Dany avait, je le suppose, ouvert le pantalon et s’occupait du monstre prêt à cracher sa semence. Mais cette fois, c’est la bouche de la jeune fille qu’il désirait pour enfin jouir entre ses lèvres. Bien qu’inexpérimentée, elle avala toute la semence qui jaillit rapidement. Un peu calmé, le repas put se poursuivre normalement. Le dessert, on le prendrait dans le salon. Dany se leva la première et sa robe tomba au sol.
« Tu peux rester comme ça, Dany ma belle « .
Amélie se leva à son tour et tira la chaise de Jacky qui se levait. Il avait bien remis son monstre dans son boxer mais son pantalon glissa au sol.
« Pareil pour toi, Jacky. Tu peux rester ainsi. Au juste, tu es là pour ça. »
Helen reprit sa place dans son fauteuil, Jacky au centre du canapé. Dany et Amélie arrivèrent avec le dessert. Dany portait un saladier rempli de fraises bien rouges, Amélie, deux bombes de crème chantilly sous pression. Qu’elle me donna. Puis, comme dans un spectacle répété à l’avance, elle s’allongea sur la table basse. Je demandais à Jacky et Helen de s’agenouiller près d’elle. Dany leur présenta ses fraises tandis que je badigeonnais les seins d’Amélie de crème chantilly. Helen, la première, prit une fraise qu’elle orna de crème avant de la porter à sa bouche. Les yeux brillants. Jacky l’imita aussitôt. Et plus je recouvrais sa poitrine de chantilly, plus ils la chatouillaient avec les fraises que leur tendait Dany. L’un en face de l’autre, ils se régalaient. Je pris une fraise moi aussi mais c’est la bouche de Dany que je décorais de crème. Ma fraise dans la bouche, je m’approchais de Dany pour un tendre baiser sucré. Les fraises terminées, il restait de la crème que j’étalais sur les seins de ma belle. Et c’est avec leur langue qu’ils la chatouillaient maintenant.
« Jacky, ôte lui son boxer et tu goûteras enfin à sa chatte ».
Il se plaça entre ses cuisses et baissa le boxer. J’arrosais son pubis de crème et il se jeta dessus comme un affamé. Helen était ravie d’avoir cette jeune poitrine pour elle seule. Même sans crème, ils continuaient à la lécher, à la dévorer.
« Helen, lève-toi et mets-toi au-dessus de la tête d’Amélie « .
Elle enjamba Amélie pour lui offrir sa chatte à lécher. Spectacle hallucinant. Jacky, face à sa femme, bouffait la chatte d’Amélie qui elle, bouffait celle de Helen. Je m’éclipsais deux minutes le temps de m’équiper. Je revenais derrière Helen pour soulever sa robe. Elle fut surprise de sentir le gode se promener sur sa fente déjà humide. Surprise mais heureuse. Et quand je la pénétrais enfin, une vague de plaisir l’envahit. Dany, affalée sur le canapé, se doigtait en nous regardant. Puis ses yeux se tournèrent vers Jacky, l’implorant de venir la remplir enfin. Malgré tout son bon vouloir, il n’avait pas réussi à bien préparer Amélie et donc, il se leva pour honorer la maîtresse de maison.
« Amélie, viens ici pour préparer le bel étalon. » lui dit Dany en regardant la vasque contenant toutes sortes de préservatifs.
Elle se leva, choisit un étui et allait l’enfiler quand Dany …
« Avec la bouche, ma chérie. Tu l’habilles avec ta bouche. »
Amélie prit la capote entre ses lèvres et l’enfila sur le gourdin de Jacky qui ne cessait de grossir. Très peu de pratique pour elle mais elle y mettait de la bonne volonté sur les conseils de Dany. Qui était prête à l’accueillir et Jacky la pénétra d’un coup. Amélie se leva et se rapprocha du couple qu’ils formaient. Elle caressait les seins de Dany, tandis que Jacky la tétait avidement. Là, cette situation la faisait mouiller. Dany s’allongea, Jacky la malmenait toujours. Amélie présenta sa fente à la bouche de Dany. Qui récolta son jus d’amour. Helen, les deux mains posées sur la table basse, s’arqueboutait sous mes coups de gode. Je remontais sa robe par-dessus sa tête pour atteindre ses seins. On ne voyait plus son visage. C’était juste une chienne qui se faisait défoncer la chatte. Puis, ce furent les avant-bras qu’elle posa sur la table, remontant ainsi son magnifique cul. Sa rondelle qui frétillait était un appel pour se faire enculer. Je sortis de sa chatte pour me positionner sur l’anus de la belle.
» Non, pas là. Je n’ai jamais … »
Le premier centimètre était entré, lui coupant la voix. Je restais sans bouger un instant. Puis, j’avançais à nouveau. Je la pénétrais inexorablement. Jacky me regardait, fasciné de voir sa femme se faire enculer par une autre femme, elle qui n’avait jamais accepté qu’il essaie. Une fois, il avait réussi à lui mettre un doigt mais pas plus. Dany se positionna en levrette et il put continuer à lui donner de grands coups de bite. Amélie, à genoux près d’eux, sentit la fin proche. Elle accentua l’orgasme de Dany en lui titillant le clito. Dany cacha son visage dans ses mains pour jouir comme une déjantée. Amélie écarta le mâle pour aller boire directement à la source. Dany s’était allongée et écartait les cuisses au maxi pour lui offrir sa chatte dégoulinante. Penchée ainsi, Amélie offrait son corps au mâle toujours insatiable derrière elle. Il n’avait pas ôté son préservatif, enduit de la mouille de sa première maitresse, et il se présenta à la grotte humide de la jeune fille. Elle attendait ce moment, le rêvait depuis longtemps et enfin, elle serait comblée par ce beau mâle, cet étalon en rut qui la baisait comme jamais elle n’avait connu.
Helen n’avait pas assisté à cela, toute occupée qu’elle était à jouir par le cul. Première fois pour elle. Elle me dira plus tard que c’était presque aussi bon que sa première baise avec une fille. Je rabaissais sa robe avant de descendre le zip. Elle l’enleva entièrement. Je pris place dans son fauteuil et elle prit place sur mes genoux. Ainsi, je pouvais la caresser comme je le voulais. Et je voulais beaucoup. Surtout sa poitrine qui m’envoutait. Elle regardait Amélie se faire prendre par son époux. Elle voyait à quel point elle était heureuse, et lui aussi. Dany était assise sur le canapé, tout près du visage de la jeune fille. Elle voyait le plaisir monter en elle. Puis elle la vit exploser enfin, de bonheur. Jacky vint s’assoir près d’elle. Elle ôta la capote et entama le nettoyage du matériel. Lol. Amélie s’est assise face à moi, sur la table basse, cuisses écartées. Je sentais le regard d’Helen se diriger vers cette petite chatte appétissante.
« Tu veux bien la nettoyer, Helen ? »
Pour seule réponse, elle s’accroupit entre les jambes ouvertes. Et la lécha consciencieusement. Jacky allait de surprise en surprise, ce soir. Il sentait bien que je l’appréciais moyennement. Pourtant j’avais organisé cette soirée pour lui, et sa femme. Celle qui acceptait qu’il baise d’autres femmes, devant elle. Une femme et une jeune fille. Jamais il ne pensait pouvoir posséder cette pouliche. Et c’est sa femme qui la lui offrait. Il l’avait vu prendre du plaisir avec une autre femme et cela aussi le surprenait. Il la croyait si prude, coincée. Encore plus fort.