Elle l’avait poussée un peu plus loin sur lit, dans sa précipitation, si bien que sa tête dépassait du lit, de l’autre côté. Quant à Geneviève, elle se trouvait exactement comme Francine l’était pour l’introduction du plug. Je soulevais le déshabillé, caressais les cuisses pleines, les fesses dodues et écartais la culotte. Bien sûr, elle était trempée, Geneviève. Comment pourrait-il en être autrement ? Toujours harnachée, je m’approchais de sa fente dégoulinante, le gode frottait sur ses lèvres intimes. Elle fit un mouvement et d’un coup, j’étais en elle. Quelle délicieuse sensation que de baiser une femme mûre, avec ses formes alléchantes, sa poitrine généreuse. On sentait qu’elle prenait vraiment son pied, comme si c’était la dernière fois. Elle ondulait en suivant le rythme que je lui imposais.
Et elle continuait à lécher sa soumise, qui elle, n’allait pas tarder à jouir encore. Je relevais la tête de Geneviève pour laisser Francine reprendre son souffle. Je souhaitais qu’elles jouissent ensemble. J’en profitais pour jouer avec son clito qui était très développé. J’ignore si elle le fit exprès mais, en se contorsionnant sous mes caresses, elle plaça le gode sur sa rondelle. Le temps s’arrêta, un instant. Puis, doucement, je pénétrais dans son cul. Quelle volupté !!! Cette croupe savait recevoir, je vous l’assure. Sans doute très longtemps qu’elle n’avait pas été visitée. Elle avait gardé toute sa saveur, son élasticité. Bien accrochée à ses hanches, je commençais à aller et venir dans son fondement. De longs mouvements d’avant en arrière. Très lentement au début. Puis plus vite. Encore plus vite. Elle avait repris son léchage et ce fut une victoire pour moi de les voir exploser de bonheur en même temps.
J’ôtais enfin la ceinture et allais donner ma chatte à lécher à Francine, qui se remit à me sucer le clito. Je ne mis pas longtemps à venir, tellement j’étais excitée. Retour toutes les trois dans le salon. Geneviève toujours avec sa tenue de Maîtresse, Francine et moi, entièrement nues. C’est d’ailleurs elle qui nous servit la collation, thé pour Geneviève et moi, café pour elle. En se penchant pour servir, elle me tendit son cul. Je jouais à tirer sur son plug, pas assez pour l’ôter, mais suffisamment pour lui infliger des sensations extrêmes. Elle couinait de plaisir. De mon sac, je sortis moi aussi un cadeau, mais pour Geneviève cette fois. Nous en avions parlé il y a quelques temps, elle ignorait ce que pouvaient être des boules de Geisha, et leur utilité. Je passais le coffret à Francine qui l’offrit, tête baissée, à sa Maîtresse.
Geneviève ouvrit le coffret pour découvrir trois boules blanches, grosses comme des balles de ping-pong, reliées entre elles par une cordelette. À l’une des extrémités, la cordelette se finissait par un anneau. Pour récupérer l’ensemble. Je leur expliquais succinctement le fonctionnement. Malgré ce qu’en pensent beaucoup de personnes, ce n’est pas l’introduction des boules qui provoque le plus de plaisir. Les garder en soi et vaquer à ses occupations procure un plaisir intense. Mais, c’est en les ôtant que l’on grimpe littéralement aux rideaux. Je les laissais dubitatives et j’allais me rhabiller dans la chambre. Je ne fus qu’à moitié surprise de retrouver Francine, aux pieds de sa maîtresse, cuisses grandes ouvertes. La seconde boule venait de disparaître dans son vagin. Puis la dernière. Elle nous fit part de ses sensations, elle se sentait remplie, enfin.
Je connaissais la suite et je savais qu’elles joueraient une partie de la soirée. Je pris donc congé. Un tendre baiser sur les lèvres de Geneviève, tout en lui titillant les tétons tendus. Francine me raccompagna à la porte. Je pus jouer encore avec son plug. Le baiser qu’elle m’offrit en disait long sur ses sentiments à mon égard. Elle était amoureuse, c’est sûr. En bas de l’immeuble, j’appelais Isabelle en lui disant que je l’attendais dans un parc tout proche. Elle devait attendre mon appel impatiemment car quinze minutes plus tard, j’étais dans sa voiture. Elle m’a ouvert la porte et je me suis assise près d’elle. Tout de suite, j’ai remarqué qu’elle portait la robe que je lui avais choisie il y deux jours. Tout comme je remarquais que sa robe était relevée bien haut, et ses cuisses bien écartées.
Mais pour tout ça, je fis comme si de rien n’était. Elle était dans l’attente d’un geste de ma part, mais je préférais la laisser sur sa faim, pour mieux la posséder ensuite. À un croisement, je remarquais qu’elle ne portait rien sous sa robe. Elle semblait avoir retenu la leçon et entièrement disposée à recommencer. En roulant, nous parlions essentiellement du déménagement du lendemain. Elle semblait déçue en garant sa voiture près de sa maison. Il faisait nuit déjà. Dès qu’elle éteignit les phares, je glissais enfin ma main sous sa robe. Oui, elle était bien nue et trempée comme une cochonne. Un râle de plaisir s’échappa de sa bouche que je couvris de suite de la mienne. S’en suit une longue caresse torride mais je stoppais avant qu’elle ne jouisse.
Je sortis de la voiture et elle me suivit à regret. Mais elle savait maintenant que cette soirée la comblerait. Elle devait juste être patiente. J’allais saluer les filles dans leur chambre. Surprises mais heureuses de me voir là, surtout Lucie. Elle me serra longuement contre elle, plus que d’habitude.
« Je veux te remercier de nous avoir trouvé un si bel appartement. Et pour tout le reste aussi ».
Sa bouche vint se coller à la mienne et sa langue entra en action. Elle avait une technique toute particulière, bougeant très vite dans ma bouche. Elle semblait infatigable. Elle me laissa enfin mais elle me murmura à l’oreille.
» Il faudra que je te remercie beaucoup mieux que ça « .
Je rejoignais Isabelle dans la pièce de vie. Elle m’avait préparé tout un tas de documents administratifs, déclaration de changement de domicile pour les impôts, demande d’allocation logement pour la CAF, … Mais tout ça n’était que prétexte pour me garder à dîner d’abord, puis à dormir chez elle. Ainsi, je serais sur place pour aider au déménagement. Les filles étaient ravies que je reste pour dîner, et pour dormir. Pas une ne se posa la question de savoir où je dormirais, ni avec qui. J’avais déjà compris comment Isabelle voulait me remercier.
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