Je sortais de la maison à 19 heures tapantes. Helen arriva pile poil, se gara. Jacky descendit pour me laisser la place devant, plus facile pour moi pour guider sa femme. Et il prit place à l’arrière. Je les saluais bien sûr et direction le pavillon de Dany. Deux mots sur ma tenue. J’avais enfilé un leggings noir, sans rien dessous, et une mini jupette rose fuchsia. Une blouse blanche pour le haut, sans soutif. Pour compléter le tout, une paire de cuissardes et mon manteau. Avant de sonner à la porte, je leur demandais :
« Êtes-vous prêts à faire tout ce que je vous demanderais? Pas d’inquiétude. Ni souffrance, ni piège. Juste du plaisir pour vous deux. »
Helen accepta sans hésiter, Jacky accepta aussi, après y avoir réfléchi. C’est Dany qui nous ouvrit la porte, magnifique avec une robe noire décolletée. Déjà, Jacky n’avait d’yeux que pour sa poitrine. Elle nous débarrassa de nos vestes et manteaux avant de nous guider vers le salon. Elle proposa un fauteuil pour Helen, je pris l’autre. Jacky au centre du canapé, Dany à sa droite. Je fis les présentations. Dany fut très contente d’apprendre que Jacky avait son entreprise d’électricité. Elle songeait à remplacer les néons de sa boutique par des éclairages plus économiques, et écologiques. Très familièrement, elle n’hésita pas à lui poser des questions, tout en posant sa main sur sa cuisse. La bosse qui gonflait le pantalon prouvait qu’elle avait toute son attention. Lol.
« Mais, je manque à tous mes devoirs de maîtresse de maison. Vous voulez boire un apéritif ? »
« Ma puce, tu viens nous servir ? » s’adressa-t-elle en regardant vers la cuisine.
Helen, comme Jacky, furent surpris, croyant qu’on ne serait que quatre personnes. Et Amélie fit son entrée. Sublime elle aussi dans une robe de soirée. Décolletée également. Jacky bavait littéralement, comme le loup de Tex Avery, la langue pendant jusqu’au sol. Lol. J’avais réussi mon effet de surprise. Helen se tourna vers moi, inquiète, ne comprenant pas. Je posais ma main sur la sienne et mes yeux semblaient lui dire :
– Calme-toi, et laisse-moi faire – -Tout est sous contrôle –
Et Amélie servit ce que chacun désirait. Elle se pencha bien bas pour donner son verre à Jacky et lui offrit une vue plongeante sur ses seins. Elle prit place près de lui. Il se trouvait ainsi coincé entre les deux femmes de sa soirée, sans le savoir encore. Tout comme j’avais déjà remarqué, jamais il ne s’adressait à son épouse, ni n’essayait de la faire participer à la conversation. Par contre, Dany fut très intéressée d’apprendre que Helen était une artiste multi facettes. Elle voulait en savoir plus. Elle se penchait souvent en avant pour parler avec Helen, offrant sa poitrine aux yeux de Jacky qui commençait à se sentir à l’étroit dans son pantalon. Il se tournait alors vers Amélie et, dans ses yeux, il comprit qu’elle serait à lui, ce soir. Malgré la présence de sa femme, il osa poser sa main sur la cuisse de sa voisine. Un coup d’œil craintif vers moi, il n’avait pas oublié la soirée chez lui. Un sourire pour lui signifier qu’il pouvait, qu’il devait continuer. Helen faisait semblant de ne rien voir, comme d’habitude. Elle devait réagir. Je me levais pour lui murmurer à l’oreille ce qu’elle devait dire. Elle me regarda hébétée, prit son courage à deux mains et se lança :
« Oui, mon chéri, tu peux l’embrasser, enfin, et Dany aussi. Toi, mon étalon, tu auras deux femmes pour toi ce soir. Et pour l’alcool, pareil, je ramènerais la voiture. »
Déjà, Dany caressait la bosse de son pantalon, tandis qu’il embrassait Amélie. Fougueusement.
« Doucement, Jacky, elle reste toute la nuit »
« Oui, calme-toi un peu. D’ailleurs, on va passer à table. » ajouta Dany.
« Mais je ne peux pas te laisser dans cet état-là. » dit-elle en ouvrant sa braguette.
Et, se penchant en avant, elle goba son sexe, déjà énorme. Lui, heureux, posa une main sur sa tête pour donner la cadence. Son autre main s’occupait de peloter la poitrine d’Amélie. Helen regardait le spectacle comme si cela ne la concernait pas, comme on regarde un film, l’aventure d’une autre personne. À un moment, elle tourna la tête pour ne plus voir son mari avec d’autres femmes. Souvent, elle l’avait imaginé avec ses maitresses, mais là, elle les voyait ensemble.
« Non, Helen, tu dois regarder. Il doit sentir ton regard sur lui. Ton envie de lui. Et que c’est toi qui lui offre ce cadeau. »
Et bien sûr qu’il sentit son regard. Il jeta un œil vers elle tout en continuant de peloter Amélie. Le bustier de sa robe descendit sous les caresses et sa poitrine laiteuse nous apparut.
« Elle est belle, sa poitrine, n’est-ce-pas Helen ? »
Elle la fixait avec envie.
« Helen, lève-toi et enlève ta culotte ».
Surprise, elle me fixa les yeux dans les yeux. Se leva et ôta sa culotte. Sous les yeux ébahis de son mari. Qui jouit à ce moment dans la bouche de Dany.
« Bien, passons à table maintenant ».
Tout le monde la suivit dans la salle à manger et s’installa. Jacky entre Amélie et Dany. Helen, face à lui, à côté de moi. C’est Amélie qui serait chargée de faire le service, ce soir. Elle avait remonté son bustier.
« Ma chérie, Amélie, descends ton bustier et laisse nous profiter de la vue de ta jolie poitrine. »
Elle n’hésita pas une seconde et le baissa. Avant de disparaître dans la cuisine. Elle revint avec l’entrée qu’elle présenta à Jacky. Il lui flatta les fesses avant de se servir. Helen se servit ensuite mais gardait les yeux rivés sur la poitrine offerte. Dany se servit à son tour mais, quand Amélie se tourna pour venir vers moi, elle lui goba un téton.
« Hummmm, une délicieuse mise en bouche »
Et tout le monde se mit à rire. L’ambiance était donnée. Quand Amélie se releva pour aller chercher la suite, Jacky ne put résister à l’envie de happer sa poitrine lui aussi. Il la suçait avidement tout en lui pelotant les fesses. Elle lui échappa un instant pour revenir avec la viande. Dany l’avait accompagnée en cuisine. Elle créa son effet en revenant elle aussi, la poitrine sortie de sa robe. Jacky lui saisissant les seins avant qu’elle ne s’assoit et les malaxa tendrement. Vu qu’il était occupé, Amélie présenta le plat à Helen. Elle se servit et, tout comme son mari tout à l’heure, goba un des tétons à sa portée. Surprise, mais heureuse de cette initiative, Amélie se laissait téter. En s’approchant de moi, elle trébucha et faillit tâcher sa jolie robe.
« Pose ton plat et enlève ta robe, ce serait dommage de la salir ».
Sans hésiter, elle s’exécuta. Du coup, Jacky n’avait d’yeux que pour elle quand elle vint le servir. Il faut dire qu’elle était vraiment magnifique avec son boxer en dentelle noir qui restait comme seul rempart de son intimité. En servant Dany, c’est son cul splendide qu’elle proposait au regard de Jacky. Ses mains habiles parcouraient le corps de la jeune femme. Son ventre, ses seins, ses fesses. Amélie reprit sa place près de Jacky.