Martine, la suite (01/18)

Nous sommes arrivées aux vacances scolaires de Noël et j’avais demandé à mes parents si je pouvais passer le week-end chez ma nouvelle amie. Ils avaient évidemment accepté, vu mes résultats pour ce premier trimestre. Le dernier vendredi, j’avais donc, en plus de mon cartable, un sac avec mes affaires pour me laver et me changer. Le soir, après les cours, je descendais du car en même temps que Lalie. Ce n’était pas vraiment un arrêt conventionnel mais c’était juste au bout du chemin qui menait à la ferme de ses parents.

Tous étaient occupés par les travaux de la ferme et nous avons pu faire nos devoirs ensemble. Élise, sa maman, est venue me souhaiter la bienvenue et nous avons préparé le dîner avant que les hommes ne reviennent. Il y avait le père de Lalie, ses deux frères, plus âgés qu’elle, et trois garçons de ferme qui vivaient dans une dépendance. L’ambiance était tout ce qu’il y a de familial et je me sentais déjà presque chez moi. Bien sûr, j’ai bien vu les regards des hommes sur ma volumineuse poitrine mais ils sont tous restés corrects avec moi. Seul le papa de Lalie semblait avoir une attirance particulière pour mes gros seins. Je l’avais déjà rencontré, chez mon amie Denise. C’était lui le propriétaire de l’étalon qui devait féconder l’une des juments appartenant aux parents de Denise. J’avais pu voir son regard d’envie sur la maman de ma copine, sur ses formes tout particulièrement, pendant qu’elle dirigeait la queue monstrueuse du cheval de trait. Il me semble que, si Denise et moi, nous n’avions pas été là, il aurait certainement tenté sa chance. Je ne peux évidemment pas affirmer qu’elle aurait accepté.

Après le repas, les trois jeunes hommes sont retournés dans leur dépendance après avoir salué tout le monde. Le père et les deux frères se sont enfermés dans le bureau pour gérer la journée du lendemain. Moi, j’aidais à débarrasser la table et à faire la vaisselle ensuite. Chacun a regagné sa chambre ensuite, je dormais avec Lalie vu que toutes les autres chambres étaient occupées. J’étais déjà en chemise de nuit lorsque Lalie est revenue de la salle de bains. Elle aussi, était impressionnée par ma poitrine. J’avais l’habitude, surtout venant des hommes. Nous parlions tout bas, comme si nous partagions des secrets. Elle voulait savoir si cela était difficile à porter, une imposante poitrine comme la mienne. Je lui ai simplement répondu que c’était mon corps, depuis toujours, que je m’y étais habituée, et surtout que je n’avais pas de moyen de comparaison. Je fis semblant de peloter ses petits seins en disant que jamais je n’avais eu une poitrine aussi petite. Nous avons rigolé un peu puis, nous nous sommes endormies. Le lendemain, elle avait prévu une balade en forêt, sur les chevaux de trait à l’entraînement.

Mais il y avait des tâches à accomplir avant de pouvoir s’amuser. Nourrir les animaux de la basse-cour, préparer le repas du midi. Nous n’avons rejoint le terrain que vers 14 heures. On m’a aidée à escalader l’un des animaux, très calmes au demeurant. J’ai suivi les conseils de mon amie et nous avons pu nous promener une petite heure, avant qu’un bruit énorme n’arrive à nos oreilles. Un arbre venait de tomber tout près de nous. Lalie avait l’expérience et a pu maintenir son cheval. Ce qui n’était pas mon cas. Il s’est cabré, de peur, et quand il est retombé sur ses pattes, je n’ai pas pu rester en selle et je suis tombée lourdement au sol. Lalie est venue très vite à mon secours, d’autres garçons aussi. Certains se sont occupés du cheval tandis qu’un grand gaillard m’a soulevée comme un fétu de paille. Il fallait me ramener à la ferme et j’étais incapable de poser mon pied par terre. Il était grand, il était fort, mais un peu niais. Mais très gentil tout de même. Un vrai homme des bois. Il me portait comme si j’étais une enfant, il marchait d’un bon pas pour rejoindre la ferme et il a failli tomber, et moi avec. Lalie l’a fait ralentir un peu et il a repris sa marche, plus calmement. Sa main avait glissé et se frottait à mon sein, je trouvais cela très agréable. Ce qui me gênait un peu plus, c’était son autre main, sous ma jupe, directement sur mes fesses. Son pouce avait réussi à s’immiscer entre mes cuisses et se frottait le long de ma fente. Encore une fois, c’était très agréable mais je craignais qu’il sente l’humidité que cela me causait. Mais, au final, j’étais bien et j’ai fini par poser ma tête sur sa poitrine musclée. Nous sommes finalement arrivés à la ferme et il m’a déposée sur le canapé. Gustave, c’était son prénom, s’est écarté pour que la maman de Lalie puisse se rendre compte de la gravité de la blessure.

Il s’apprêtait à partir et rejoindre les autres quand je l’ai vu approcher son doigt de son visage. J’ai dû rougir, je pense, mais il ne semblait pas comprendre. Ou bien croyait-il que j’ai laissé échapper quelques gouttes d’urine. Je craignais surtout qu’il ne goutte, pour être sûr. Peut-être l’a t il fait plus loin, je ne le saurais jamais. Il a rejoint son équipe et je pensais ne plus jamais le revoir. Mais, dit comme ça, vous savez déjà que nous serions amenés à nous retrouver. Élise, la maman de Lalie, avait donc repris la situation en mains. Elle demanda à Gustave de retourner au travail et de ne plus s’inquiéter pour moi. Il partit à regret, promettant de revenir pendant sa pause pour reprendre des nouvelles de la blessée. Des glaçons dans un sachet furent posés sur ma cheville douloureuse et Élise alla téléphoner au médecin du village. Il était en consultation et ne pouvait donc pas se déplacer pour le moment. Il conseilla de faire appel à une infirmière diplômée pour faire les premières constatations et soigner cette cheville, si cela n’était pas trop grave. Et c’est Maryse, la sœur de Denise, qui fut appelée à mon chevet. Elle était disponible et arriva quinze minutes plus tard. Le diagnostic était formel.

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