Nouvelles rencontres (03/05)

Et elle aimait ça, la coquine. Je détachais ses poignets pour finir de dénuder le haut de son corps. Je couvris sa bouche de la mienne pour étouffer ses cris de jouissance. Murielle, elle aussi, avait écarté ses cuisses et se caressait par-dessus sa robe. Son autre main caressait sa poitrine. Sybille, vaincue, jouissait comme une folle. Quand elle fut remise, je lui demandais à nouveau de présenter ses excuses à sa tante. Elle se leva pour demander pardon.

« À genoux, mademoiselle.  »

Elle s’exécuta. Devant sa tante, elle allait s’excuser quand …

Murielle fit un geste que je la croyais incapable de faire. Robe légèrement relevée, elle écarta ses cuisses, dévoilant ainsi sa nudité à sa nièce éberluée. Surprise sur le moment, je réagis très vite.

« Tu vois ce que tu dois faire pour te faire pardonner.  »

Sans se retourner, elle avança entre les cuisses ouvertes. Et commença à lécher sa tante. Elle était à quatre pattes. Je défis l’attache de sa jupe et la baissais totalement. La voilà nue. Entièrement nue. Puis, je fis signe à Amélie de se lever. Placée face à Murielle, moi dans son dos, je relevais sa robe pour dévoiler son intimité. Puis, je la lui ôtais totalement. À l’oreille, je lui demandais d’aller s’agenouiller sur le canapé, près de Murielle qui pourrait la caresser, ou la téter, suivant ses envies. Je passais derrière ce canapé pour profiter de la jolie poitrine de Murielle. Et du spectacle hallucinant qu’elles me proposaient. Envie de participer à mon tour. J’ôtais mon string rapidement pour enfiler un gode ceinture. L’intérieur était équipé d’une protubérance qui massait les parois du vagin de celle qui le portait, censé activer le point G. Un gode pas trop gros de l’autre côté. Je me plaçais derrière Sybille et humidifiais le gode avec sa mouille. Puis, doucement, je la pénétrais. Lentement.

Murielle, voyant sa nièce se faire posséder, éclata dans un orgasme violent, et bruyant. Moi qui la connaissais depuis quelques temps, jamais je ne l’avais vue jouir ainsi. Sans doute le souffle de l’interdit, de l’inceste. Accrochée aux hanches de Sybille, je la martelais en cadence. Murielle, comblée, tétait avidement la poitrine d’Amélie. Puis, sans rien dire, je stoppais. Sybille reprit son souffle puis, comme je ne bougeais toujours pas, commença elle-même à aller et venir d’avant en arrière. Elle venait s’empaler sur le gode. Je voyais ses seins ballotter sous elle. Je les attrapais pour en caresser les tétons. Elle adorait ça, la coquine. Au bout d’un moment, je sortais complètement de sa fente, pour la pénétrer à nouveau. À fond. Sa fente restait ouverte, en attente de la pénétration. Je sortais ainsi plusieurs fois, pour la reprendre à fond de nouveau. Puis, je cessais de bouger. Et, instantanément, elle reprit ses mouvements de va et vient sur le gode. Je voyais sa rondelle frétiller. Je l’excitais en en caressant le pourtour, pour finalement la pénétrer de mon majeur. La petite salope avait des dispositions pour l’anal. Je sortais une dernière fois de sa grotte humide pour forcer doucement sur la rosette.

« Non, pas là.  »

« Pas là, non. »

 » Pas … Ouiiiiiiiiii !  »

« Vas-y, à fond.  »

« Baise-moi bien à fond. Encule-moi.  »

Elle devenait vulgaire mais je voyais combien elle aimait être prise sauvagement. Et moi, j’en profitais pleinement, de cette coquine, obscène et pourtant si jolie avec son visage d’ange. Elle avait les mains posées sur les genoux de sa tante, lui écartant les cuisses, et elle la regardait droit dans les yeux. Elle finit par s’écrouler de plaisir sur le ventre de Murielle, râlant des mots sans suite. Je me retirais de son cul, le gode brillant de son plaisir. Murielle regardait ce gode avec envie, puis moi, puis de nouveau le gode. Elle le voulait, maintenant. Sybille s’installa sur le canapé, à droite de sa tante, Amélie de l’autre côté. L’une comme l’autre écartaient les cuisses de Murielle pour que je puisse avancer dans le compas magique. Elle mouillait tellement, Murielle, qu’il n’était pas utile de la préparer. Je rentrais en elle comme dans du beurre. Lentement, prenant tout mon temps. Les yeux dans les yeux, je la pénétrais avec délices. Cette couguar magnifique se pâmait de plaisir sous mes coups de gode. Amélie se pencha légèrement pour prendre le téton en bouche. Sybille l’imita aussitôt. L’orgasme qui la transporta fut explosif, la laissant sans forces. Je regagnais mon fauteuil, laissant la place à Amélie pour la nettoyer en profondeur. Sybille s’occupa de la poitrine de sa tante, avec un plaisir non dissimulé.

« Tu sais, ma tante, depuis que je suis toute petite, je rêve de ta poitrine magnifique.  »

« Quand j’étais plus jeune, tu me serrais dans tes bras et j’adorais la chaleur de tes seins. Puis, plus je grandissais, tu me faisais juste un baiser sur le front. Seulement quand grand-mère est décédée, tu m’as reprise dans tes bras.  »

Elle replongea sur les tétons, Murielle posa une main sur la tête.

« Tu pourras venir me voir quand tu veux pour en profiter pleinement.  »

 

Amélie vint nettoyer le gode avant de m’aider à l’ôter. Puis, je la rhabillais. Je laissais Murielle avec sa nièce qui la léchait toujours. Elle me rappela plus tard pour me remercier du cadeau. Sybille lui était entièrement soumise maintenant. Elle était revenue la voir tous les jours pendant ses vacances. Une période de stage qu’elle devait effectuer se ferait donc à Rennes, dans son cabinet dentaire. Amélie passa Noël en famille, je la rejoignais pour la fin des congés à St Malo. Je profitais des quelques jours à Nantes pour revoir mes amies et mes cousins. Depuis que je l’avais revue sur la plage, je voulais retourner voir Rachelle. Un coup de fil et rendez-vous était pris. Elle s’était arrangée avec sa belle-sœur pour qu’elle lui garde les enfants. Son mari au travail, on était libres de faire ce que je voulais. Elle se doutait bien de mes intentions. Elle l’ouvrit la porte, resplendissante. Les deux bises traditionnelles se changèrent en baiser langoureux. Tout en l’embrassant, je remontais sa robe pour découvrir ses cuisses pleines. Son cul bloquait la remontée de la robe, puis, d’un coup, elle se retrouva cul nu. Car Madame n’avait pas de culotte.

« Pourquoi en mettre une si c’est pour l’enlever aussitôt ?  » avait-elle pensé.

J’avançais en aveugle dans cet appartement que je ne connaissais pas. J’aperçus la cuisine, puis le salon. Je me laissais guider. Pour finalement découvrir sa chambre. Je continuais de relever la robe pour la lui ôter totalement et la jeter sur une commode. Le soutif suivit aussitôt.

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