MORENA (04/12)

En effet, une bosse monstrueuse déformait son boxer, pourtant pas très moulant. Il entra dans l’eau pour venir nous embrasser. J’avais lâché les mains de ma cousine qui ne se cachait plus maintenant. Mais elle semblait troublée, surtout quand elle surprenait les regards de Flavio sur ses seins. Lui comme moi, on n’avait qu’une envie, c’était de les sucer, les lécher, faire pointer les tétons de plaisir. Mais on resta sages. On joua un peu dans l’eau avant de se sécher sur les serviettes. Flavio proposa de nous enduire de protection solaire. J’acceptais la première et il se fit un plaisir de s’exécuter, le dos, les jambes. Il massait super bien pour faire pénétrer la crème solaire. Sans lui demander son avis, il passa aussitôt à Morena. Elle me regardait pendant tout le massage et je sus qu’elle y prenait énormément de plaisir. Même Flavio dut s’apercevoir de l’émotion qu’il lui procurait pendant qu’il lui massait les cuisses, légèrement écartées. Je suis certaine qu’elle était trempée. Et, en voyant son petit sourire en coin, je compris qu’il avait vu la tâche d’humidité entre les cuisses de sa petite cousine. Sérieux, il ne tenta rien de plus, profitant simplement de notre présence pour plaisanter. Le soir, tout le monde était devant la télé. Vers 22 heures, je proposais de servir un café, ou un thé, à ceux qui en voulaient.

Morena me demanda un café, comme pour moi, et Flavio un thé. J’allais préparer les boissons et c’est moi qui les servis ensuite. Morena ne prit même pas la peine de passer par sa chambre, elle entra directement dans la mienne, certaine que personne ne l’avait vue. Mais Flavio l’avait juste aperçue au moment où elle disparaissait. Il me fit un clin d’œil et entra dans sa chambre. Il avait l’air épuisé. Une fois dans ma chambre, je déshabillais ma cousine entièrement, moi ensuite, et je commençais à l’embrasser, la caresser. Mais j’évitais soigneusement les zones érogènes. Je voulais la sentir impatiente, en manque. Puis, je stoppais d’un coup. Attentive au moindre bruit. J’entendis enfin ce que j’attendais, le léger ronflement de Flavio. J’avais mis de la valériane dans son thé et je savais qu’il ne tarderait pas à s’endormir. Il avait besoin de dormir avec les préparatoires du mariage et je voulais qu’il dorme profondément pour ce que j’avais prévu. Morena était à point, excitée comme une puce. Je lui fis signe de me suivre, en silence. Elle était complètement nue, tout comme moi. Elle eut un mouvement de recul au moment de franchir la porte de la chambre mais elle me suivit malgré tout dans la chambre voisine, celle de Flavio. Au bruit qu’il faisait, aucun doute possible, il dormait. J’approchais du lit et je tirais le drap, découvrant mon grand frère entièrement nu lui aussi. Son sexe, au repos, était déjà impressionnant. Morena ne pouvait le quitter des yeux. Je supposais que son petit copain n’était pas aussi bien monté. Je la poussais doucement pour qu’elle s’asseye sur le lit et posais sa main droite sur l’objet de ses convoitises. Au contact, elle sut immédiatement ce qu’elle devait faire et je n’eus pas à la forcer. Même au contraire, si j’avais voulu l’obliger à partir, elle n’aurait pas voulu lâcher son nouveau jouet. Jouet qui avait déjà doublé de taille entre ses doigts.

Après ses doigts c’est sa bouche qui entra dans la danse. Et c’est bien une danse, bouche grande ouverte, qu’elle effectuait. Elle s’en donnait vraiment à cœur joie. Moi, tout près d’elle je jouais avec ses seins, ou sa chatte dégoulinante si odorante. Je sentis soudain une main qui me caressait les fesses. Une main d’homme. Flavio était réveillé, malgré la valériane qu’il avait bue, et il voulait participer un peu plus. J’étais terriblement excitée et particulièrement en manque. Je décidais de le laisser goûter à mon trésor, ma petite fente n’attendait que sa langue pour vibrer de plaisir. Je m’installais au-dessus de sa bouche et le laissais goûter à mon nectar qui commençait à couler à flots. Il s’était agrippé à mes fesses qu’il malaxait adroitement, frôlant très souvent ma rondelle qui frémissait chaque fois que son doigt s’en approchait un peu trop. Je fondais littéralement sous sa langue et je ne tardais pas à jouir voluptueusement. Il jouit en même temps que moi dans la bouche experte de Morena. Je redescendis lentement de mon petit nuage pour aider ma cousine au nettoyage de la queue monstrueuse. Il y en avait pour deux. Largement. On regagna ma chambre, le laissant finir sa nuit. Morena était émerveillée d’avoir pu le sucer. Je la fis jouir encore deux fois avant qu’elle ne s’endorme. Les jours suivants, on ne revit plus Flavio sur la plage, trop occupé aux préparatifs. Mais on le rejoignait tous les soirs dans sa chambre. Jamais de pénétrations, on le faisait jouir entre nos doigts, nos lèvres et nous arrosions son visage de nos sécrétions intimes. Tout le monde y trouvait son plaisir.

Puis le jour du mariage arriva enfin. Je vous passe la cérémonie à l’église du village, et le passage devant le maire, pour arriver directement au repas. Bonne humeur et convivialité étaient au rendez-vous. Morena et moi étions séparées, elle s’occupait des plus jeunes, j’étais chargée de m’occuper de la famille de la mariée, afin qu’ils se sentent bien acceptés. Une trentaine de personnes, toutes siciliennes. Ma belle-sœur, Romina, vint elle-même me remercier de l’accueil qui leur avait été réservé. Tout le monde était parfaitement heureux. Tout se passait très bien jusqu’à l’incident. Je passais de table en table pour veiller à ce que personne ne manque de rien et, en me retournant, une jeune serveuse tâcha ma jolie robe. Elle s’en excusa aussitôt et m’entraina dans une salle d’eau pour réparer les dégâts. J’ôtais ma robe sans aucune pudeur et je commençais à l’observer. C’était une jeune fille de la ville de Sassari. Elle et sa mère étaient employées par un de mes oncles, le père de Morena, et elles avaient accepté de servir pour le mariage. Giulietta était une belle jeune fille, un peu forte de hanches mais pas désagréable à regarder. Elle n’avait pas fait d’études universitaires.

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