RADOVAN (01/05)

Emily et sa mère se sont réconciliées. Je les ai revues quelques jours après leurs premières effusions. Elles ont pris le temps de bien évaluer la situation et c’est Emily toute seule qui a décidé de reprendre ses études. Elle devrait bien sûr faire des sacrifices et quitter son travail, en premier lieu. Connaissant bien son patron, Radovan, elle devait trouver elle-même sa remplaçante pour qu’il accepte aussitôt. Radovan est né en Croatie. Pays qu’il a quitté avec sa famille au début de la guerre qui a amené son indépendance. Ses parents ont bien évidemment suivi les événements de loin. La guerre est une chose affreuse, quel que soit le camp dans lequel on se situe. Ils ont perdu de nombreuses personnes de la famille, des cousins et cousines principalement, ainsi que ses grands-parents à lui qui n’ont pas voulu quitté leurs terres.

Radovan a 27 ans maintenant, ce qui veut dire qu’il était bébé en arrivant en France. Son intégration s’est faite rapidement et, sans être un élève exceptionnel, il a suivi normalement des études jusqu’à un BTS en commerce. Économe, il a très vite pu ouvrir son premier magasin, après avoir travaillé dans la grande distribution. Magasin sous enseigne, ce qui le bridait un peu trop. Le nom attirait les clientes mais la marge bénéficiaire était décidée par des administratifs. Il l’a revendu, avec un bonus, ce qui lui a permis d’ouvrir sa propre boutique. Il a refait des travaux avec des amis mais, pour la surveillance vidéo, il l’a installée tout seul. Radovan est un voyeur. Pas vraiment un pervers qui utiliserait les images, simplement il aime regarder vivre les autres. Ses vendeuses entre autres. Il les choisit jeunes, et plutôt jolies, mais aucune ne s’est aperçue qu’elles étaient surveillées. Emily est sa quatrième vendeuse depuis l’ouverture de sa boutique.

La première subtilisait des vêtements, pour elle ou pour les revendre à ses amies. Elle n’a pas fini sa période d’essai. La seconde était une fainéante, qui remettait toujours au lendemain, elle n’est restée qu’une semaine. La troisième piquait directement dans la caisse. Très discrètement, mais une caméra bien placée l’avait prise en flagrant délit, plusieurs fois. De petites sommes, mais impossible de lui faire confiance. Puis Emily est arrivée et jamais il n’a eu le moindre reproche à lui faire. Tout ce que je viens d’expliquer, je l’ai appris par Emily d’abord, puis par la bouche de Radovan lui-même quand nous sommes devenus amis. Voici comment s’est passée notre première rencontre.

Je l’avais aperçu quelques fois dans la boutique mais nous n’échangions tout juste qu’un « bonjour, bonsoir ». Ce samedi-là, beaucoup de clientes dont Emily s’occupait de manière très consciencieuse. Je vis plusieurs jeunes filles se diriger vers les cabines d’essayage, l’une d’elle avec des sous-vêtements. J’imaginais que Radovan n’allait pas rater le spectacle. Bon, d’accord, je l’ai su un peu plus tard qu’il était voyeur. Discrètement, je rejoignais les toilettes, dans l’arrière-boutique. En passant près du bureau de Radovan, je l’aperçus par la porte de son bureau. Très attentif à fixer son écran d’ordinateur. Emily l’appela sur l’interphone interne. Pour un problème de caisse. Il se leva, rageur, et se dirigea vers la boutique. Juste eu le temps de me cacher. J’entrais dans le bureau pour vérifier ce dont je me doutais déjà. On voyait nettement les jeunes filles, nues ou presque, se changer dans les cabines d’essayage. Je remarquais également un point rouge, « record », signe qu’il enregistrait ses clientes.

Je m’installais sur son fauteuil en attendant son retour. Je ne fus pas surprise car je le vis revenir sur un écran de surveillance. Lui, par contre, resta immobile sur le pas de la porte. Il avait compris. Pris en flagrant délit, il ne pouvait nier. Mentalement, il énuméra les différents scénarii possibles. Je pourrais le dénoncer, lui extorquer de l’argent pour acheter son silence. Il aurait pu me tuer, ou me faire tuer, mais il supprima de suite cette option. D’ailleurs, en me regardant bien, je ne ressemblais pas vraiment à une menace. Je lui souriais. Je lui fis signe de s’approcher. La tête basse, il s’exécuta, comme un enfant pris en faute. De près, je pouvais admirer la bosse qui déformait son pantalon. Malgré le stress, il bandait encore. Cela ne s’améliora pas quand je posais une main sur la protubérance. Il eut juste un mouvement de recul et se ravisa. Il se savait à ma merci et, quelque part, cette situation semblait l’émoustiller. Je massais maintenant franchement sa queue qui ne cessait de grossir. Le pantalon semblait prêt à exploser, aussi, je défis le bouton et descendis le zip. Je tirais le jean vers le bas, dévoilant un boxer magnifiquement déformé. Comme un esclave acceptant son sort, Radovan se laissait caresser sans un mot. Il ne quittait pas son écran des yeux. La jeune fille était juste en culotte et se caressait les seins. Bien jolis, soit-dit en passant. J’étais moi-même très excitée par cette situation et je glissais ma main libre sous ma robe. Ce geste ne passa pas inaperçu aux yeux de Radovan. Son sexe était devenu énorme et même le boxer extensible avait du mal à le contenir. Je finis par baisser tout, boxer et jean sur ses chevilles. Sa queue fièrement dressée semblait me narguer.

Mis à part celle de mon père, que j’avais aperçue alors que j’étais adolescente, jamais je n’avais vu une matraque aussi désirable. Sans la lâcher de mes deux mains, je me levais pour laisser Radovan s’asseoir sur son fauteuil. Lui comme moi ne quittions plus l’écran des yeux. La jeune fille, se croyant seule, avait glissé ses doigts dans sa culotte et se doigtait allègrement. Elle se donnait à fond, ignorant qu’on l’observait et même qu’elle était filmée. Radovan assis, je m’assis à mon tour sur son ventre. Sa queue monstrueuse frottait le long de ma fente qui s’humidifia rapidement. Un peu de pré-sperme commençait à sortir du méat. Je cherchais des yeux mais, avant que je ne pose la question, Radovan ouvrit un tiroir renfermant un stock de préservatifs. J’en pris un et enveloppais sa bite avant de me soulever légèrement et m’empaler précautionneusement sur son mandrin. Sachant qu’il était hors norme, il me laissa m’empaler à mon rythme, sans me brusquer. Il me remplissait comme jamais je n’avais été remplie. Les parois internes de mon vagin s’écartaient pour faciliter la pénétration, aidées en cela par un énorme flot de cyprine. Mes tétons étaient tendus à l’extrême, prêts à exploser. Radovan connaissait suffisamment les femmes pour savoir que mes petits seins devaient être hypersensibles. Il posa ses mains sur mes cuisses pour remonter ma robe au niveau de ma poitrine. Là, il empoigna mes seins et les malaxa avidement. J’étais comblée, bien empalée sur sa queue qui frémissait en moi, répondant aux contractions de mes muscles internes.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *