Elle n’était veuve que depuis quelques jours et elle ne pouvait donc pas décemment faire, ou dire, n’importe quoi. Mais je sentais le désir de recommencer les petits jeux avec moi. Et d’aller plus loin encore. Elle me tendit la main pour me souhaiter une bonne nuit et, tournant la tête vers l’intérieur de l’appartement, elle me fit deux bises, tout près de mes lèvres, quand elle fut sûre que personne ne pouvait savoir. Le lendemain, nous étions dimanche et je savais que je resterais seul toute la journée. Pourtant, Aïcha trouva un moyen de descendre me rendre visite, avec de nouveaux documents à consulter. Elle m’embrassa à pleine bouche une fois que j’eus refermé la porte derrière elle. Elle m’entraina dans le salon, prit place sur un des fauteuils et, une fois à hauteur, elle ouvrit mon pantalon. Je me laissais porter par les événements, trop heureux de retrouver la chaleur de sa bouche accueillante. Elle repartit comme elle était venue, heureuse d’avoir pu me remercier une nouvelle fois. Je déjeunais tranquillement et aspirais à une après-midi de repos lorsque l’on sonna de nouveau chez moi.
C’était Samia, cette fois-ci, qui avait besoin de mes compétences en informatique. Elle avait débuté, depuis quelques semaines, sa nouvelle activité en tant que VDI. Elle vendait des produits de soin et de beauté, principalement à des amies, et leurs amies. Mais depuis qu’elle était ici, c’était un peu plus compliqué. Je lui expliquais qu’il y avait différentes manières de communiquer. La plus facile, la plus conviviale, c’était les réseaux sociaux, Facebook entre autres. Elle avait déjà un compte, il restait à créer une page, représentant les produits et leurs avantages. Les personnes intéressées pouvaient alors commander en ligne et recevoir leurs achats quelques jours après qu’elle eut reçu le paiement. La seconde solution, plus difficile à mettre en œuvre, consistait à créer un site de e-commerce pour vendre en direct sur un site dédié. Les deux solutions furent retenues, la première pour vendre rapidement et garder contact avec les clientes, la seconde qui était plus pérenne mais qui demandait un investissement en temps, et en ressources aussi. Elle resta plus longtemps encore avec moi pour discuter, parler de choses et d’autres. C’était une femme très intéressante et je ne comprenais pas qu’elle soit toujours célibataire. Sans doute que les hommes issus de sa culture et de sa religion préféraient les femmes soumises plutôt que trop intelligentes. Elle qui gardait une certaine distance quand elle s’est assise près de moi, elle était désormais collée contre moi. Je ressentais la chaleur de son corps contre le mien.
Elle avait même posé une de ses mains sur ma cuisse. Sa poitrine était toute proche de mon bras et la chaleur qu’elle dégageait m’enivrait légèrement. J’aurais voulu oser quelque chose mais je ne voulais surtout pas la brusquer. Je savais, ou du moins j’espérais, que quelque chose se passerait un jour, entre nous deux. C’était presqu’une évidence, pour elle comme pour moi. Mais je souhaitais que ce soit elle qui fasse le premier pas. Il aurait suffi que je tourne un peu la tête vers elle pour avoir ses lèvres à portée de ma bouche. De la sentir si proche de moi, collante à souhait, je me sentais serein et je crois que, elle aussi, se sentait rassurée. Elle s’est levée, un peu à regret, pour rejoindre sa grande sœur et les enfants. Mais elle m’a promis de revenir me voir pour créer, ensemble, son site internet de vente en ligne. Je la raccompagnais jusqu’à la porte et je suis retourné à mon ordinateur pour me renseigner sur la fabrication d’un tel site, éviter les erreurs de débutant. Cela m’a pris le reste de l’après-midi et une partie de la soirée. Le lendemain, avec mes collègues, j’en parlais aussi et j’ai obtenu des conseils avisés et constructifs de leur part. Le soir, j’attendais impatiemment l’arrivée de Fatiha. J’avais très envie de la revoir, seule, juste nous deux. Malgré mon aventure avec Alexia, et avec d’autres femmes qui semblaient possibles, j’étais très épris par la jeune fille, je souhaitais le meilleur pour elle et je tentais de lui donner toutes les chances de réussir dans la vie.
Mais, tout au fond de moi, je crois que j’étais déjà un peu amoureux d’elle. Quand elle arriva, elle se jeta elle-même dans mes bras. Elle était habillée normalement, à l’occidentale, comme d’habitude. Une longue jupe et un pull-over qui cachait ses fesses. Ses formes que j’aimais tant. Elle chercha ma bouche, que je ne lui refusais pas. Mes mains, dans son dos, descendirent jusqu’à ses fesses. Je remontais légèrement son pull pour les caresser librement. Sa langue jouait admirablement avec la mienne, sa poitrine se pressait contre la mienne et mes doigts jouaient une symphonie sur son fabuleux fessier. Nous étions deux amants, épris l’un de l’autre. Pas complètement amants, mais presque. À ce moment précis, je me disais que rien n’était impossible. Et pourtant, la différence d’âge, de religion, de culture. Tout nous éloignait l’un de l’autre et malgré cela, les difficultés ne faisaient que de nous rapprocher, elle et moi. Terriblement excité par la situation, je relevais sa jupe pour glisser mes mains directement sur sa culotte, puis dans sa culotte. Elle s’abandonnait totalement et nous étions si bien, elle et moi, que tout aurait pu arriver. Par de petits pas successifs, nous étions entrés dans le salon et elle me repoussa gentiment, m’obligeant à m’asseoir sur la table basse. Là, face à moi, elle ôta son pull-over pour m’exposer sa voluptueuse poitrine, l’offrir à mes caresses. Tandis que je jouais avec ses seins, elle dégrafa sa jupe qui glissa sur le sol. Elle n’avait pas remonté sa culotte et elle était désormais presque totalement nue devant moi, une nouvelle fois. Elle fit alors une chose incroyable. Elle se tourna pour m’offrir son cul splendide et se pencha vers l’avant, posant ses deux mains sur ses genoux. J’apercevais toute son intimité et j’en étais très ému. Je posais mes mains sur ses deux rotondités, jouais avec à les écarter pour voir palpiter son petit trou brun. Je ne résistais pas à l’envie d’embrasser ce cul merveilleux, de titiller cet anus avec ma langue.