis que c’était dommage, qu’elle aurait pu rendre des tas de mecs, fous de son corps et de ses formes alléchantes. Je la fixais droit dans les yeux en ajoutant.

« Et des femmes aussi. »

Tout en disant cela, j’avais posé mes mains sur ses seins et elle ne refusa nullement ce contact. Je dirais même qu’elle l’espérait depuis mon arrivée. Et je ne me privais pas de la peloter allègrement. Elle avait ouvert sa bouche, cherchant de l’air. C’était pour moi un appel à un baiser torride que je lui offris aussitôt. Sa langue, toute timide au début, s’enhardit rapidement et vint prendre possession de la mienne, dans ma bouche. Elle s’était levée pour me dominer, il faut dire aussi que son gros ventre la gênait un peu. Justine entra à ce moment précis dans la cuisine et le charme fut rompu. Fanny s’éclipsa dans la salle de bains, pour se rafraîchir, a-t-elle dit. Je savais que c’était plutôt pour cacher la honte d’avoir été surprise ainsi, et par son employée, en plus. Je demandais à Justine si elle s’était bien occupée de sa patronne durant la semaine passée. Elle m’a répondu à brûle-pourpoint qu’elle avait fait tout ce qu’il fallait pour l’aider.

« Et là aussi ? »

J’étais passée derrière elle et j’avais empoigné sa jolie poitrine. Elle m’a laissé faire, les bras ballants. Quand je l’ai tournée face à moi, elle était toute rouge. Je gardais ma main sur son sein en lui disant.

« Tu vas me montrer comment tu fais, ok ? »

Nous avons rejoint Fanny dans la salle de bain et Justine a sorti le tube de pommade. Fanny a immédiatement baissé les yeux mais elle n’a pas tenté de s’éclipser. Justine a dégrafé son corsage, avant de lui ôter son soutien-gorge. Fanny gardait la tête baissée, sachant que je l’observais attentivement. Justine déposa une noisette de pommade au creux de sa main et commença à masser la voluptueuse poitrine de Fanny. C’était, au départ, pour une raison médicale mais il était évident que les deux femmes y prenaient énormément de plaisir. À caresser pour l’une, à se laisser peloter pour l’autre. Je m’étais légèrement éloignée pour les laisser entre elles. Je pense même qu’elles ont fini par oublier ma présence. Fanny releva la tête mais elle gardait les yeux fermés, jouissant magnifiquement de la caresse prodiguée par son apprentie. Par l’entrebâillement de la porte, j’aperçus Joël qui voyait la même chose que moi. Et qui bandait comme un âne. Je sortais simplement ma main de la salle de bains pour la glisser dans son pantalon de survêtement. Je massais sa queue qui m’avait déjà tellement remplie de bonheur. Je ne pouvais malheureusement pas faire beaucoup plus pour lui. Fanny n’aurait jamais accepté qu’il la voie ainsi. J’avais bien vu sa réaction lorsque Justine était entrée dans la cuisine. Joël se contenta de cette caresse manuelle, comprenant que je ne pouvais pas lui offrir plus. Mais, voir Justine qui caressait intimement les seins de Fanny le propulsa très vite vers une éjaculation abondante. Il a dû retourner se changer dans sa chambre, pour être présentable.

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