Alexia profita d’avoir les cuisses de son amie juste au-dessus de sa tête pour s’attaquer de nouveau à sa fente, avec sa bouche cette fois. Je laissais les deux filles se lécher mutuellement et se donner du plaisir tandis que j’allais me rafraîchir un peu dans la salle de bains et me laver aussi un peu. J’avais beaucoup sué à satisfaire cette petite coquine. J’imaginais que, désormais, les futures séances photos finiraient de la même façon. Avec ou sans Fatiha. Je pensais également que, si les deux jeunes filles souhaitaient se retrouver seules pour se donner à nouveau du plaisir, je leur laisserais volontiers ma chambre. L’une comme l’autre m’avait déjà offert bien plus que je n’en espérais. Quand je sortis de la salle de bains, les deux filles étaient totalement nues et continuaient à se lécher mutuellement. Je les laissais à leurs plaisirs saphiques pour aller retoucher quelques clichés, ceux pris plus tôt dans l’après-midi. Les filles sont venues me rejoindre un bon moment plus tard. Elles étaient entièrement nues, toutes les deux. C’était la première fois que je pouvais admirer Fatiha, nue de haut en bas. Elle était vraiment appétissante, bien qu’un peu grassouillette mais j’adorais ça, les femmes qui ont des formes. Elles se sont approchées de moi, se serrant tout près de moi et, l’une après l’autre, elles m’ont offert leur sein à téter. Puis, elles ont demandé à prendre une douche, ensemble. Je leur ai juste indiqué où elles pouvaient trouver des serviettes de bain propres. C’était si bon de les entendre rire, toutes les deux. Surtout Fatiha qui ne souriait plus beaucoup depuis quelques jours.
Elles sont reparties ensemble, puis c’est Aïcha, la maman de Fatiha, qui est venue me chercher. Elle voulait tout d’abord m’inviter à manger avec eux pour me remercier de tout ce que j’avais fait pour elle et sa famille. Et, de plus, elle voulait me demander de l’aide, encore une fois, pour remplir des documents administratifs. J’acceptais bien volontiers son invitation et l’aide qu’elle me demandait. Nous avons dîné ensemble, avec sa sœur, Samia, qui était plus jeune qu’elle. J’avais de la chance car elle parlait très bien le français, mieux qu’Aïcha, et nous avons pu parler un peu. Elle aussi vivait en France, depuis très longtemps, pas loin de l’aéroport de Marignane, près de Marseille. Je compris qu’elle était libre de rester chez sa grande sœur le temps nécessaire, rien ne la retenait chez elle. Ni mari, ni enfant. Elle était plutôt enjouée, malgré l’ambiance morose, et semblait très libérée, intérieurement. Elle pouvait parler de tout, politique, religion et même de sport. L’OM étant son club favori. Je remarquais également que la petite sœur de Fatiha, Aziza, buvait littéralement ses paroles. Elle restait accrochée à chacun de ses mots, comme si elle était son gourou. Nous avons passé un très agréable repas avant qu’elle ne s’occupe des plus petits. Je restais seul avec Aïcha pour tenter de lui expliquer les arcanes de la bureaucratie française. Notre administration est très férue de documents en tous genres, qui se répètent parfois. Je l’ai aidée à remplir certains formulaires. C’est ainsi que j’ai appris qu’une procédure était en cours contre l’employeur de Mourad, pour négligence.
Une audience était d’ailleurs prévue dans quelques jours et Aïcha devait s’y rendre. Je lui proposais de l’accompagner, si elle le voulait bien. Ce furent ses yeux qui me remercièrent. Elle avait de plus en plus tendance à se rapprocher de moi, sa voluptueuse poitrine était toute proche de mes bras et elle se frottait négligemment contre moi. Je n’osais croire à ma chance mais je profitais pleinement de ce qu’elle me donnait. Elle semblait pourtant se méfier un peu, à cause de la présence de sa petite sœur. Quand les plus petits furent couchés, Samia prit place sur le canapé entre les deux grandes filles. Elles étaient loin de nous et légèrement de côté, si bien que je ne voyais pas très bien ce qui se passait sur ce canapé. Je remarquais rapidement la position de la plus jeune, Aziza, qui avait posé sa tête sur les genoux de sa tante. J’ai cru voir, à un moment, la petite main se poser sur la poitrine de la tante, mais ça, j’ai certainement dû le rêver. Je me préoccupais beaucoup plus des documents, surtout qu’Aïcha avait glissé une main sous la table. Elle l’avait posée nonchalamment sur ma cuisse puis était remontée jusqu’à la fourche. Elle se sentait plus libre, moins observée, et elle commença à me branler doucement. Elle attrapa ma main gauche pour la placer sur son sein. Visiblement, elle ne portait aucun soutien-gorge dessous. C’était très excitant de sentir son téton sous le tissu qui réagissait favorablement à ma caresse. C’était doux, c’était chaud, c’était vivant sous mes doigts. Je notais, sur une feuille, les différents rendez-vous qu’elle avait et, devant le nombre, je lui expliquais que j’allais prendre une semaine de congés pour pouvoir l’accompagner partout.
Sous prétexte de retrouver d’autres documents, elle me tira vers sa chambre et, enfin à l’abri du regard de tous, elle ouvrit mon pantalon pour caresser ma queue directement. Quand elle voulut se mettre à genoux pour m’octroyer une fellation, je l’en empêchais, préférant qu’elle s’allonge sur son lit. Sa bouche se trouvait ainsi parfaitement à la bonne hauteur et elle put enfin me remercier comme elle le souhaitait. Vu sa position, je pouvais librement jouer avec ses gros seins et je ne m’en suis pas privé. Elle m’a laissé jouir intensément dans sa bouche, avalant tout ce que je lui envoyais. Nous avons rejoint la table avec d’autres documents et personne ne s’est douté de rien. Enfin, pas vraiment. Je crois que, depuis qu’elle est là, Samia se doute de quelque chose. Mais comme elle n’a rien vu, elle ne peut absolument rien dire. Il était tard et j’ai pris congé de la famille. Fatiha et Aziza sont venues me faire la bise, gentiment, sur la joue, sous le regard des deux adultes. Samia ensuite m’a serré très fort entre ses bras. Je sentais sa poitrine contre la mienne et j’aurais voulu que ce moment dure plus longtemps. Elle alla vérifier que les filles étaient couchées et nous laissa, Aïcha et moi, enfin seuls.