Jérôme et Ingrid allèrent se baigner, me laissant seule avec elle. Mais Justine n’était pas loin non plus. Nous discutions lorsqu’elle sentit la brûlure du soleil sur ses mollets. Elle tenta vainement de couvrir sa peau avec de la crème solaire. Elle allait appeler Justine quand je lui proposais de la lui appliquer moi-même. Elle hésita un petit instant puis me tendit le flacon. Je commençais par ses pieds, ses mollets, et je remontais vers ses cuisses. Petit à petit, elle se détendait et ses cuisses s’écartaient toutes seules. Elle rapprocha légèrement les pieds de ses fesses pour que je passe derrière ses cuisses. Le devant de son maillot une pièce s’humidifia légèrement. Elle me regarda, un peu gênée mais je lui souris. Elle ferma alors les yeux et ses genoux s’écartèrent encore plus. Elle se livrait entièrement à moi et j’en profitais immédiatement. Mon pouce passa et repassa sur le devant de son maillot qui devenait très humide. Elle finit par jouir très vite lorsque mon doigt passa sous le tissu du maillot. Elle referma les cuisses très lentement, ouvrit les yeux et me remercia en silence. Avant que Jérôme et Ingrid ne reviennent, elle me confia que son mari ne la touchait presque plus depuis que son ventre était devenu si proéminent. Elle craignait qu’il ne l’aime plus si elle ne parvenait pas à retrouver sa taille de jeune fille après l’accouchement. Je la rassurais en lui affirmant qu’il l’aimait profondément et que c’était pour les protéger, elle et le bébé, qu’il n’osait plus lui faire l’amour. Elle sembla rassurée et on changea de sujet lorsque Jérôme arriva.
Ingrid resta à jouer avec les enfants et Justine vint nous rejoindre. Jérôme n’avait d’yeux que pour ses seins merveilleux et je remarquais que Fanny n’y était pas non plus insensible. Je suis certaine que si Justine approchait son sein de la bouche de sa patronne, celle-ci ne pourrait résister à l’envie de la téter. Cette image dans ma tête, je cherchais un scénario qui me permettrait d’assister à une telle scène. Et y participer ensuite, évidemment. Je venais de prendre une semaine de vacances que j’avais passée avec Céliane, je ne pouvais donc pas en poser une de nouveau tout de suite, surtout que beaucoup de mes collègues allaient prendre les leurs, comme Christiane, ma responsable, que je ne reverrais que fin Août maintenant. J’habitais trop loin pour revenir le soir après mon travail mais pourquoi pas le week-end prochain ? Céliane en serait certainement ravie, Ingrid aussi, je pense. Quant aux hommes, inutile de leur demander, la réponse était évidente. Le vent se leva un peu, soulevant le sable de la plage. Fanny se prépara à rentrer chez elle. Joël allait bientôt se réveiller et elle était toujours là quand il se levait. Justine rentra donc avec elle et je vis clairement Fanny demander à sa jeune apprentie de rester ainsi, seins nus, jusqu’à la maison. Justine s’approcha de moi pour me faire la bise et je lui soufflais à l’oreille qu’elle était très belle ainsi et qu’elle devait être fière d’avoir une si belle poitrine.
Elle me répondit, toujours en murmurant, que ça lui faisait des « choses », dans son ventre, de savoir que tout le monde regardait sa poitrine. Une seule réponse s’imposait : « Agréables, les « choses? » Elle ne put répondre mais baissa les yeux en rougissant. J’avais ma réponse. Nous sommes retournés nous baigner, Ingrid et moi, et c’est là que je lui demandais si je pouvais revenir le week-end prochain. Elle eut un instant de surprise avant de me dire qu’elle en serait très heureuse. Un seul petit problème, ses parents à elle devaient passer les voir samedi et les inviter au restaurant le soir. Ingrid savait que sa mère ne m’appréciait pas du tout. Elle n’avait sans doute pas compris qu’une mère ne puisse élever elle-même son enfant. Une dépression post-partum, pour elle, ça ne voulait rien dire. Et elle lançait toujours des réflexions désobligeantes qui m’étaient adressées indirectement. Ce serait pour moi encore un calvaire de devoir la supporter. Mais ce ne serait que l’après-midi. Le soir, je les laisserais seuls pour aller au restaurant. Je trouverais certainement à m’occuper. J’avais même déjà ma petite idée. Nous avons donc convenu ensemble que je passerais le week-end prochain avec eux, que je laisserais cette mégère me critiquer sans vergogne. Cela la fit beaucoup rire, même si c’était tout de même sa propre mère. Comme nous étions loin de tous, elle me demanda comment réagir aux envies de sa grande fille. Je lui expliquais que j’avais choisi de la laisser faire ce qu’elle désirait, elle voulait découvrir le corps de la femme en étudiant le mien. C’était comme si elle se regardait dans un miroir et que, en plus, elle pouvait toucher ce qu’elle voyait.
Peut-être serait-elle plus attirée par les filles que par les garçons ? Personne ne pouvait en être sûr encore et elle devrait se découvrir elle-même. Si Ingrid refusait, elle irait chercher ailleurs ce qui lui manquait. Avec tous les risques que cela supposait. Je lui ai confirmé que c’était plus facile pour moi qui n’étais pas sa mère mais j’aurais peut-être la même expérience avec Dylan, un jour, et j’agirais de la même façon. Le sexe n’est pas sale, ou dégoûtant. C’est une certaine vision de certains, qu’on retrouve dans les films pornos, qui déforme la réalité. L’amour, c’est bien, et c’est beau, quand les deux partenaires sont consentants. Je réussis à la convaincre qu’elle n’avait, en aucun cas, forcé sa fille à faire quoi que ce soit, au contraire, c’était Céliane qui était demandeuse. Il n’y avait absolument rien de répréhensible dans son attitude avec sa fille chérie. Justement, Céliane venait nous rejoindre. Nous nous sommes rapprochées du bord pour qu’elle puisse avoir pied et, dès qu’elle fut près de sa mère, elle goba le sein à sa portée. Ingrid me regarda droit dans les yeux mais elle la laissa faire. Je me plaçais entre elles deux pour les cacher du reste de la plage.